Depuis le 1er Décembre, la diffusion en AM, en modulation d’amplitude, est arrêtée sur la Polynésie française. La fréquence des 736 kHz reste muette dans les archipels.
Au total 48 émetteurs sont au service du public, mais vu l’immensité du pays, des zones restent éloignées des ondes. Une décision nationale qui affecte un bon nombre de familles, pour qui la radio est encore le seul lien avec le reste du pays.
Dans un communiqué qu'on publie ci-dessous, la présidence indique avoir pris connaissance de l’interpellation de l’association Te Tia Ara relative à l’arrêt des émissions radiophoniques en ondes longues (bande AM).
Le Communiqué
Le gouvernement partage totalement les inquiétudes de l’association et plus largement des populations des îles éloignées. De même que l’a fait le le Haut-commissaire, le président de la Polynésie française, sans attendre, a déjà saisi Mme Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, pour lui demander de reconsidérer sa décision.
La dispersion géographique de la Polynésie française ne permet pas à certaines îles éloignées de capter les émissions radiophoniques en modulation de fréquences (bande FM). La bande AM permettait de maintenir le lien social, et surtout de véhiculer les messages d’alerte, notamment à l’approche de cyclones ou de toute autre calamité naturelle.
Dans le cadre de la mission de service public qui lui est dévolue, le groupe France Télévisions se doit de prendre en compte les particularités géographiques de la Polynésie française et de maintenir ce vecteur d’information unique et indispensable aux populations isolées.
Au total 48 émetteurs sont au service du public, mais vu l’immensité du pays, des zones restent éloignées des ondes. Une décision nationale qui affecte un bon nombre de familles, pour qui la radio est encore le seul lien avec le reste du pays.
Dans un communiqué qu'on publie ci-dessous, la présidence indique avoir pris connaissance de l’interpellation de l’association Te Tia Ara relative à l’arrêt des émissions radiophoniques en ondes longues (bande AM).
Le Communiqué
Le gouvernement partage totalement les inquiétudes de l’association et plus largement des populations des îles éloignées. De même que l’a fait le le Haut-commissaire, le président de la Polynésie française, sans attendre, a déjà saisi Mme Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, pour lui demander de reconsidérer sa décision.
La dispersion géographique de la Polynésie française ne permet pas à certaines îles éloignées de capter les émissions radiophoniques en modulation de fréquences (bande FM). La bande AM permettait de maintenir le lien social, et surtout de véhiculer les messages d’alerte, notamment à l’approche de cyclones ou de toute autre calamité naturelle.
Dans le cadre de la mission de service public qui lui est dévolue, le groupe France Télévisions se doit de prendre en compte les particularités géographiques de la Polynésie française et de maintenir ce vecteur d’information unique et indispensable aux populations isolées.