© François Darmigny / Adenium TV
Alors que « Rendez-vous en terre inconnue » fête en 2017 ses 10 années de succès grâce à sa diffusion en prime time sur France 2, quoi de plus naturel que de continuer à prendre des nouvelles de nos hôtes du bout du monde ?
Que sont devenus les héros de Rendez-vous en terre inconnue ? Que reste-t-il de ce lien que nous avons eu la sensation de créer ? Comment vont-ils réagir en découvrant les films qui leurs ont été consacrés ?
Pour le savoir, les équipes de Rendez-vous en terre inconnue souhaitent retourner en Éthiopie, en Inde et en Tanzanie. Et ainsi retrouver Lokomsio, Lokwam, Toro Lomo, Rhupa, Hari, Koku, Mepukori, Raelli, Naingunya ou encore Ngosila.
Retour en terre inconnue
Comme en 2009, 2012 et 2015, lors d'une émission exceptionnelle, Frédéric Lopez et son équipe seront entourés, en plateau, de Zabou Breitman, François-Xavier Demaison et Mélissa Theuriau. Tous ensemble, ils répondront à ces questions et révèleront les coulisses de leur aventure humaine en terre inconnue.
Dans cette émission spéciale, les trois personnalités revivront les meilleurs moments de leur Rendez-vous en terre inconnue et partageront avec le public leurs émotions et leurs souvenirs de ces rencontres inoubliables.
Lors de cette soirée événement, les télespectateurs découvriront les reportages inédits des équipes qui sont retournées en Éthiopie, en Inde et en Tanzanie. Franck Desplanques, rédacteur en chef de Rendez-vous en terre inconnue, viendra en plateau pour donner aux trois invités des nouvelles de ces familles qui ont ouvert leurs portes et souvent leurs cœurs.
À l'époque de Rendez-vous en terre inconnue
En 2011, Zabou Breitman est allée à la rencontre des Nyangatom, dans la basse vallée de l'Omo, à l'extrême sud-ouest de l'Éthiopie. Éleveurs, agriculteurs et pêcheurs, les Nyangatom ont longtemps eu la réputation d'être les guerriers les plus redoutables - et redoutés - de la vallée.
Il y a 5 ans, toute la région était sur le point de vivre des bouleversements sans précédents, menaçant l'équilibre de la vallée : construction de routes et d'un barrage hydroélectrique géant, pâturages peut-être remplacés par des milliers d'hectares de canne à sucre… Pour les Nyangatom, leur mode de vie et leur culture semblaient en sursis. Qu'en est-il aujourd'hui ?
ZABOU : « Il y a toujours un être humain qui résiste, qui déjoue le code et la convention et qui dit : non, ça, ce n'est pas juste. C'est le truc qui m'a le plus bouleversée. »
En 2013, François-Xavier Demaison a été accueilli chez les Raïka, bergers semi-nomades du Rajasthan. Les Raïka sont éleveurs de dromadaires et de petits ruminants. Ils peuvent parcourir des centaines de kilomètres chaque année, à la recherche de pâturages. Le nomadisme est aujourd'hui bien plus qu'un mode de vie ancestral.
C'est une nécessité vitale, tant la modernité resserre son étau autour d'eux. Pendant l'hiver, les familles habitent des bergeries et trouvent aux alentours suffisamment de pâturages pour leurs animaux. Là, presque coupés du monde, les Raïka retrouvent un environnement sauvage, peuplé d'ours et de léopards .
Le quotidien des Raïka est difficile, et la vie d'éleveur un choix que les jeunes ne veulent plus forcément faire. Sédentarisation, remise en question des mariages arrangés… Le poids des traditions est pour certains devenu trop lourd à porter. Et nul ne sait combien de temps encore la culture raïka survivra.
FX : « A mon arrivée, il m'était impossible d'imaginer passer plus d'une semaine dans ce lieu où de tels fauves rôdent. Et, rapidement, je me suis senti comme à la maison. C'est fou la capacité d'adaptation que l'on peut avoir et que l'on a tendance à sous-estimer… »
En 2013, Mélissa Theuriau a partagé le quotidien des Maasaï, à l'extrême nord de la Tanzanie. Entre savane, lacs salés et volcans mythiques, ces légendaires pasteurs guerriers veillent sur leurs troupeaux. Au cœur d'une région à la biodiversité extraordinaire, elle a découvert un peuple aux antipodes des clichés. Bergers pacifiques, refusant de tuer les animaux sauvages même pour se nourrir ; peuple solidaire et aimant, les Maasaï sont les témoins d'une tradition puissante et séculaire.
Pourtant, la modernité, avec ses atouts et ses mirages, est tout autour d'eux. Tout en défendant une identité et une culture forte, nos hôtes aspiraient à des changements, remettaient en cause certaines de leurs traditions. Ont-ils pu trouver un chemin, maintenir ce fragile équilibre ?
MELISSA : « Jamais je n'aurais imaginé m'attacher aussi intensément à des gens en si peu de temps. Notamment les enfants. Ce sont eux qui me manquent le plus depuis. »
L'émission se tourne ces jours-ci.
Que sont devenus les héros de Rendez-vous en terre inconnue ? Que reste-t-il de ce lien que nous avons eu la sensation de créer ? Comment vont-ils réagir en découvrant les films qui leurs ont été consacrés ?
Pour le savoir, les équipes de Rendez-vous en terre inconnue souhaitent retourner en Éthiopie, en Inde et en Tanzanie. Et ainsi retrouver Lokomsio, Lokwam, Toro Lomo, Rhupa, Hari, Koku, Mepukori, Raelli, Naingunya ou encore Ngosila.
Retour en terre inconnue
Comme en 2009, 2012 et 2015, lors d'une émission exceptionnelle, Frédéric Lopez et son équipe seront entourés, en plateau, de Zabou Breitman, François-Xavier Demaison et Mélissa Theuriau. Tous ensemble, ils répondront à ces questions et révèleront les coulisses de leur aventure humaine en terre inconnue.
Dans cette émission spéciale, les trois personnalités revivront les meilleurs moments de leur Rendez-vous en terre inconnue et partageront avec le public leurs émotions et leurs souvenirs de ces rencontres inoubliables.
Lors de cette soirée événement, les télespectateurs découvriront les reportages inédits des équipes qui sont retournées en Éthiopie, en Inde et en Tanzanie. Franck Desplanques, rédacteur en chef de Rendez-vous en terre inconnue, viendra en plateau pour donner aux trois invités des nouvelles de ces familles qui ont ouvert leurs portes et souvent leurs cœurs.
À l'époque de Rendez-vous en terre inconnue
En 2011, Zabou Breitman est allée à la rencontre des Nyangatom, dans la basse vallée de l'Omo, à l'extrême sud-ouest de l'Éthiopie. Éleveurs, agriculteurs et pêcheurs, les Nyangatom ont longtemps eu la réputation d'être les guerriers les plus redoutables - et redoutés - de la vallée.
Il y a 5 ans, toute la région était sur le point de vivre des bouleversements sans précédents, menaçant l'équilibre de la vallée : construction de routes et d'un barrage hydroélectrique géant, pâturages peut-être remplacés par des milliers d'hectares de canne à sucre… Pour les Nyangatom, leur mode de vie et leur culture semblaient en sursis. Qu'en est-il aujourd'hui ?
ZABOU : « Il y a toujours un être humain qui résiste, qui déjoue le code et la convention et qui dit : non, ça, ce n'est pas juste. C'est le truc qui m'a le plus bouleversée. »
En 2013, François-Xavier Demaison a été accueilli chez les Raïka, bergers semi-nomades du Rajasthan. Les Raïka sont éleveurs de dromadaires et de petits ruminants. Ils peuvent parcourir des centaines de kilomètres chaque année, à la recherche de pâturages. Le nomadisme est aujourd'hui bien plus qu'un mode de vie ancestral.
C'est une nécessité vitale, tant la modernité resserre son étau autour d'eux. Pendant l'hiver, les familles habitent des bergeries et trouvent aux alentours suffisamment de pâturages pour leurs animaux. Là, presque coupés du monde, les Raïka retrouvent un environnement sauvage, peuplé d'ours et de léopards .
Le quotidien des Raïka est difficile, et la vie d'éleveur un choix que les jeunes ne veulent plus forcément faire. Sédentarisation, remise en question des mariages arrangés… Le poids des traditions est pour certains devenu trop lourd à porter. Et nul ne sait combien de temps encore la culture raïka survivra.
FX : « A mon arrivée, il m'était impossible d'imaginer passer plus d'une semaine dans ce lieu où de tels fauves rôdent. Et, rapidement, je me suis senti comme à la maison. C'est fou la capacité d'adaptation que l'on peut avoir et que l'on a tendance à sous-estimer… »
En 2013, Mélissa Theuriau a partagé le quotidien des Maasaï, à l'extrême nord de la Tanzanie. Entre savane, lacs salés et volcans mythiques, ces légendaires pasteurs guerriers veillent sur leurs troupeaux. Au cœur d'une région à la biodiversité extraordinaire, elle a découvert un peuple aux antipodes des clichés. Bergers pacifiques, refusant de tuer les animaux sauvages même pour se nourrir ; peuple solidaire et aimant, les Maasaï sont les témoins d'une tradition puissante et séculaire.
Pourtant, la modernité, avec ses atouts et ses mirages, est tout autour d'eux. Tout en défendant une identité et une culture forte, nos hôtes aspiraient à des changements, remettaient en cause certaines de leurs traditions. Ont-ils pu trouver un chemin, maintenir ce fragile équilibre ?
MELISSA : « Jamais je n'aurais imaginé m'attacher aussi intensément à des gens en si peu de temps. Notamment les enfants. Ce sont eux qui me manquent le plus depuis. »
L'émission se tourne ces jours-ci.