Aujourd’hui, aucune partie de la planète ne peut se targuer d’avoir été épargnée par le COVID-19. La maladie a causé de nombreux cas de maladie, et fait de nombreuses victimes. En réalité, le COVID-19 a aussi eu un impact sur les relations internationales, sur la société humaine, et particulièrement sur les économies. Aujourd’hui encore, le COVID-19 a un impact sur la vie quotidienne, notamment le pouvoir d’achat.
L’économie mondiale touchée en plein cœur : la Chine
Dès l’annonce de l’existence du COVID-19 et la découverte de sa capacité de nuisance, des mesures ont tout de suite été prises par les gouvernements pour limiter sa propagation. On se rappelle de la mesure drastique des Etats-Unis de Donald Trump, ordonnant la restriction des voyages entre le pays la Chine, les pays de l’Europe Schengen, le Royaume-Uni, dans une moindre mesure le Mexique et le Canada. Même les réunions au niveau de l’ONU se tenaient en ligne.
Le virus a aussi provoqué une vague de mesures sanitaires visant à limiter sa propagation. En France, les entreprises ont ainsi été encouragées à s’équiper en masque et en gel hydroalcoolique, à informer les individus présentant des comorbidités de la possibilité de se vacciner volontairement. Le gouvernement a aussi enjoint les acteurs économiques à opter systématiquement pour le télétravail à tous les postes où cela est possible, à tenir systématiquement en ligne les réunions d’entreprise, et à assurer la distanciation sociale. En Chine, l’atelier du monde, le virus a même forcé des entreprises à alléger leur main d’œuvre, ralentissant ainsi toute la production mondiale dans plusieurs secteurs. Et c’est de là que vient le problème.
Le COVID-19 contamine toutes les économies
La Chine est l’atelier du monde, c’est-à-dire l’espace où est réalisé la plupart des produits vendus dans la plupart des pays du globe. En ce sens, une grande partie des prix dépend de la bonne santé et de l’efficacité économique du pays. Ainsi, si le pays rencontre des difficultés, cela s’en ressentira dans le monde entier.
C’est bien ce que le coronavirus est venu confirmer. A cause du COVID-19, des usines et des ports ont été fermés en Chine, ce qui a eu des répercussions sur l’ensemble de l’économie globale. En effet, ces fermetures ont engendré des retards de production, des périodes de pénuries, et par ricochet l’augmentation des prix dans divers secteurs. Dans la même veine, les conteneurs sont devenus de plus en plus rare, de plus en plus chers. Selon le Drewry World Container Index, sur la route de l’Est par exemple, l’expédition d’un conteneur est montée à 9 613 dollars, ce qui représente environ 3,6 fois le prix de l’opération à la même période en 2020. Du côté d’Amérique du sud, l’expédition d’un conteneur depuis Shangaï est quittée de 2 0000 dollars environ, à 7 000 dollars environ.
Augmentation des prix au marché
La conséquence naturelle en est que les prix des marchandises eux aussi vont augmenter. Adidas, Hasbro, Crocs et d’autres entreprises ont annoncé que la fin d’année sera difficile. Et cela se ressentira forcément sur les prix dans les magasins. C’est d’ailleurs ce qui explique l’inflation actuelle qui est déjà à 2,5% en France. Selon certains experts, la situation pourrait vite dégénérer comme en Grèce où, malgré les prix déjà élevés, des distributeurs de légumes et d’huile d’olives affirment que les prix de vente n’ont pas encore pris en compte l’augmentation des prix en mer. Au Pakistan, les plus pauvres doivent déjà choisir entre l’école, la santé, et l’alimentation. En Espagne, le prix de l’électricité a augmenté de 62,8%. Les brokers francais révèlent qu'avec la découverte du variant Omicron, les choses ne devraient pas s’arranger.
En France, la maladie pourrait provoquer une augmentation sur les produits importés comme les ordinateurs, le matériel médical (masque par exemple), les vêtements, l’électricité, les articles de sport, et surtout les jouets. Donc, pour ces fêtes de fins d’années, il vaut mieux adopter un comportement prévoyant, en considérant que les prochains peuvent être plus dur qu’on semble le croire.
L’économie mondiale touchée en plein cœur : la Chine
Dès l’annonce de l’existence du COVID-19 et la découverte de sa capacité de nuisance, des mesures ont tout de suite été prises par les gouvernements pour limiter sa propagation. On se rappelle de la mesure drastique des Etats-Unis de Donald Trump, ordonnant la restriction des voyages entre le pays la Chine, les pays de l’Europe Schengen, le Royaume-Uni, dans une moindre mesure le Mexique et le Canada. Même les réunions au niveau de l’ONU se tenaient en ligne.
Le virus a aussi provoqué une vague de mesures sanitaires visant à limiter sa propagation. En France, les entreprises ont ainsi été encouragées à s’équiper en masque et en gel hydroalcoolique, à informer les individus présentant des comorbidités de la possibilité de se vacciner volontairement. Le gouvernement a aussi enjoint les acteurs économiques à opter systématiquement pour le télétravail à tous les postes où cela est possible, à tenir systématiquement en ligne les réunions d’entreprise, et à assurer la distanciation sociale. En Chine, l’atelier du monde, le virus a même forcé des entreprises à alléger leur main d’œuvre, ralentissant ainsi toute la production mondiale dans plusieurs secteurs. Et c’est de là que vient le problème.
Le COVID-19 contamine toutes les économies
La Chine est l’atelier du monde, c’est-à-dire l’espace où est réalisé la plupart des produits vendus dans la plupart des pays du globe. En ce sens, une grande partie des prix dépend de la bonne santé et de l’efficacité économique du pays. Ainsi, si le pays rencontre des difficultés, cela s’en ressentira dans le monde entier.
C’est bien ce que le coronavirus est venu confirmer. A cause du COVID-19, des usines et des ports ont été fermés en Chine, ce qui a eu des répercussions sur l’ensemble de l’économie globale. En effet, ces fermetures ont engendré des retards de production, des périodes de pénuries, et par ricochet l’augmentation des prix dans divers secteurs. Dans la même veine, les conteneurs sont devenus de plus en plus rare, de plus en plus chers. Selon le Drewry World Container Index, sur la route de l’Est par exemple, l’expédition d’un conteneur est montée à 9 613 dollars, ce qui représente environ 3,6 fois le prix de l’opération à la même période en 2020. Du côté d’Amérique du sud, l’expédition d’un conteneur depuis Shangaï est quittée de 2 0000 dollars environ, à 7 000 dollars environ.
Augmentation des prix au marché
La conséquence naturelle en est que les prix des marchandises eux aussi vont augmenter. Adidas, Hasbro, Crocs et d’autres entreprises ont annoncé que la fin d’année sera difficile. Et cela se ressentira forcément sur les prix dans les magasins. C’est d’ailleurs ce qui explique l’inflation actuelle qui est déjà à 2,5% en France. Selon certains experts, la situation pourrait vite dégénérer comme en Grèce où, malgré les prix déjà élevés, des distributeurs de légumes et d’huile d’olives affirment que les prix de vente n’ont pas encore pris en compte l’augmentation des prix en mer. Au Pakistan, les plus pauvres doivent déjà choisir entre l’école, la santé, et l’alimentation. En Espagne, le prix de l’électricité a augmenté de 62,8%. Les brokers francais révèlent qu'avec la découverte du variant Omicron, les choses ne devraient pas s’arranger.
En France, la maladie pourrait provoquer une augmentation sur les produits importés comme les ordinateurs, le matériel médical (masque par exemple), les vêtements, l’électricité, les articles de sport, et surtout les jouets. Donc, pour ces fêtes de fins d’années, il vaut mieux adopter un comportement prévoyant, en considérant que les prochains peuvent être plus dur qu’on semble le croire.