© Eric Vernazobres
Toujours plus flash ! L’émission citoyenne de France Ô revient avec Sonia Chironi et Raphäl Yem mais aussi avec un nouveau format de 52 minutes (au lieu de 26 minutes, ndlr) et un prime par mois.
L'ambition de ce rendez-vous reste le même : inciter au débat sur les sujets d’actualité qui agitent la société française.
Depuis sa création, l'émission est entièrement tournée avec des smartphones dans des lieux publics afin de favoriser un débat où le citoyen prend librement la parole.
#FlashTalk inaugure sa nouvelle saison avec une émission consacrée à la question suivante : « Le porno est-il mauvais pour la santé ? »
Avec des millions de vidéos consultées quotidiennement sur internet, les sites pornographiques concentrent la plus large audience de la Toile, dépassant les mastodontes du numérique, tels qu’Amazon, Netflix et Twitter…
Ainsi, un quart des mots-clés les plus utilisés sur les moteurs de recherche sont liés à l’univers pornographique comme « Teen », « Lesbian » ou « Milf ». Des pays comme le Pakistan, l’Egypte, le Vietnam, l’Inde ou le Maroc constituent les plus grands consommateurs de contenus pornographiques.
La France se classe à la 6e place parmi les pays occidentaux. Ce constat est le point de départ de l’émission qui se penche sur les enjeux et les dangers de l’omniprésence de la pornographie dans les imaginaires adolescents, ainsi que sur le rapport de notre société à la sexualité.
Toujours dans la perspective d’un débat pluriel et ouvert, la parole du public croise celle d’un panel d’intervenants composés de personnalités aussi diverses que des acteurs de l’industrie du X (hétéro et homosexuels), des membres d’associations visant à réguler la consommation de pornographie chez les jeunes, mais aussi médecins, psychologues et philosophes.
Sonia Chironi et Raphäl Yem sont toujours au milieu de l'arène ! Ils animent ce rendez-vous où les interventions se succèdent, ponctuées d’éléments chiffrés autour de la thématique abordée, afin que chacun puisse enrichir son point de vue et son argumentation.
#flashtalk est une émission de débat « sauvage » qui casse les codes du débat en plateau. Le tournage a lieu dans un espace public et passant (métro, centre commercial, université, place…).
#flashtalk est une émission participative : c’est le public qui fait le débat. Spécialistes et grand public sont au même niveau, partagent leur point de vue. Les « experts » sont disséminés dans la foule afin de mettre en contact, y compris physique, toutes les composantes de la société.
Comme dans une authentique agora citoyenne, les chômeurs côtoient les spécialistes, le salarié de passage échange avec le retraité, les étudiants débattent entre eux avec passion... Il n’y a plus de frontières. L’émission devient un véritable instantané de la société française.
Dispositif digital de l'émission
NOUVEAUTE : Le compte Instagram de l'émission @flashtalkoff
Les téléspectateurs sont aussi invités à réagir sur Twitter (@flashtalkoff ) et Facebook .
L'ambition de ce rendez-vous reste le même : inciter au débat sur les sujets d’actualité qui agitent la société française.
Depuis sa création, l'émission est entièrement tournée avec des smartphones dans des lieux publics afin de favoriser un débat où le citoyen prend librement la parole.
#FlashTalk inaugure sa nouvelle saison avec une émission consacrée à la question suivante : « Le porno est-il mauvais pour la santé ? »
Avec des millions de vidéos consultées quotidiennement sur internet, les sites pornographiques concentrent la plus large audience de la Toile, dépassant les mastodontes du numérique, tels qu’Amazon, Netflix et Twitter…
Ainsi, un quart des mots-clés les plus utilisés sur les moteurs de recherche sont liés à l’univers pornographique comme « Teen », « Lesbian » ou « Milf ». Des pays comme le Pakistan, l’Egypte, le Vietnam, l’Inde ou le Maroc constituent les plus grands consommateurs de contenus pornographiques.
La France se classe à la 6e place parmi les pays occidentaux. Ce constat est le point de départ de l’émission qui se penche sur les enjeux et les dangers de l’omniprésence de la pornographie dans les imaginaires adolescents, ainsi que sur le rapport de notre société à la sexualité.
Toujours dans la perspective d’un débat pluriel et ouvert, la parole du public croise celle d’un panel d’intervenants composés de personnalités aussi diverses que des acteurs de l’industrie du X (hétéro et homosexuels), des membres d’associations visant à réguler la consommation de pornographie chez les jeunes, mais aussi médecins, psychologues et philosophes.
Sonia Chironi et Raphäl Yem sont toujours au milieu de l'arène ! Ils animent ce rendez-vous où les interventions se succèdent, ponctuées d’éléments chiffrés autour de la thématique abordée, afin que chacun puisse enrichir son point de vue et son argumentation.
#flashtalk est une émission de débat « sauvage » qui casse les codes du débat en plateau. Le tournage a lieu dans un espace public et passant (métro, centre commercial, université, place…).
#flashtalk est une émission participative : c’est le public qui fait le débat. Spécialistes et grand public sont au même niveau, partagent leur point de vue. Les « experts » sont disséminés dans la foule afin de mettre en contact, y compris physique, toutes les composantes de la société.
Comme dans une authentique agora citoyenne, les chômeurs côtoient les spécialistes, le salarié de passage échange avec le retraité, les étudiants débattent entre eux avec passion... Il n’y a plus de frontières. L’émission devient un véritable instantané de la société française.
Dispositif digital de l'émission
NOUVEAUTE : Le compte Instagram de l'émission @flashtalkoff
Les téléspectateurs sont aussi invités à réagir sur Twitter (@flashtalkoff ) et Facebook .