© BCI
Le mardi 25 juillet à partir de 01h10, France 2 proposera un documentaire de Mathieu Miranville et réalisé par Vianney Sotès qui nous propose (re)découvrir les champions ultramarins d'hier et d'aujourd'hui qui ont marqué l'histoire de l'olympisme français tels que Marie-José Pérec, Jackson Richardson, Laura Flessel ou encore Teddy Riner...
Qui mieux que Teddy Riner peut incarner l’histoire d’amour que la France entretient avec les Jeux Olympiques ?
Icône du sport tricolore, adulé du public, double champion olympique de judo, Teddy Riner, né en Guadeloupe, ne manque pas une occasion de revendiquer son attachement à sa terre d’origine, comme beaucoup d’athlètes ultramarins.
Leur forte présence dans la délégation tricolore marque l’originalité de la France lors des cérémonies d’ouverture des J.O. À tel point que quatre champions venus d’Outre-mer ont été désignés porte-drapeau depuis 1996 : Marie-José Pérec, Jackson Richardson, Laura Flessel et Teddy Riner.
L’histoire d’amour entre l’olympisme et les sportifs ultramarins débute aux Jeux de Berlin en 1936 avec le pionnier Maurice Carlton. Dans la capitale du Reich, le sprinter guadeloupéen côtoie le quadruple champion olympique afro-américain Jesse Owens qui impose la figure de l’athlète noir. Au grand dam d’Adolf Hitler qui avait voulu faire de ces Jeux allemands le symbole de la supériorité de la race aryenne.
Au cours des décennies suivantes, tout n’a pas toujours été simple pour les héritiers de Maurice Carlton, qui ont dû redoubler d’efforts pour se faire accepter en équipe de France. Discriminations, arrachement à leur terre... Rien ne leur a été épargné pour assouvir le rêve olympique.
Le journaliste Mathieu Méranville, spécialiste de l’olympisme, et le réalisateur Vianney Sotès sont partis en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique et à La Réunion, à la rencontre de ces femmes et de ces hommes qui ont permis l’émergence des sportifs ultramarins au niveau mondial. Leur quête olympique les a conduits à faire briller à la fois le drapeau tricolore et leur région d’origine.
Le documentaire sera à voir le 25 juillet sur la plateforme France.TV et dès 01h10 (horaire Métropole, ndlr) sur France 2. Le film sera aussi diffusé ultérieurement sur les chaînes La 1ère en Outre-Mer.
Qui mieux que Teddy Riner peut incarner l’histoire d’amour que la France entretient avec les Jeux Olympiques ?
Icône du sport tricolore, adulé du public, double champion olympique de judo, Teddy Riner, né en Guadeloupe, ne manque pas une occasion de revendiquer son attachement à sa terre d’origine, comme beaucoup d’athlètes ultramarins.
Leur forte présence dans la délégation tricolore marque l’originalité de la France lors des cérémonies d’ouverture des J.O. À tel point que quatre champions venus d’Outre-mer ont été désignés porte-drapeau depuis 1996 : Marie-José Pérec, Jackson Richardson, Laura Flessel et Teddy Riner.
L’histoire d’amour entre l’olympisme et les sportifs ultramarins débute aux Jeux de Berlin en 1936 avec le pionnier Maurice Carlton. Dans la capitale du Reich, le sprinter guadeloupéen côtoie le quadruple champion olympique afro-américain Jesse Owens qui impose la figure de l’athlète noir. Au grand dam d’Adolf Hitler qui avait voulu faire de ces Jeux allemands le symbole de la supériorité de la race aryenne.
Au cours des décennies suivantes, tout n’a pas toujours été simple pour les héritiers de Maurice Carlton, qui ont dû redoubler d’efforts pour se faire accepter en équipe de France. Discriminations, arrachement à leur terre... Rien ne leur a été épargné pour assouvir le rêve olympique.
Le journaliste Mathieu Méranville, spécialiste de l’olympisme, et le réalisateur Vianney Sotès sont partis en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique et à La Réunion, à la rencontre de ces femmes et de ces hommes qui ont permis l’émergence des sportifs ultramarins au niveau mondial. Leur quête olympique les a conduits à faire briller à la fois le drapeau tricolore et leur région d’origine.
Le documentaire sera à voir le 25 juillet sur la plateforme France.TV et dès 01h10 (horaire Métropole, ndlr) sur France 2. Le film sera aussi diffusé ultérieurement sur les chaînes La 1ère en Outre-Mer.