La 5G, cinquième génération de standards pour la téléphonie mobile était le sujet central du "Hello Show" d'Orange, faisant suite à la 4G.
Complémentaire aux autres réseaux mobiles d'anciennes générations (2G, 3G, 4G), la 5G apportera la vitesse de la Fibre dans le monde du mobile. Une technologie idéale pour regarder des vidéos de très haute résolution (type 4K, 3D) sur smartphone, et pour expérimenter la réalité virtuelle.
La 5G connectera les objets à internet et répondra aux usages de demain telle que la télémédecine, la voiture autonome, l’éducation en ligne ou encore l’agriculture connectée.
En test chez quelques opérateurs depuis quelques mois en Outre-Mer, où un débit supérieur à 1Gbit/s avec une technologie radio mobile a été constaté, son lancement est prévu dans le courant de l'année 2020-2021.
Des expérimentations ont lieu dans divers villes de France dont Marseille, Lille, Nantes ou encore à Paris mais aussi à Saint-Denis de l'île de la Réunion mais en septembre prochain.
Des risques pour la santé ?
Une pétition suivi par plus de 170 scientifiques et médecins de 37 pays demandent un moratoire sur le déploiement de la 5G jusqu'à ce que des études d'impact sanitaires et environnementales sérieuses et indépendantes aient été réalisées préalablement à toute mise sur le marché.
Fabienne Dulac, directrice générale adjointe d'Orange France auprès de nos confrères de Réunion La 1ère rassure: "Aujourd'hui, l'OMS a émis des recommandations que nous suivons […] Il n'a pas été décelé de risques dans le déploiement des réseaux mobiles. En revanche, il est demandé, dans un risque de précaution et de prévention, de suivre un certain nombre de normes. Ce que nous faisons à chaque changement de réseau".
En France, Les risques pour la santé sont étudiés par l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail).
La plus grande focalisation des antennes 5G, les nouvelles gammes d’ondes utilisées nécessitent d’approfondir les méthodes de mesures et de préciser les limites sanitaires à adopter.
En France, l’ANFR étudie, notamment pendant les phases pilotes de tests 5G, l’impact de ces nouvelles technologies dans la façon de mesurer les niveaux d’exposition du public aux ondes.
Les données recueillies seront communiquées à l’ANSES pour qu’elle conduise au mieux son expertise sur les aspects sanitaires.
Complémentaire aux autres réseaux mobiles d'anciennes générations (2G, 3G, 4G), la 5G apportera la vitesse de la Fibre dans le monde du mobile. Une technologie idéale pour regarder des vidéos de très haute résolution (type 4K, 3D) sur smartphone, et pour expérimenter la réalité virtuelle.
La 5G connectera les objets à internet et répondra aux usages de demain telle que la télémédecine, la voiture autonome, l’éducation en ligne ou encore l’agriculture connectée.
En test chez quelques opérateurs depuis quelques mois en Outre-Mer, où un débit supérieur à 1Gbit/s avec une technologie radio mobile a été constaté, son lancement est prévu dans le courant de l'année 2020-2021.
Des expérimentations ont lieu dans divers villes de France dont Marseille, Lille, Nantes ou encore à Paris mais aussi à Saint-Denis de l'île de la Réunion mais en septembre prochain.
Des risques pour la santé ?
Une pétition suivi par plus de 170 scientifiques et médecins de 37 pays demandent un moratoire sur le déploiement de la 5G jusqu'à ce que des études d'impact sanitaires et environnementales sérieuses et indépendantes aient été réalisées préalablement à toute mise sur le marché.
Fabienne Dulac, directrice générale adjointe d'Orange France auprès de nos confrères de Réunion La 1ère rassure: "Aujourd'hui, l'OMS a émis des recommandations que nous suivons […] Il n'a pas été décelé de risques dans le déploiement des réseaux mobiles. En revanche, il est demandé, dans un risque de précaution et de prévention, de suivre un certain nombre de normes. Ce que nous faisons à chaque changement de réseau".
En France, Les risques pour la santé sont étudiés par l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail).
La plus grande focalisation des antennes 5G, les nouvelles gammes d’ondes utilisées nécessitent d’approfondir les méthodes de mesures et de préciser les limites sanitaires à adopter.
En France, l’ANFR étudie, notamment pendant les phases pilotes de tests 5G, l’impact de ces nouvelles technologies dans la façon de mesurer les niveaux d’exposition du public aux ondes.
Les données recueillies seront communiquées à l’ANSES pour qu’elle conduise au mieux son expertise sur les aspects sanitaires.