L’équipe du FIFAC et ses partenaires ont le plaisir de vous annoncer que Madame Christiane Taubira sera la présidente du jury de la compétition officielle de la 5ème édition du Festival International du Film documentaire Amazonie-Caraïbes.
Le festival se tiendra du 10 au 14 octobre 2023 à Saint-Laurent du Maroni, en Guyane, avec pour ambition de donner la parole à une filière créative et métissée.
Femme de lettres guyanaise, passionnée de poésie et cinéphile, Christiane Taubira apportera son regard avisé sur
les enjeux cinématographiques, sociaux et politiques contemporains des documentaires issus de la région Amazonie
et Caraïbes. Inutile de rappeler ici en Guyane qu’elle est à l’origine de la loi Taubira votée en 2001 « tendant à la reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité ». La garde des Sceaux a également porté avec succès la loi en faveur du mariage homosexuel en 2013.
Elle sera entourée de quatre jurés aux parcours complémentaires et précieux.
De la Guyane à la Guadeloupe en passant par la Colombie tout en faisant un détour par l’Hexagone...
Catalina Villar, réalisatrice colombienne avec plus de vingt films documentaires à son actif, a fait ses études à l’EHESS en France puis à la FEMIS. Elle est aussi intervenante auprès des Ateliers Varan, La FEMIS, la Pompeu Fabra (Barcelone), l’EICTV (Cuba) et l’Université del Valle (Colombie).
Son expérience de l’écriture et de la réalisation documentaire éclairera sans nul doute bon nombre de films parfois tournés dans des conditions difficiles.
Sevrine Guims est une activiste du cinéma. En 2016, elle fonde en Guadeloupe l’association ScriptoKarib oeuvrant au développement du métier de scénariste dans les Caraïbes, participe aujourd’hui à la création de l’école Kourtrajmé Karaïbes à Pointe-Noire et par ailleurs a co-fondé Karibbean Hive, pôle industriel dédié au cinéma et à l’audiovisuel dans l’ancien cinéma Rex de Pointe-à-Pitre. Auprès de Zayanfim et en collaboration avec Yannick Rosine, elle a produit notamment le court-métrage primé Timoun Aw de Nelson Foix, présélectionné aux César 2022.
Là aussi, son expérience des coulisses du cinéma et sa contribution à la structuration de la filière seront une valeur ajoutée.
Ludovic Lamant, passé par la rédaction des Cahiers du Cinéma, est journaliste depuis 2008 pour le journal en ligne Mediapart : il y suit désormais les questions d’économie du développement et de la culture et co-programme la case de cinéma documentaire chaque samedi.
Spécialiste de la promotion du documentaire et attentif de longue date à l’actualité sud-américaine (Argentine, Pérou), il apportera un éclairage aux thématiques portées par le cinéma du réel dans l’Amazonie et les Caraïbes.
À leurs côtés, Renaud Allilaire, directeur délégué des documentaires société et géopolitique à France Télévisions, est en charge de différents rendez-vous sur France 2, France 3, France 5, tels que Infrarouge qui s’attache à développer des récits décryptant fractures ou combats personnels traversant la société française, ou encore 25 nuances de doc sur France 2, où sont proposés des films de société internationaux, parmi lesquels les premiers prix de la compétition officielle des éditions précédentes du FIFAC.
Sa vision et sa connaissance de la filière et du genre documentaire seront des atouts majeurs pour cette 5ème édition du FIFAC.
Après cinq jours de festival, la soirée de clôture aura lieu dans le Camp de la Transportation à Saint-Laurent-du- Maroni, une soirée durant laquelle le jury aura la responsabilité de décerner trois prix :
> Le Grand prix FIFAC - France Télévisions, meilleur film documentaire (long-métrage) ;
> Le Prix spécial du jury (long-métrage) ;
> Le Prix du meilleur court-métrage documentaire.
Le festival se tiendra du 10 au 14 octobre 2023 à Saint-Laurent du Maroni, en Guyane, avec pour ambition de donner la parole à une filière créative et métissée.
Femme de lettres guyanaise, passionnée de poésie et cinéphile, Christiane Taubira apportera son regard avisé sur
les enjeux cinématographiques, sociaux et politiques contemporains des documentaires issus de la région Amazonie
et Caraïbes. Inutile de rappeler ici en Guyane qu’elle est à l’origine de la loi Taubira votée en 2001 « tendant à la reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité ». La garde des Sceaux a également porté avec succès la loi en faveur du mariage homosexuel en 2013.
Elle sera entourée de quatre jurés aux parcours complémentaires et précieux.
De la Guyane à la Guadeloupe en passant par la Colombie tout en faisant un détour par l’Hexagone...
Catalina Villar, réalisatrice colombienne avec plus de vingt films documentaires à son actif, a fait ses études à l’EHESS en France puis à la FEMIS. Elle est aussi intervenante auprès des Ateliers Varan, La FEMIS, la Pompeu Fabra (Barcelone), l’EICTV (Cuba) et l’Université del Valle (Colombie).
Son expérience de l’écriture et de la réalisation documentaire éclairera sans nul doute bon nombre de films parfois tournés dans des conditions difficiles.
Sevrine Guims est une activiste du cinéma. En 2016, elle fonde en Guadeloupe l’association ScriptoKarib oeuvrant au développement du métier de scénariste dans les Caraïbes, participe aujourd’hui à la création de l’école Kourtrajmé Karaïbes à Pointe-Noire et par ailleurs a co-fondé Karibbean Hive, pôle industriel dédié au cinéma et à l’audiovisuel dans l’ancien cinéma Rex de Pointe-à-Pitre. Auprès de Zayanfim et en collaboration avec Yannick Rosine, elle a produit notamment le court-métrage primé Timoun Aw de Nelson Foix, présélectionné aux César 2022.
Là aussi, son expérience des coulisses du cinéma et sa contribution à la structuration de la filière seront une valeur ajoutée.
Ludovic Lamant, passé par la rédaction des Cahiers du Cinéma, est journaliste depuis 2008 pour le journal en ligne Mediapart : il y suit désormais les questions d’économie du développement et de la culture et co-programme la case de cinéma documentaire chaque samedi.
Spécialiste de la promotion du documentaire et attentif de longue date à l’actualité sud-américaine (Argentine, Pérou), il apportera un éclairage aux thématiques portées par le cinéma du réel dans l’Amazonie et les Caraïbes.
À leurs côtés, Renaud Allilaire, directeur délégué des documentaires société et géopolitique à France Télévisions, est en charge de différents rendez-vous sur France 2, France 3, France 5, tels que Infrarouge qui s’attache à développer des récits décryptant fractures ou combats personnels traversant la société française, ou encore 25 nuances de doc sur France 2, où sont proposés des films de société internationaux, parmi lesquels les premiers prix de la compétition officielle des éditions précédentes du FIFAC.
Sa vision et sa connaissance de la filière et du genre documentaire seront des atouts majeurs pour cette 5ème édition du FIFAC.
Après cinq jours de festival, la soirée de clôture aura lieu dans le Camp de la Transportation à Saint-Laurent-du- Maroni, une soirée durant laquelle le jury aura la responsabilité de décerner trois prix :
> Le Grand prix FIFAC - France Télévisions, meilleur film documentaire (long-métrage) ;
> Le Prix spécial du jury (long-métrage) ;
> Le Prix du meilleur court-métrage documentaire.