© Gédéon
Passion Outremer, Grand Format "Caraïbes, six îles sous le vent" (Dimanche 13 Mars 20h50)
Saint-Barthélemy, Saint-Martin, la Guadeloupe… Daniel Picouly propose un voyage fascinant aux Antilles. À chaque étape, il lie connaissance avec des personnalités attachées à leur patrimoine.
Saint-Barthélemy, Saint-Martin, la Guadeloupe… Daniel Picouly propose un voyage fascinant aux Antilles. À chaque étape, il lie connaissance avec des personnalités attachées à leur patrimoine.
À 7 000 kilomètres de la métropole, les îles des Antilles françaises s’égrènent au cœur de l’arc caribéen. Parmi elle, la Guadeloupe, un archipel éclectique et, plus au nord, deux anciennes dépendances, Saint-Barthélemy et Saint-Martin, aujourd’hui collectivités d’Outre-mer.
Chacune de ces îles possède des richesses insoupçonnées que les habitants, farouchement attachés à leurs terres, partagent avec passion. Aux Saintes, Alain Foy est le dernier à construire les bateaux traditionnels appelés « saintoises ». Ce charpentier de marine se bat pour que perdure un savoir-faire qui a bien failli disparaître.
Architecte des bâtiments de France, Hélène de Kergariou travaille pour préserver le patrimoine bâti exceptionnel des Saintes, comme cette ancienne poterie du XVIIIe siècle et les ruines du fort Joséphine, sur l’îlet à Cabri. Henry Joseph, lui, est botaniste sur Basse-Terre, où une grande partie du territoire est protégée par un parc national. Ce passionné des plantes milite pour une consommation locale et veut réconcilier les Guadeloupéens avec leur extraordinaire biodiversité.
Deux cent cinquante kilomètres plus au nord, Saint-Barthélemy est devenu le symbole du luxe. Pourtant, derrière les images de carte postale se cache une nature méconnue, protégée par une réserve naturelle.
Enfant du pays, Didier Laplace fait revivre les salines qui font partie de l’histoire de son île et s’évertue à replanter la végétation endémique sur les plages. À Saint-Martin, Nicolas Maslach, directeur de la réserve naturelle nationale, et son équipe agissent pour protéger les fonds marins exceptionnels et faire cohabiter dans l’harmonie tourisme et préservation de l’environnement.
Qu’ils soient guide de randonnée, agriculteur, conservateur du patrimoine ou tout simplement amoureux de leur bout de terre, tous concourent à montrer un visage différent de ces fascinantes îles des Antilles…
Chacune de ces îles possède des richesses insoupçonnées que les habitants, farouchement attachés à leurs terres, partagent avec passion. Aux Saintes, Alain Foy est le dernier à construire les bateaux traditionnels appelés « saintoises ». Ce charpentier de marine se bat pour que perdure un savoir-faire qui a bien failli disparaître.
Architecte des bâtiments de France, Hélène de Kergariou travaille pour préserver le patrimoine bâti exceptionnel des Saintes, comme cette ancienne poterie du XVIIIe siècle et les ruines du fort Joséphine, sur l’îlet à Cabri. Henry Joseph, lui, est botaniste sur Basse-Terre, où une grande partie du territoire est protégée par un parc national. Ce passionné des plantes milite pour une consommation locale et veut réconcilier les Guadeloupéens avec leur extraordinaire biodiversité.
Deux cent cinquante kilomètres plus au nord, Saint-Barthélemy est devenu le symbole du luxe. Pourtant, derrière les images de carte postale se cache une nature méconnue, protégée par une réserve naturelle.
Enfant du pays, Didier Laplace fait revivre les salines qui font partie de l’histoire de son île et s’évertue à replanter la végétation endémique sur les plages. À Saint-Martin, Nicolas Maslach, directeur de la réserve naturelle nationale, et son équipe agissent pour protéger les fonds marins exceptionnels et faire cohabiter dans l’harmonie tourisme et préservation de l’environnement.
Qu’ils soient guide de randonnée, agriculteur, conservateur du patrimoine ou tout simplement amoureux de leur bout de terre, tous concourent à montrer un visage différent de ces fascinantes îles des Antilles…
© Véronique Fel
Le Ring: Inna Modja et Pony Pony Run Run (Vendredi 18 Mars 23h45)
La chanteuse malienne Inna Modja et le duo Pony Pony Run Run se rencontrent cette semaine dans l’arène musicale de la Bellevilloise. Avant de défendre cinq titres sur « Le Ring », ils se laissent coacher par l’arbitre Aline Afanoukoé qui en profite pour les questionner sur quelques-unes de leurs influences.
La chanteuse malienne Inna Modja et le duo Pony Pony Run Run se rencontrent cette semaine dans l’arène musicale de la Bellevilloise. Avant de défendre cinq titres sur « Le Ring », ils se laissent coacher par l’arbitre Aline Afanoukoé qui en profite pour les questionner sur quelques-unes de leurs influences.
Inna Modja est la première à se livrer au public. Avec Motel Bamako, son troisième album, l’interprète des tubes flamboyants « Mister H », « French Cancan » et « La fille du Lido » — doublement nommée en 2012 aux Victoires de la Musique en tant que « Révélation du public » et pour le « clip vidéo de l’année » revient aux sources.
En bambara et en anglais, la voix de l’artiste, qui nous offre un voyage musical et personnel au cœur du Mali, se pose sur la guitare mandingue et les rythmes électro-underground. Élevée à Bamako dans la culture peule, Inna Modja revendique les influences de l’icône malienne Oumou Sangaré et de l’auteur Amadou Hampâté Bâ, mais aussi du groupe algérien Babylone, du rappeur américain 2Pac et du cinéaste David Lynch.
Pour les deux frères de Pony Pony Run Run, les inspirations se situent plutôt du côté de l’Asie, particulièrement au Laos d’où leur grand-père est originaire. Pas étonnant alors que l’univers onirique de l’écrivain japonais Haruki Murakami les séduise ! Gaëtan et Amaël citent également Jimi Hendrix, le groupe de rock Pavement, et Jacques Tati pour son esthétique.
Le succès du premier album You Need Pony Pony Run Run, avec le single « Hey You », leur a valu une Victoire de la Musique en 2010 dans la catégorie « Révélation du public ». Après des centaines de concerts un peu partout dans le monde, le groupe de pop et d’électro revient avec un deuxième album.
Quelques années de pause et de voyages leur ont donné l’impulsion pour composer ce Voyage Voyage bien nommé, dont le titre « Alright », sorti en 2015, annonçait la couleur. Sur la scène du Ring, vêtus de belles chemises aux motifs graphiques, ils offrent au public surchauffé quelques-uns de leurs meilleurs titres. Deux « live » saisis sur le vif, avec tout le talent qu’on lui connaît, par le dessinateur Charles Berberian !
En bambara et en anglais, la voix de l’artiste, qui nous offre un voyage musical et personnel au cœur du Mali, se pose sur la guitare mandingue et les rythmes électro-underground. Élevée à Bamako dans la culture peule, Inna Modja revendique les influences de l’icône malienne Oumou Sangaré et de l’auteur Amadou Hampâté Bâ, mais aussi du groupe algérien Babylone, du rappeur américain 2Pac et du cinéaste David Lynch.
Pour les deux frères de Pony Pony Run Run, les inspirations se situent plutôt du côté de l’Asie, particulièrement au Laos d’où leur grand-père est originaire. Pas étonnant alors que l’univers onirique de l’écrivain japonais Haruki Murakami les séduise ! Gaëtan et Amaël citent également Jimi Hendrix, le groupe de rock Pavement, et Jacques Tati pour son esthétique.
Le succès du premier album You Need Pony Pony Run Run, avec le single « Hey You », leur a valu une Victoire de la Musique en 2010 dans la catégorie « Révélation du public ». Après des centaines de concerts un peu partout dans le monde, le groupe de pop et d’électro revient avec un deuxième album.
Quelques années de pause et de voyages leur ont donné l’impulsion pour composer ce Voyage Voyage bien nommé, dont le titre « Alright », sorti en 2015, annonçait la couleur. Sur la scène du Ring, vêtus de belles chemises aux motifs graphiques, ils offrent au public surchauffé quelques-uns de leurs meilleurs titres. Deux « live » saisis sur le vif, avec tout le talent qu’on lui connaît, par le dessinateur Charles Berberian !
© Philippe Virapin
Villa Karayib (A partir du Mardi 15 Mars, du Lundi au Vendredi 12h10)
Cette mini-série humoristique brosse le quotidien épicé de cinq femmes que tout oppose, mais qui doivent vivre ensemble.
Cette mini-série humoristique brosse le quotidien épicé de cinq femmes que tout oppose, mais qui doivent vivre ensemble.
Léa, Akissi, Kannelle et Amélie sont originaires des Antilles, de métropole et de la Côte d’Ivoire. Ces quatre ravissantes jeunes femmes se retrouvent colocataires dans une magnifique villa en Guadeloupe.
Or, la propriétaire, une sexagénaire pleine de vie, qui devait partir en croisière après leur arrivée, se fait plaquer le jour de son départ.
Nos futures amies se retrouvent contraintes de vivre avec elle sous son toit ! La cohabitation a quelque chose d’aventureux, mais, au contact d’une propriétaire amère, qui ne croit plus en l’amour et qui se découvre un soudain instinct maternel, cela peut devenir un véritable enfer !
Avec Joséphine Jobert, Flavie Péan, Viviane Emigré, Emma Lohoues et Catherine Dénécy
Or, la propriétaire, une sexagénaire pleine de vie, qui devait partir en croisière après leur arrivée, se fait plaquer le jour de son départ.
Nos futures amies se retrouvent contraintes de vivre avec elle sous son toit ! La cohabitation a quelque chose d’aventureux, mais, au contact d’une propriétaire amère, qui ne croit plus en l’amour et qui se découvre un soudain instinct maternel, cela peut devenir un véritable enfer !
Avec Joséphine Jobert, Flavie Péan, Viviane Emigré, Emma Lohoues et Catherine Dénécy
