Polémique du côté de France-Antilles ! Le quotidien a fait polémique suite au titre de l'édition du jour: "L'homosexuel préférait les petits garçons" où un homme avait été condamné à un peine de prison ferme pour des actes pédocriminels. Là où le bât blesse c'est la une qui établi un lien entre l'orientation sexuelle de l'homme.
Ce qui fais bondir divers associations telles que SOS Homophobie qui rappelle qu'il est dangereux d'assimiler l'orientation sexuelle du prévenu au crime qui lui reproché soit des abus sexuels sur des enfants.
Devant l'ampleur de la polémique, le directeur éditorial Cyril Boutier et Nathalie Dinane, rédactrice en chef, ont adressé un mot d'excuses qu'on publie ci-après:
"La Une de notre quotidien France-Antilles Guadeloupe de ce mercredi 3 février suscite une vive émotion et de violentes critiques. Nous adressons nos excuses à tous ceux qui sont choqués par ce titre.
Cet article et ce titre relataient de faits pédophiles abjects et ne visaient en aucun cas à faire l'amalgame entre une orientation sexuelle et un crime.
Jamais notre journal n'a stigmatisé et ne stigmatisera des personnes pour leur orientation sexuelle, leur origine, leur religion, leurs opinions...
Nos colonnes sont ouvertes à tous et nos rédactions continueront à oeuvrer pour lutter contre toutes formes de discriminations".
Ce qui fais bondir divers associations telles que SOS Homophobie qui rappelle qu'il est dangereux d'assimiler l'orientation sexuelle du prévenu au crime qui lui reproché soit des abus sexuels sur des enfants.
Si faire l'amalgame entre une orientation sexuelle et un crime ne vous choque pas, @FAGuadeloupe, on vous conseille d'aller consulter le kit de l'@ajlgbt à destination des journalistes 👇 https://t.co/qV60Z2v8IX #LGBTIphobie https://t.co/JSM8bHIlXu
— SOS homophobie (@SOShomophobie) February 3, 2021
Devant l'ampleur de la polémique, le directeur éditorial Cyril Boutier et Nathalie Dinane, rédactrice en chef, ont adressé un mot d'excuses qu'on publie ci-après:
"La Une de notre quotidien France-Antilles Guadeloupe de ce mercredi 3 février suscite une vive émotion et de violentes critiques. Nous adressons nos excuses à tous ceux qui sont choqués par ce titre.
Cet article et ce titre relataient de faits pédophiles abjects et ne visaient en aucun cas à faire l'amalgame entre une orientation sexuelle et un crime.
Jamais notre journal n'a stigmatisé et ne stigmatisera des personnes pour leur orientation sexuelle, leur origine, leur religion, leurs opinions...
Nos colonnes sont ouvertes à tous et nos rédactions continueront à oeuvrer pour lutter contre toutes formes de discriminations".