À l’occasion de la troisième édition de la Semaine de la Fraternité et des Solidarités, la ville de Saint-Denis et son Centre Communal d’Action Sociale, seront dans plusieurs quartiers de la capitale pour aller au plus près des citoyens. Au programme : un village d’accès aux droits et de multiples actions fraternelles et solidaires pour permettre notamment à tous les citoyens d’avoir accès à l’ensemble des institutions qui proposent un accompagnement ou des aides. Pendant une semaine, du 9 au 13 octobre, les rencontres vont être intenses et divertissantes afin que chacun puisse faire valoir ses droits et réclamer les aides prévues !
La politique de l’équipe municipale de Saint-Denis et son CCAS le prouve depuis le début de la mandature : la plus grande ville ultra-marine, s’attaque à la pauvreté, à la discrimination et aux idées reçues. Avec une politique de fraternité et de solidarité offensive et diversifiée, à destination de tous, des plus démunis, des exclus, des discriminés, ces deux institutions luttent pour que tous les citoyens puissent faire valeur leurs droits, aient accès à tous les services simplement afin d’avoir accès à une information complète sur les différentes aides existantes.
La Semaine de la Fraternité et des Solidarités organisée du 9 au 13 octobre, permet de mettre en œuvre, pour la troisième année consécutive, des actions avec tous les services sociaux fléchés afin d’aller Droit au BUS (Le bus d’accès aux droits du CCAS de la Ville de Saint-Denis) pour y trouver l’accompagnement et l’aide nécessaire avec les partenaires présents tels que Le Département de La Réunion, La CGSS, La CAF, L’ADRIE et Solidarnum.
Mais aussi des actions fortes de sensibilisations, de préventions ou d’animations réalisées par la Direction Générale Adjointe Ville Fraternelle de la ville de Saint-Denis : sensibilisation de la langue des signes dans les écoles primaires, démonstration d’outil numérique qui traduit la langue des signes en Mairie Annexe, séance de zumba, de yoga, de danse pour les séniors, tournoi eSport pour les personnes autistes, plantations avec des écoliers au jardin de la Fraternité, auto-réhabilitation de logement, activités intergénérationnelles dans les crèches, les animations proposées sont riches et diversifiées.
Les ateliers organisés au sein des crèches vont permettre aux grands-parents des enfants d’accompagner les petits à la crèche et de participer à différentes activités. Cela pourra aussi permettre de repérer les talents et les envies des aïeux afin de développer éventuellement de nouvelles activités.
Dans l’intergénérationnel aussi, les actions Nout’zarlor vont sublimer la relation que les enfants entretiennent avec les gramounes grâce à des ateliers de partage, de chant. Ensemble, ils vont réaliser un tableau « l’Arbre de vie ». A l’aide de la peinture, ils pourront apposer l’empreinte de leurs mains sur l’arbre, symbolisant la transmission mais aussi l’unité de la famille.
« Nous avons voulu ce programme varié et attractif. Avec nos institutions et les associations partenaires nous savons que ces moments sont vecteurs de rencontres, d’échanges et de partage. Nous pouvons travailler autour de ces animations sociales pour accompagner les dionysiennes et dionysiens les plus en difficultés », synthétise Ericka Bareigts, Maire de Saint-Denis et Présidente du CCAS de Saint-Denis.
Effectivement, de nombreuses aides sociales ne sont pas distribuées car elles ne sont pas demandées par les bénéficiaires : cela s’appelle le non-recours. Nationalement, on estime qu’il y a 36 % de non-recours pour le RSA, 27 % de non-recours pour la prime d’activité, entre 21 et 34 % de non-recours pour la CMUC (couverture maladie universelle) et c’est encore plus important à La Réunion.
Le CCAS de Saint-Denis fait de cette lutte sa priorité. « Il est insupportable de voir que des gens ne peuvent vivre dignement alors qu’ils auraient droit à des aides. Nous ne pouvons, surtout dans le contexte actuel, accepter que des familles, des enfants, des seniors, ne vivent pas dans la dignité. Dans le cadre de mon mandat au Conseil départemental, je m’attache à ce que ce village d’accès aux droits, regroupement des compétences institutionnelles qui est indispensable à la bonne application des droits de tous les citoyens. Ces compétences-là doivent être présentes plus régulièrement dans les quartiers », affirme David Belda, Président-délégué du CCAS de Saint Denis.
Cette précarité est souvent liée à une méconnaissance des dispositifs d’aides ou à des difficultés d’accès à ces dispositifs et aux droits communs. Face à l’ampleur du travail accompli et à accomplir, Saint-Denis organise un village d’accès aux droits, itinérant et permettant aux citoyens de trouver au même endroit tous les services sociaux (Département de La Réunion , la CGSS, la CAF, L’ADRIE, Solidarnum…). L’objectif majeur est la mise en place d’une synergie des services autour du CCAS. Il existe effectivement plusieurs dispositifs sur l’ensemble du territoire de la Ville travaillant au repérage et au diagnostic des différentes problématiques des plus démunis. La mise en réseau des partenaires et donc un travail collectif peut débloquer de nombreuses situations.
Autour de ce village d’accès aux droits, de nombreuses actions fraternelles et solidaires sont organisées par les Directions Ville Fraternelle et Ville Citoyenne (Direction Santé Publique, Direction du Logement, Direction Intégration – Handicap – Égalité – Lutte contre les Discrimination, Direction Sénior, Direction Jeunesse) afin que ce travail social soit vecteur de vivre ensemble et de partage. « Bien entendu, nous voulons que chacun ait les ressources de vivre dignement, et nous voulons que ces rencontres soient des moments de réjouissance et encore plus quand on y trouve des solutions », continue l’élu.
La politique de l’équipe municipale de Saint-Denis et son CCAS le prouve depuis le début de la mandature : la plus grande ville ultra-marine, s’attaque à la pauvreté, à la discrimination et aux idées reçues. Avec une politique de fraternité et de solidarité offensive et diversifiée, à destination de tous, des plus démunis, des exclus, des discriminés, ces deux institutions luttent pour que tous les citoyens puissent faire valeur leurs droits, aient accès à tous les services simplement afin d’avoir accès à une information complète sur les différentes aides existantes.
La Semaine de la Fraternité et des Solidarités organisée du 9 au 13 octobre, permet de mettre en œuvre, pour la troisième année consécutive, des actions avec tous les services sociaux fléchés afin d’aller Droit au BUS (Le bus d’accès aux droits du CCAS de la Ville de Saint-Denis) pour y trouver l’accompagnement et l’aide nécessaire avec les partenaires présents tels que Le Département de La Réunion, La CGSS, La CAF, L’ADRIE et Solidarnum.
Mais aussi des actions fortes de sensibilisations, de préventions ou d’animations réalisées par la Direction Générale Adjointe Ville Fraternelle de la ville de Saint-Denis : sensibilisation de la langue des signes dans les écoles primaires, démonstration d’outil numérique qui traduit la langue des signes en Mairie Annexe, séance de zumba, de yoga, de danse pour les séniors, tournoi eSport pour les personnes autistes, plantations avec des écoliers au jardin de la Fraternité, auto-réhabilitation de logement, activités intergénérationnelles dans les crèches, les animations proposées sont riches et diversifiées.
Les ateliers organisés au sein des crèches vont permettre aux grands-parents des enfants d’accompagner les petits à la crèche et de participer à différentes activités. Cela pourra aussi permettre de repérer les talents et les envies des aïeux afin de développer éventuellement de nouvelles activités.
Dans l’intergénérationnel aussi, les actions Nout’zarlor vont sublimer la relation que les enfants entretiennent avec les gramounes grâce à des ateliers de partage, de chant. Ensemble, ils vont réaliser un tableau « l’Arbre de vie ». A l’aide de la peinture, ils pourront apposer l’empreinte de leurs mains sur l’arbre, symbolisant la transmission mais aussi l’unité de la famille.
« Nous avons voulu ce programme varié et attractif. Avec nos institutions et les associations partenaires nous savons que ces moments sont vecteurs de rencontres, d’échanges et de partage. Nous pouvons travailler autour de ces animations sociales pour accompagner les dionysiennes et dionysiens les plus en difficultés », synthétise Ericka Bareigts, Maire de Saint-Denis et Présidente du CCAS de Saint-Denis.
Effectivement, de nombreuses aides sociales ne sont pas distribuées car elles ne sont pas demandées par les bénéficiaires : cela s’appelle le non-recours. Nationalement, on estime qu’il y a 36 % de non-recours pour le RSA, 27 % de non-recours pour la prime d’activité, entre 21 et 34 % de non-recours pour la CMUC (couverture maladie universelle) et c’est encore plus important à La Réunion.
Le CCAS de Saint-Denis fait de cette lutte sa priorité. « Il est insupportable de voir que des gens ne peuvent vivre dignement alors qu’ils auraient droit à des aides. Nous ne pouvons, surtout dans le contexte actuel, accepter que des familles, des enfants, des seniors, ne vivent pas dans la dignité. Dans le cadre de mon mandat au Conseil départemental, je m’attache à ce que ce village d’accès aux droits, regroupement des compétences institutionnelles qui est indispensable à la bonne application des droits de tous les citoyens. Ces compétences-là doivent être présentes plus régulièrement dans les quartiers », affirme David Belda, Président-délégué du CCAS de Saint Denis.
Cette précarité est souvent liée à une méconnaissance des dispositifs d’aides ou à des difficultés d’accès à ces dispositifs et aux droits communs. Face à l’ampleur du travail accompli et à accomplir, Saint-Denis organise un village d’accès aux droits, itinérant et permettant aux citoyens de trouver au même endroit tous les services sociaux (Département de La Réunion , la CGSS, la CAF, L’ADRIE, Solidarnum…). L’objectif majeur est la mise en place d’une synergie des services autour du CCAS. Il existe effectivement plusieurs dispositifs sur l’ensemble du territoire de la Ville travaillant au repérage et au diagnostic des différentes problématiques des plus démunis. La mise en réseau des partenaires et donc un travail collectif peut débloquer de nombreuses situations.
Autour de ce village d’accès aux droits, de nombreuses actions fraternelles et solidaires sont organisées par les Directions Ville Fraternelle et Ville Citoyenne (Direction Santé Publique, Direction du Logement, Direction Intégration – Handicap – Égalité – Lutte contre les Discrimination, Direction Sénior, Direction Jeunesse) afin que ce travail social soit vecteur de vivre ensemble et de partage. « Bien entendu, nous voulons que chacun ait les ressources de vivre dignement, et nous voulons que ces rencontres soient des moments de réjouissance et encore plus quand on y trouve des solutions », continue l’élu.
La capitale réunionnaise en quelques chiffres
153001 personnes vivent à Saint-Denis en 2020 selon l’Insee
50000 personnes vivent sous le seuil de pauvreté, Source Insee, Filosofi 2018 – Traitement Compas
50000 personnes reçues au CCAS de Saint-Denis en 2022
20000 personnes ont reçu une aide du CCAS en 2022 dont 6000 pour une aide alimentaire.
460 personnes sont sans domicile fixe à Saint-Denis
50000 personnes vivent sous le seuil de pauvreté, Source Insee, Filosofi 2018 – Traitement Compas
50000 personnes vivent sous le seuil de pauvreté, Source Insee, Filosofi 2018 – Traitement Compas
50000 personnes reçues au CCAS de Saint-Denis en 2022
20000 personnes ont reçu une aide du CCAS en 2022 dont 6000 pour une aide alimentaire.
460 personnes sont sans domicile fixe à Saint-Denis
50000 personnes vivent sous le seuil de pauvreté, Source Insee, Filosofi 2018 – Traitement Compas