Image par Werner Heiber de Pixabay
Que ce soit en entreprise, à l’échelle d’un pays ou d’une petite équipe, ce sont dans les crises (graves ou légères) qu’on voit apparaître les leaders capables de mener leurs troupes pour franchir les difficultés. Parmi les nombreuses compétences qu’un leader doit posséder en période de troubles, en voici 5 qui sont certainement les plus cruciales pour incarner légitimement et naturellement un vrai leadership.
Savoir prendre des décisions
En période de grands changements, les dirigeants doivent souvent juger d’une situation avec des données parfois limitées et une urgence quant à la prise de décision requise.
Ces situations sont souvent radicalement différentes des moments où le consensus prime et où les décisions sont issues d’une réflexion longuement murie et partagée. Elles sont donc déroutantes pour certains dirigeants qui ne sont pas enclins à sortir de cette zone de confort.
En revanche, les managers et les leaders qui peuvent prendre des décisions rapides et ont le courage de défendre ces décisions, sont plus à même de franchir les périodes de troubles sans problème.
Ils peuvent bien sûr commettre des erreurs mais ils auront plus d’aptitudes à les corriger rapidement. Au contraire, ils ne tomberont pas dans le piège fatidique de la non prise de décision qui paralyse souvent certains dirigeants en période de crises.
Les dirigeants qui attendent que les réponses deviennent claires ou qui adhèrent à une chaîne de commandement stricte renoncent souvent aux avantages de la pensée créative de leur équipe et peuvent rater des opportunités critiques.
Savoir communiquer efficacement
En cas de crise, il existe un risque de surcharge d'informations. Les bons leaders peuvent distiller les informations les plus importantes et les présenter avec le ton et la fréquence appropriées. Cette approche de la communication permet aux gens de rester concentrés sur ce qui est important et de les doter des connaissances dont ils ont besoin pour agir pendant une période d’incertitude.
La communication est primordiale dans les situations où les choses changent parfois d'heure en heure. Les dirigeants qui le font bien reconnaissent qu'ils doivent être authentiques et concis. Ils préparent leurs équipes à ce que les circonstances puissent changer souvent.
Le flux d'informations des dirigeants aide leurs équipes à prioriser, à assumer leurs responsabilités et à s'adapter en temps réel.
Il ne faudra pas non plus oublier que la sécurité de la communication est essentielle en temps de crise. Ainsi, les communications par internet devront être sécurisées en passant toujours par un VPN. L’essai gratuit d’un VPN doit d’ailleurs être une priorité des équipes dirigeantes pour mettre en place ce genre d’outil avant qu’une crise ne survienne.
Savoir être agile
L'agilité organisationnelle est essentielle en période de crise et, par conséquent, en tant que leader, la démonstration de la compétence de l'agilité est primordiale.
Un bon manager ou leader doit être agile dans la façon dont il prend ses décisions. Les leaders efficaces reconnaissent qu’ils ne possèdent pas toutes les réponses à toutes les questions. Mais ils étudient la situation, rassemblent les données disponibles, et déterminent la meilleure voie à suivre.
Pendant une crise, un dirigeant efficace ne recule pas. Il peut changer de cap, provoquer le changement mais doit le faire à une vitesse fulgurante. Un bon dirigeant doit être aussi capable de gérer l'ambiguïté.
D’ailleurs l'échec est un élément important de l'agilité. Il constitue souvent la pierre d'achoppement du changement et permet de le justifier de manière quasi immédiate. L’agilité intellectuelle est donc une qualité indéniable d’un bon leader en période de crise : elle lui permettra de pouvoir initier des mouvements rapides et de modeler efficacement son organisation face à la situation.
Savoir être transparent
Dans les situations de crise, il est impossible de tout savoir. Il faut donc être clair sur ce qu’on sait et aussi sur ce qu’on ne sait pas.
Inventer, broder, voir mentir ne sont pas de bonnes solutions. Les vérités éclatent toujours et elles conduisent, dans ce cas, à décrédibiliser totalement un dirigeant, rompant le lien de confiance qu’il a pu mettre beaucoup de temps à construire.
Il est donc important d’être humble, transparent et d’admettre ce qu’on ne sait pas. Ainsi, le leader permet à chacun de mieux comprendre la base des données maîtrisées et la base factuelle des décisions prises.
Faire preuve d’empathie
En se mettant dans la situation de la ou des personnes à qui il communique, un bon dirigeant crée un lien émotionnel. Celui-ci est important en cas de crise car il permet de mieux souder les gens entre eux et de ne pas creuser les divisions. De plus, faire preuve d’empathie signifie que le leader est proche de ses troupes, partage leurs soucis et ne vit pas dans une tour d’ivoire. Il faut tout de même être vigilant à ce que cette empathie ne soit pas feinte et ne s’appuie pas que sur des mots. Elle doit se traduire dans des faits concrets et une action quotidienne au plus près des équipes. Sinon, elle devient juste un artifice de communication et perd toutes ses conséquences positives.
Savoir prendre des décisions
En période de grands changements, les dirigeants doivent souvent juger d’une situation avec des données parfois limitées et une urgence quant à la prise de décision requise.
Ces situations sont souvent radicalement différentes des moments où le consensus prime et où les décisions sont issues d’une réflexion longuement murie et partagée. Elles sont donc déroutantes pour certains dirigeants qui ne sont pas enclins à sortir de cette zone de confort.
En revanche, les managers et les leaders qui peuvent prendre des décisions rapides et ont le courage de défendre ces décisions, sont plus à même de franchir les périodes de troubles sans problème.
Ils peuvent bien sûr commettre des erreurs mais ils auront plus d’aptitudes à les corriger rapidement. Au contraire, ils ne tomberont pas dans le piège fatidique de la non prise de décision qui paralyse souvent certains dirigeants en période de crises.
Les dirigeants qui attendent que les réponses deviennent claires ou qui adhèrent à une chaîne de commandement stricte renoncent souvent aux avantages de la pensée créative de leur équipe et peuvent rater des opportunités critiques.
Savoir communiquer efficacement
En cas de crise, il existe un risque de surcharge d'informations. Les bons leaders peuvent distiller les informations les plus importantes et les présenter avec le ton et la fréquence appropriées. Cette approche de la communication permet aux gens de rester concentrés sur ce qui est important et de les doter des connaissances dont ils ont besoin pour agir pendant une période d’incertitude.
La communication est primordiale dans les situations où les choses changent parfois d'heure en heure. Les dirigeants qui le font bien reconnaissent qu'ils doivent être authentiques et concis. Ils préparent leurs équipes à ce que les circonstances puissent changer souvent.
Le flux d'informations des dirigeants aide leurs équipes à prioriser, à assumer leurs responsabilités et à s'adapter en temps réel.
Il ne faudra pas non plus oublier que la sécurité de la communication est essentielle en temps de crise. Ainsi, les communications par internet devront être sécurisées en passant toujours par un VPN. L’essai gratuit d’un VPN doit d’ailleurs être une priorité des équipes dirigeantes pour mettre en place ce genre d’outil avant qu’une crise ne survienne.
Savoir être agile
L'agilité organisationnelle est essentielle en période de crise et, par conséquent, en tant que leader, la démonstration de la compétence de l'agilité est primordiale.
Un bon manager ou leader doit être agile dans la façon dont il prend ses décisions. Les leaders efficaces reconnaissent qu’ils ne possèdent pas toutes les réponses à toutes les questions. Mais ils étudient la situation, rassemblent les données disponibles, et déterminent la meilleure voie à suivre.
Pendant une crise, un dirigeant efficace ne recule pas. Il peut changer de cap, provoquer le changement mais doit le faire à une vitesse fulgurante. Un bon dirigeant doit être aussi capable de gérer l'ambiguïté.
D’ailleurs l'échec est un élément important de l'agilité. Il constitue souvent la pierre d'achoppement du changement et permet de le justifier de manière quasi immédiate. L’agilité intellectuelle est donc une qualité indéniable d’un bon leader en période de crise : elle lui permettra de pouvoir initier des mouvements rapides et de modeler efficacement son organisation face à la situation.
Savoir être transparent
Dans les situations de crise, il est impossible de tout savoir. Il faut donc être clair sur ce qu’on sait et aussi sur ce qu’on ne sait pas.
Inventer, broder, voir mentir ne sont pas de bonnes solutions. Les vérités éclatent toujours et elles conduisent, dans ce cas, à décrédibiliser totalement un dirigeant, rompant le lien de confiance qu’il a pu mettre beaucoup de temps à construire.
Il est donc important d’être humble, transparent et d’admettre ce qu’on ne sait pas. Ainsi, le leader permet à chacun de mieux comprendre la base des données maîtrisées et la base factuelle des décisions prises.
Faire preuve d’empathie
En se mettant dans la situation de la ou des personnes à qui il communique, un bon dirigeant crée un lien émotionnel. Celui-ci est important en cas de crise car il permet de mieux souder les gens entre eux et de ne pas creuser les divisions. De plus, faire preuve d’empathie signifie que le leader est proche de ses troupes, partage leurs soucis et ne vit pas dans une tour d’ivoire. Il faut tout de même être vigilant à ce que cette empathie ne soit pas feinte et ne s’appuie pas que sur des mots. Elle doit se traduire dans des faits concrets et une action quotidienne au plus près des équipes. Sinon, elle devient juste un artifice de communication et perd toutes ses conséquences positives.