Passion Outremer "Martinique et Dominique, des édens secrets" (Dimanche 10 Avril 20h50)
Daniel Picouly met le cap sur les Antilles pour nous faire découvrir, hors des sentiers battus, les splendeurs naturelles, la richesse humaine et culturelle de deux îles magnifiques : la Martinique et la Dominique. L’occasion de rencontrer des passionnés profondément attachés à leur patrimoine.
Situées au cœur de l’arc caribéen, dans l’archipel des petites Antilles, la Martinique et la Dominique offrent une extraordinaire diversité de paysages, souvent méconnus des touristes. Radicalement différentes malgré leur voisinage, ces deux îles possèdent une histoire, une culture et une identité propres, que leurs habitants entendent bien préserver.
C’est en compagnie de quelques passionnés que l’on part explorer ces terres insulaires. Le voyage débute dans l’extrême sud de la Martinique avec Maurice Mian, garde de la réserve naturelle des îlets de Sainte-Anne, et l’ornithologue David Belfan. À la tête d’une association, ce dernier se bat pour protéger les milliers d’oiseaux migrateurs qu’accueille son île chaque année.
Direction ensuite Fort-de-France, la capitale, pour s’imprégner, à une heure du matin, de l’ambiance du marché aux côtés de Guy Ferdinand. Dans son resto du Carbet, le volubile et enthousiaste chef revisite la cuisine créole en n’utilisant que les produits locaux : écrevisses bio, miel de montagne ou vieux rhum, le tout acheté chez des amis producteurs qui ont recours aux méthodes ancestrales.
À l’instar d’Alexandre Terne qui, sur les terres fertiles dites du Grand-Nord, fait revivre le traditionnel jardin créole et ses nombreux légumes. D’autres, comme Patrick Maréchal ou Sébastien Batifoulier, s’attèlent à la protection de l’environnement.
Le premier, spécialiste des araignées, étudie depuis dix ans la « matoutou falaise », une mygale endémique de l’île. Le second est chargé de la réhabilitation d’un sentier unique qui serpente le long de la côte sur 45 kilomètres : le Sentier Littoral Nord Atlantique (SLNA).
À quelques encablures de la Martinique, la Dominique dévoile ses terres sauvages, volcaniques et généreuses. Tantôt française, tantôt britannique depuis le XVIIIe siècle, l’île, indépendante depuis 1978, est aujourd’hui le dernier territoire des indiens Kalinagos, descendants des premiers habitants des Antilles.
D’origine amérindienne, l’historien Frédérick Crozier lutte pour préserver la culture et le patrimoine de son peuple. Mais, la Dominique accueille aussi une nature foisonnante que l’on peut apprécier en arpentant, en compagnie de Moïse Arlington, le « Waitukubuli National Trail », le plus long itinéraire de randonnée de la Caraïbe. Depuis son ouverture en 2011, plus de 500 000 visiteurs l’ont déjà emprunté.
Daniel Picouly met le cap sur les Antilles pour nous faire découvrir, hors des sentiers battus, les splendeurs naturelles, la richesse humaine et culturelle de deux îles magnifiques : la Martinique et la Dominique. L’occasion de rencontrer des passionnés profondément attachés à leur patrimoine.
Situées au cœur de l’arc caribéen, dans l’archipel des petites Antilles, la Martinique et la Dominique offrent une extraordinaire diversité de paysages, souvent méconnus des touristes. Radicalement différentes malgré leur voisinage, ces deux îles possèdent une histoire, une culture et une identité propres, que leurs habitants entendent bien préserver.
C’est en compagnie de quelques passionnés que l’on part explorer ces terres insulaires. Le voyage débute dans l’extrême sud de la Martinique avec Maurice Mian, garde de la réserve naturelle des îlets de Sainte-Anne, et l’ornithologue David Belfan. À la tête d’une association, ce dernier se bat pour protéger les milliers d’oiseaux migrateurs qu’accueille son île chaque année.
Direction ensuite Fort-de-France, la capitale, pour s’imprégner, à une heure du matin, de l’ambiance du marché aux côtés de Guy Ferdinand. Dans son resto du Carbet, le volubile et enthousiaste chef revisite la cuisine créole en n’utilisant que les produits locaux : écrevisses bio, miel de montagne ou vieux rhum, le tout acheté chez des amis producteurs qui ont recours aux méthodes ancestrales.
À l’instar d’Alexandre Terne qui, sur les terres fertiles dites du Grand-Nord, fait revivre le traditionnel jardin créole et ses nombreux légumes. D’autres, comme Patrick Maréchal ou Sébastien Batifoulier, s’attèlent à la protection de l’environnement.
Le premier, spécialiste des araignées, étudie depuis dix ans la « matoutou falaise », une mygale endémique de l’île. Le second est chargé de la réhabilitation d’un sentier unique qui serpente le long de la côte sur 45 kilomètres : le Sentier Littoral Nord Atlantique (SLNA).
À quelques encablures de la Martinique, la Dominique dévoile ses terres sauvages, volcaniques et généreuses. Tantôt française, tantôt britannique depuis le XVIIIe siècle, l’île, indépendante depuis 1978, est aujourd’hui le dernier territoire des indiens Kalinagos, descendants des premiers habitants des Antilles.
D’origine amérindienne, l’historien Frédérick Crozier lutte pour préserver la culture et le patrimoine de son peuple. Mais, la Dominique accueille aussi une nature foisonnante que l’on peut apprécier en arpentant, en compagnie de Moïse Arlington, le « Waitukubuli National Trail », le plus long itinéraire de randonnée de la Caraïbe. Depuis son ouverture en 2011, plus de 500 000 visiteurs l’ont déjà emprunté.
Investigations "La Réunion: L'école de la dernière chance" (Mercredi 13 Avril 20h50)
Samira Ibrahim propose une plongée inédite dans l’océan Indien avec deux nouveaux volets de la série documentaire « Embarqué ». Voyages hors des sentiers touristiques à La Réunion puis à Mayotte.
Samira Ibrahim propose une plongée inédite dans l’océan Indien avec deux nouveaux volets de la série documentaire « Embarqué ». Voyages hors des sentiers touristiques à La Réunion puis à Mayotte.
Ils s’appellent Brian, Wilfried, Sarah, Thomas. Ils ont entre 18 et 26 ans et, pour eux, le régiment du service militaire adapté (RSMA) représente une bouée de sauvetage pour sortir du chômage. Créé en 1960 à l’initiative de Michel Debré, le régiment du service militaire adapté est propre à l’Outre-mer.
Celui-ci ne forme pas des militaires, mais des jeunes gens viennent pour y apprendre un métier. À La Réunion, ce régiment pas comme les autres enregistre des inscriptions records. Il accueille chaque année 1 500 jeunes venus de toute l’île sur la base du volontariat.
Dans cette région, l’une des plus pauvres de France, 60 % des moins de 25 ans sont sans emploi. Pour des Réunionnais sans diplôme et souvent à la dérive, le RSMA est vu comme une dernière chance pour tenter de se réinsérer dans la vie professionnelle. Mais, pour y accéder, ils doivent accepter de se conformer aux contraintes d’une mise en condition militaire pendant un mois.
Le but ? Leur apprendre la discipline, le respect et la rigueur, mais surtout tester leur motivation. C’est seulement après cette étape préliminaire qu’ils pourront suivre une formation professionnelle adaptée au marché du travail local.
Une méthode efficace puisqu’elle affiche un taux d’insertion de 75 %. Pour en savoir plus sur ce système et sa réussite, Thomas Delorme a passé un mois au sein du RSMA à Saint-Pierre et a rencontré ces jeunes Réunionnais qui ont décidé de retrouver le droit chemin pour se lancer dans la vie.
Celui-ci ne forme pas des militaires, mais des jeunes gens viennent pour y apprendre un métier. À La Réunion, ce régiment pas comme les autres enregistre des inscriptions records. Il accueille chaque année 1 500 jeunes venus de toute l’île sur la base du volontariat.
Dans cette région, l’une des plus pauvres de France, 60 % des moins de 25 ans sont sans emploi. Pour des Réunionnais sans diplôme et souvent à la dérive, le RSMA est vu comme une dernière chance pour tenter de se réinsérer dans la vie professionnelle. Mais, pour y accéder, ils doivent accepter de se conformer aux contraintes d’une mise en condition militaire pendant un mois.
Le but ? Leur apprendre la discipline, le respect et la rigueur, mais surtout tester leur motivation. C’est seulement après cette étape préliminaire qu’ils pourront suivre une formation professionnelle adaptée au marché du travail local.
Une méthode efficace puisqu’elle affiche un taux d’insertion de 75 %. Pour en savoir plus sur ce système et sa réussite, Thomas Delorme a passé un mois au sein du RSMA à Saint-Pierre et a rencontré ces jeunes Réunionnais qui ont décidé de retrouver le droit chemin pour se lancer dans la vie.
Soirée Cédric Klapisch (Lundi 11 Avril à partir de 20h50)
Soirée Cédric Klapisch sur France Ô avec deux films cultes. Dans L’Auberge espagnole, le réalisateur jette un regard amusé sur la vie étudiante et explore le quotidien d’une « mini union européenne ». Cinq ans plus tard, on retrouve Romain Duris, Cécile de France ou encore Audrey Tautou à Saint-Pétersbourg dans Les Poupées russes.
20h50: L'auberge Espagnole
Soirée Cédric Klapisch sur France Ô avec deux films cultes. Dans L’Auberge espagnole, le réalisateur jette un regard amusé sur la vie étudiante et explore le quotidien d’une « mini union européenne ». Cinq ans plus tard, on retrouve Romain Duris, Cécile de France ou encore Audrey Tautou à Saint-Pétersbourg dans Les Poupées russes.
20h50: L'auberge Espagnole
Xavier, 25 ans, décide de partir à Barcelone pour terminer ses études et apprendre l’espagnol, langue nécessaire à son futur emploi. Malgré des « au revoir » déchirants avec sa petite amie, Xavier ne tarde pas à se mettre allègrement à l’heure espagnole.
Ou plutôt européenne. Car, dans son appartement du centre de Barcelone, le jeune Français doit aussi apprendre à vivre avec sept colocataires d’origine différente. Au programme : rencontres amoureuses, découvertes linguistiques, expérience de la vie en communauté… Une année qui, pour Xavier, le « frenchie » romantique, prendra les allures d’un voyage « euro-initiatique ».
22h45: Les poupées russes
Cinq ans ont passé depuis la colocation barcelonaise. Xavier a plaqué les sciences économiques pour devenir écrivain. « Écrivain », pour l’heure, c’est un bien grand mot. Car, dans les faits, cela consiste surtout à enchaîner les travaux alimentaires : nègre, rédacteur, pisse-copie, scénariste d’une croquignolesque série télé…
Cela signifie aussi raconter des histoires, au propre comme au figuré : jouer du pipeau à sa banquière, baratiner de possibles employeurs, s’inventer une fiancée pour faire plaisir à son grand-père… Évidemment, à force de raconter des histoires aux autres, et surtout des histoires d’amour, Xavier finit par s’inquiéter de ne pas en vivre lui-même.
Folin Hebdo, nouvelle formule (Jeudi 14 Avril 23h25)
Folin Hebdô prend désormais ses quartiers le jeudi en deuxième partie de soirée. La nouvelle formule du magazine d’actu en mode décontracté tient ses promesses : privilégier le débat, avec humour et pertinence, sur des sujets liés à l’actualité, à la société et à la culture.
Autour de Sébastien Folin et de ses invités, une bande de cinq chroniqueurs décapants n’hésitent pas aussi à prêcher le faux pour obtenir le vrai.
Folin Hebdô prend désormais ses quartiers le jeudi en deuxième partie de soirée. La nouvelle formule du magazine d’actu en mode décontracté tient ses promesses : privilégier le débat, avec humour et pertinence, sur des sujets liés à l’actualité, à la société et à la culture.
Autour de Sébastien Folin et de ses invités, une bande de cinq chroniqueurs décapants n’hésitent pas aussi à prêcher le faux pour obtenir le vrai.