© Crédit Photo : Matheus Bertelli
La Capitale French Tech La Réunion en partenariat avec les communautés French Tech d’outre-mer : Mayotte, Nouvelle-Calédonie, Polynésie, Guadeloupe et bientôt Guyane et Martinique, organise une série d’événements « crashtest ». Les start-ups d’outre-mer auront l’opportunité de passer devant un jury ultramarin afin de tester leur pitch en conditions réelles. Un entraînement grandeur nature sous l’œil bienveillant d’experts issus de leurs territoires.
Les startups d'outre-mer font face à des défis spécifiques qui peuvent entraver leur développement et leur succès. En raison de leur éloignement géographique, ces jeunes entreprises innovantes peuvent avoir du mal à accéder à des ressources essentielles telles que des investisseurs, des mentors expérimentés ou encore des partenaires commerciaux. La taille limitée de nos marchés restreint également leur potentiel de croissance et leur capacité à attirer suffisamment de clients et de revenus.
Pour surmonter ces difficultés, nos start-ups doivent chercher des opportunités de financement, nouer des partenariats avec des investisseurs locaux & internationaux. Pour les préparer, la French Tech La Réunion propose de tester la viabilité et la résistance des start-ups d’outre-mer, en mettant à l'épreuve leurs modèles commerciaux, leurs stratégies de croissance, leur résilience ou encore leur capacité à s'adapter aux conditions du marché. Pour cela, elle a créé les “crash test”, organisés en partenariat avec les communautés French Tech d’outre-mer : Mayotte, Nouvelle-Calédonie, Polynésie, Guadeloupe, et bientôt Guyane et Martinique, qui se tiendront les 28 septembre et 31 octobre à 9h Réunion.
Cette initiative vise à renforcer l’écosystème entrepreneurial de nos territoires d’outre-mer en favorisant les échanges de connaissances et la collaboration entre start-ups ultramarines. En identifiant les points faibles et apportant des solutions adaptées aux défis spécifiques de nos start-ups, ces “crash tests” permettront de stimuler leur croissance et leur compétitivité au niveau national et international. La proximité et la complémentarité entre nos différents territoires offre également des opportunités de partenariats stratégiques, d’échanges de bonnes pratiques et d’accès à de nouveaux marchés. L’ensemble des territoires d’outre-mer collabore sur ce nouvel outil à disposition de leurs start-ups afin de créer un environnement propice à leur essor et leur permettre de surmonter certaines barrières.
Pour participer à ces Crash Test, les conditions requises sont les suivantes : Avoir une perspective de levée de fonds envisagée dans les 18 prochains mois, rechercher un financement à partir de 500K€, avoir une entreprise de moins de 10 ans dont le siège social est situé à La Réunion, Mayotte, Polynésie, Nouvelle Calédonie, Martinique, Guyane ou Guadeloupe. Les inscriptions se font sur : https://forms.gle/mc3oDBoGtuKzSn828
« Les crashtests vont perme0re à nos startups de détecter des faiblesses potentielles, identifier des domaines d'amélioration, gagner en clarté sur leur vision et surtout, ils vont les aider à se préparer à candidater à des concours nationaux. Autant de missions qui relèvent de la feuille de route de la French Tech La Réunion » a déclaré Julie Van Snick, directrice générale déléguée.
Les startups d'outre-mer font face à des défis spécifiques qui peuvent entraver leur développement et leur succès. En raison de leur éloignement géographique, ces jeunes entreprises innovantes peuvent avoir du mal à accéder à des ressources essentielles telles que des investisseurs, des mentors expérimentés ou encore des partenaires commerciaux. La taille limitée de nos marchés restreint également leur potentiel de croissance et leur capacité à attirer suffisamment de clients et de revenus.
Pour surmonter ces difficultés, nos start-ups doivent chercher des opportunités de financement, nouer des partenariats avec des investisseurs locaux & internationaux. Pour les préparer, la French Tech La Réunion propose de tester la viabilité et la résistance des start-ups d’outre-mer, en mettant à l'épreuve leurs modèles commerciaux, leurs stratégies de croissance, leur résilience ou encore leur capacité à s'adapter aux conditions du marché. Pour cela, elle a créé les “crash test”, organisés en partenariat avec les communautés French Tech d’outre-mer : Mayotte, Nouvelle-Calédonie, Polynésie, Guadeloupe, et bientôt Guyane et Martinique, qui se tiendront les 28 septembre et 31 octobre à 9h Réunion.
Cette initiative vise à renforcer l’écosystème entrepreneurial de nos territoires d’outre-mer en favorisant les échanges de connaissances et la collaboration entre start-ups ultramarines. En identifiant les points faibles et apportant des solutions adaptées aux défis spécifiques de nos start-ups, ces “crash tests” permettront de stimuler leur croissance et leur compétitivité au niveau national et international. La proximité et la complémentarité entre nos différents territoires offre également des opportunités de partenariats stratégiques, d’échanges de bonnes pratiques et d’accès à de nouveaux marchés. L’ensemble des territoires d’outre-mer collabore sur ce nouvel outil à disposition de leurs start-ups afin de créer un environnement propice à leur essor et leur permettre de surmonter certaines barrières.
Pour participer à ces Crash Test, les conditions requises sont les suivantes : Avoir une perspective de levée de fonds envisagée dans les 18 prochains mois, rechercher un financement à partir de 500K€, avoir une entreprise de moins de 10 ans dont le siège social est situé à La Réunion, Mayotte, Polynésie, Nouvelle Calédonie, Martinique, Guyane ou Guadeloupe. Les inscriptions se font sur : https://forms.gle/mc3oDBoGtuKzSn828
« Les crashtests vont perme0re à nos startups de détecter des faiblesses potentielles, identifier des domaines d'amélioration, gagner en clarté sur leur vision et surtout, ils vont les aider à se préparer à candidater à des concours nationaux. Autant de missions qui relèvent de la feuille de route de la French Tech La Réunion » a déclaré Julie Van Snick, directrice générale déléguée.