Guillaume Branlat, Edgar Marsy et Philippe Labro © Tereos/C. Tellier
Alors qu’en décembre 2017, la filière canne sucre célébrait les 200 ans des sucreries réunionnaises, c’est à l’aéroport Roland garros que se poursuit l’aventure. Porte sur le monde, l’aéroport est apparu comme un lieu privilégié pour célébrer en images une page structurante de l’histoire de notre île.
Pas besoin de prendre l’avion pour aller apprécier cette exposition de photographies en noir et blanc en très grand format : une invitation au voyage à découvrir au sein de nombreux espaces de l’aéroport.
Le photographe Edgard Marsy, connu pour ses cartes postales en noir et blanc et ses collages, a été invité par Tereos à promener son regard d’artiste au cœur des usines sucrières à l’occasion de leur bicentenaire.
Résultat : une série d’images illustrant le quotidien de l’industrie sucrière, que Tereos a souhaité offrir au regard du grand public. Le projet a été proposé à l’aéroport Roland Garros, alors en pleine transformation (mise en place d’une nouvelle expérience passagers à travers un nouveau design, un nouveau circuit départs, de nouveaux espaces et de nouvelles enseignes de boutiques et restaurants). La collaboration a semblé évidente et le projet d’exposition a pu voir le jour.
L’art photographique se fait ici passerelle pour relier deux univers indissociables de l’économie locale et s’immerger au cœur de l’identité réunionnaise.
Habitué des photographies monumentales qu’il colle dans l’espace public, Edgar Marsy explore depuis ses débuts plusieurs thèmes de prédilection : l’homme et ses territoires, les liens entre la culture et l’agriculture dans l’océan Indien, les représentations réunionnaises et la mémoire.
Avec ce reportage à l’occasion du bicentenaire des sucreries, il livre six photographies qui viennent habiller l’aérogare, dont la plus monumentale vient recouvrir la façade principale, donnant l’illusion de pénétrer au cœur d’une sucrerie.
La mise en place de cette exposition a nécessité des moyens humains, techniques et sécuritaires importants, respectant l’exploitation de l’aéroport afin de ne pas gêner le flux des passagers. Elle préfigure de futurs partenariats visant à promouvoir le patrimoine réunionnais.
La Réunion est autant connue pour ses champs de canne à perte de vue, que pour ses plages, pitons cirques et remparts. Ils font intégralement partie de ses paysages. Avec quelques 120 000 visiteurs par an (musée Stella Matutina, Saga du Rhum, sucreries), l’industrie sucrière a sa place dans l’attractivité touristique de notre île.
Avec cette exposition, ce lien prend une nouvelle dimension, que les visiteurs, locaux ou touristes extérieurs, pourront retrouver à travers des produits issus des sucreries mis en avant dans la boutique duty-free de l’aéroport.
A l’heure où le tourisme demeure une priorité pour notre île, il est sans doute temps d’imaginer de mettre en place une route du sucre pour permettre à tous ceux qui le souhaitent de déambuler dans les pages de notre histoire.
Pas besoin de prendre l’avion pour aller apprécier cette exposition de photographies en noir et blanc en très grand format : une invitation au voyage à découvrir au sein de nombreux espaces de l’aéroport.
Le photographe Edgard Marsy, connu pour ses cartes postales en noir et blanc et ses collages, a été invité par Tereos à promener son regard d’artiste au cœur des usines sucrières à l’occasion de leur bicentenaire.
Résultat : une série d’images illustrant le quotidien de l’industrie sucrière, que Tereos a souhaité offrir au regard du grand public. Le projet a été proposé à l’aéroport Roland Garros, alors en pleine transformation (mise en place d’une nouvelle expérience passagers à travers un nouveau design, un nouveau circuit départs, de nouveaux espaces et de nouvelles enseignes de boutiques et restaurants). La collaboration a semblé évidente et le projet d’exposition a pu voir le jour.
L’art photographique se fait ici passerelle pour relier deux univers indissociables de l’économie locale et s’immerger au cœur de l’identité réunionnaise.
Habitué des photographies monumentales qu’il colle dans l’espace public, Edgar Marsy explore depuis ses débuts plusieurs thèmes de prédilection : l’homme et ses territoires, les liens entre la culture et l’agriculture dans l’océan Indien, les représentations réunionnaises et la mémoire.
Avec ce reportage à l’occasion du bicentenaire des sucreries, il livre six photographies qui viennent habiller l’aérogare, dont la plus monumentale vient recouvrir la façade principale, donnant l’illusion de pénétrer au cœur d’une sucrerie.
La mise en place de cette exposition a nécessité des moyens humains, techniques et sécuritaires importants, respectant l’exploitation de l’aéroport afin de ne pas gêner le flux des passagers. Elle préfigure de futurs partenariats visant à promouvoir le patrimoine réunionnais.
La Réunion est autant connue pour ses champs de canne à perte de vue, que pour ses plages, pitons cirques et remparts. Ils font intégralement partie de ses paysages. Avec quelques 120 000 visiteurs par an (musée Stella Matutina, Saga du Rhum, sucreries), l’industrie sucrière a sa place dans l’attractivité touristique de notre île.
Avec cette exposition, ce lien prend une nouvelle dimension, que les visiteurs, locaux ou touristes extérieurs, pourront retrouver à travers des produits issus des sucreries mis en avant dans la boutique duty-free de l’aéroport.
A l’heure où le tourisme demeure une priorité pour notre île, il est sans doute temps d’imaginer de mettre en place une route du sucre pour permettre à tous ceux qui le souhaitent de déambuler dans les pages de notre histoire.
© Tereos/C. Tellier