© Ecrans du monde / Grand angle
Passion Outremer "Mayotte, les gardiens du patrimoine"
À mi-distance entre Madagascar et les côtes africaines, Mayotte est le cinquième département français d’Outre-mer. Avec ses forêts luxuriantes, ses montagnes, sa double barrière de corail et son immense lagon, l’archipel est toutefois menacé par une pression urbaine et démographique sans précédent. Pollution, déforestation, espèces en danger, le déséquilibre naturel pèse sur l’ensemble de l’écosystème. Il y a danger, donc urgence !
Constituée de deux îles principales, Grande Terre et Petite Terre, entourée par un chapelet d’îlots couverts d’une végétation luxuriante, Mayotte représente un havre de la nature sous toutes ses formes.
Mais ses équilibres naturels et les modes de vie qui en découlent sont mis en danger, conséquence des activités de l’homme au cours de ces dernières décennies. Près de la moitié des 610 espèces indigènes que compte Mayotte sont menacées par la pollution et la déforestation.
Pour faire place au défi de ce siècle, des spécialistes, techniciens, passionnés de la nature veillent sur les trésors de Mayotte. Pour commencer l’exploration, visitons la réserve naturelle de l’îlot M’bouzi, qui appartient à la ville de Mamoudzou, sur laquelle veille Fiona Roche, conservatrice. « La forêt originelle a régressé à 95 %, c’est-à-dire que, actuellement, il ne reste que 5 % de forêt naturelle à Mayotte, et la réserve de M’bouzi est l’un des rares espaces qui protège ce type d’écosystème. Ici, on va donc trouver des espèces endémiques, spécifiques à Mayotte et à la région des Comores. »
On y découvre les espèces patrimoniales comme l’hibiscus, le baobab (Mayotte représente la deuxième réserve au monde de baobab après Madagascar), l’ébène, bois rare, donc prisé… C’est l’une des rares réserves à posséder une partie terrestre et marine (dauphins, dugongs, tortues vertes victimes du braconnage…).
C’est en quelque sorte une sentinelle face à des multiples dangers comme la dégradation de la forêt, l’envasement, la surpêche et la pollution. « La force de la réserve M’bouzi, c’est qu’on y retrouve un peu de tout. C’est un concentré de Mayotte. C’est à la fois un jardin sur terre et un jardin sous l’eau aussi », insiste Fiona.
Dimanche 24 Janvier 20h45 (Horaire Métropole)
À mi-distance entre Madagascar et les côtes africaines, Mayotte est le cinquième département français d’Outre-mer. Avec ses forêts luxuriantes, ses montagnes, sa double barrière de corail et son immense lagon, l’archipel est toutefois menacé par une pression urbaine et démographique sans précédent. Pollution, déforestation, espèces en danger, le déséquilibre naturel pèse sur l’ensemble de l’écosystème. Il y a danger, donc urgence !
Constituée de deux îles principales, Grande Terre et Petite Terre, entourée par un chapelet d’îlots couverts d’une végétation luxuriante, Mayotte représente un havre de la nature sous toutes ses formes.
Mais ses équilibres naturels et les modes de vie qui en découlent sont mis en danger, conséquence des activités de l’homme au cours de ces dernières décennies. Près de la moitié des 610 espèces indigènes que compte Mayotte sont menacées par la pollution et la déforestation.
Pour faire place au défi de ce siècle, des spécialistes, techniciens, passionnés de la nature veillent sur les trésors de Mayotte. Pour commencer l’exploration, visitons la réserve naturelle de l’îlot M’bouzi, qui appartient à la ville de Mamoudzou, sur laquelle veille Fiona Roche, conservatrice. « La forêt originelle a régressé à 95 %, c’est-à-dire que, actuellement, il ne reste que 5 % de forêt naturelle à Mayotte, et la réserve de M’bouzi est l’un des rares espaces qui protège ce type d’écosystème. Ici, on va donc trouver des espèces endémiques, spécifiques à Mayotte et à la région des Comores. »
On y découvre les espèces patrimoniales comme l’hibiscus, le baobab (Mayotte représente la deuxième réserve au monde de baobab après Madagascar), l’ébène, bois rare, donc prisé… C’est l’une des rares réserves à posséder une partie terrestre et marine (dauphins, dugongs, tortues vertes victimes du braconnage…).
C’est en quelque sorte une sentinelle face à des multiples dangers comme la dégradation de la forêt, l’envasement, la surpêche et la pollution. « La force de la réserve M’bouzi, c’est qu’on y retrouve un peu de tout. C’est un concentré de Mayotte. C’est à la fois un jardin sur terre et un jardin sous l’eau aussi », insiste Fiona.
Dimanche 24 Janvier 20h45 (Horaire Métropole)
© DR
Investigations "Lutte anti-drogue: la guerre technologique"
La guerre entre les trafiquants et les forces de l’ordre fait rage depuis longtemps et, en dépit des batailles perdues sur le terrain (arrestations, saisies...), le narco-business n’a vraiment pas de quoi se plaindre.
Le trafic planétaire génère chaque année plus de 1 800 milliards d’euros de bénéfices, soit plus de 3 % du produit intérieur brut mondial. Suffisamment pour inventer mille nouvelles façons de transporter la marchandise aux yeux et à la barbe des douaniers…
Si la Colombie et le Pérou figurent parmi les places fortes du trafic, la zone frontalière séparant le Mexique des États-Unis est devenue la principale ligne de front du conflit.
Pour tromper l’ennemi, la violence, la corruption et la militarisation des forces en présence ne suffisent plus. La bataille se livre aujourd’hui sur le terrain des nouvelles technologies et des innovations.
Côté trafiquants, on ne se contente plus des catapultes et autres canons à air comprimé pour traverser la frontière. Aujourd’hui, les narcos utilisent des « supertunnels » munis d’ascenseurs, de systèmes de ventilation, de drainage, de voitures ferroviaires...
Des passages secrets très efficaces pour transporter d’énormes quantités de produits illicites. Le trafic emprunte aussi des voies maritimes et aériennes : sous-marins, semi-submersibles, ULM et autres avions équipés de technologies antiradars sillonnent les mers et les airs, farcis de drogues. Récemment, le drone est devenu le pêché mignon des cartels. Particulièrement bon marché, équipé de caméra wifi et autonome, cet engin téléguidé peut transporter jusqu’à 2 kilos de drogue, et il est difficile à détecter car il vole à basse altitude.
Mercredi 27 Janvier 20h45
La guerre entre les trafiquants et les forces de l’ordre fait rage depuis longtemps et, en dépit des batailles perdues sur le terrain (arrestations, saisies...), le narco-business n’a vraiment pas de quoi se plaindre.
Le trafic planétaire génère chaque année plus de 1 800 milliards d’euros de bénéfices, soit plus de 3 % du produit intérieur brut mondial. Suffisamment pour inventer mille nouvelles façons de transporter la marchandise aux yeux et à la barbe des douaniers…
Si la Colombie et le Pérou figurent parmi les places fortes du trafic, la zone frontalière séparant le Mexique des États-Unis est devenue la principale ligne de front du conflit.
Pour tromper l’ennemi, la violence, la corruption et la militarisation des forces en présence ne suffisent plus. La bataille se livre aujourd’hui sur le terrain des nouvelles technologies et des innovations.
Côté trafiquants, on ne se contente plus des catapultes et autres canons à air comprimé pour traverser la frontière. Aujourd’hui, les narcos utilisent des « supertunnels » munis d’ascenseurs, de systèmes de ventilation, de drainage, de voitures ferroviaires...
Des passages secrets très efficaces pour transporter d’énormes quantités de produits illicites. Le trafic emprunte aussi des voies maritimes et aériennes : sous-marins, semi-submersibles, ULM et autres avions équipés de technologies antiradars sillonnent les mers et les airs, farcis de drogues. Récemment, le drone est devenu le pêché mignon des cartels. Particulièrement bon marché, équipé de caméra wifi et autonome, cet engin téléguidé peut transporter jusqu’à 2 kilos de drogue, et il est difficile à détecter car il vole à basse altitude.
Mercredi 27 Janvier 20h45
© Nathalie Guyon
Folin Hebdô
Geek misanthrope, Frédérick Sigrist fait du one-man-show depuis trop longtemps, du coup il n’aime plus les gens ! Et les gens le lui rendent bien. Doté d’un humour acide qu’il colore de ses talents de tchatcheur et de comédien, il est chroniqueur sur France Inter, Europe 1 et, désormais, France Ô. Frédérick n’épargne rien ni personne... en commençant par lui-même.
Animatrice de radio et de télévision, Aline Afanoukoé est aussi comédienne, au théâtre et à la télévision. Sa carrière a commencé à Radio Nova en 1999 où sa voix chaleureuse a fait le bonheur des auditeurs pendant dix ans.
Elle a aussi travaillé pour Europe 1 où elle présente le Top 50, avant d’animer plusieurs émissions à la télévision sur France 5, France 4 ou encore France 2. Depuis septembre 2011, elle anime Le Ring sur France Ô et, depuis avril 2015, elle est chargée de la biographie enchantée de l’invité dans Folin Hebdô.
Férue de langues anciennes, Leïla Kaddour-Boudadi a enseigné le français, le latin et le grec ancien pendant quelques années avant de retourner à ses premières amours : le journalisme.
Elle a assuré la présentation de journaux télévisés (Arte Journal, la matinale d’iTélé) et a également fait ses armes dans des émissions culturelles (Ça balance à Paris, La Quotidienne du cinéma). À présent, elle officie auprès de Nagui sur France Inter dans La Bande originale et auprès de Sébastien Folin dans Folin Hebdô sur France Ô.
Agrégé et docteur en histoire, Fabrice d’Almeida est professeur d’histoire contemporaine à l’université Panthéon-Assas (Paris-II), à l’Institut français de presse, où il dirige le master médias et mondialisation.
Il a été présentateur de La Case du siècle, sur France 5, et est chroniqueur de L’Histoire en direct, sur BFMTV. Directeur littéraire chez Albin Michel, il est aussi l’auteur de livres, dont Et si on refaisait l’histoire ?, coécrit avec Anthony Rowley (Odile Jacob), et Propagande – Une histoire mondiale (La Martinière).
Philosophe et essayiste français, Vincent Cespedes est apprécié des médias pour ses positions franches et ses idées nouvelles. Entre l’intime et le politique, sa pensée s’organise autour de trois axes : la création de sens, la quête de l’efficience interpersonnelle et la critique sociale.
En 2008, il fonde et dirige la collection « Philosopher » aux Éditions Larousse et, en 2014, la société Matkaline, destinée à doter la philosophie de nouveaux moyens de performance. Son dernier livre, Oser la jeunesse (Flammarion), est sorti en 2015.
Réalisateur et animateur de radio et de télévision, Miko est un véritable autodidacte passionné par les médias. Il débute sa carrière aux côtés de son complice Cauet : une aventure de quinze ans qui passe par Fun Radio, Skyrock, Europe 2 et Virgin Radio.
Comédien dans des sketchs cultes en compagnie de son compère Cartman, avec qui il forme un duo dans l’émission La Méthode Cauet sur TF1, il crée en 2011 sa série télévisée, Miko & Cartman ne foutent rien, sur Comédie+.
De 2013 à 2015, il réalise des parodies télévisées sur D8 et D17, ainsi que les clips de Sébastien Patoche. Acteur dans la série À votre service sur MCE, on le retrouve également dans la matinale de Rire et Chansons et dans Folin Hebdô pour ses Miko Trottoir.
Geek misanthrope, Frédérick Sigrist fait du one-man-show depuis trop longtemps, du coup il n’aime plus les gens ! Et les gens le lui rendent bien. Doté d’un humour acide qu’il colore de ses talents de tchatcheur et de comédien, il est chroniqueur sur France Inter, Europe 1 et, désormais, France Ô. Frédérick n’épargne rien ni personne... en commençant par lui-même.
Animatrice de radio et de télévision, Aline Afanoukoé est aussi comédienne, au théâtre et à la télévision. Sa carrière a commencé à Radio Nova en 1999 où sa voix chaleureuse a fait le bonheur des auditeurs pendant dix ans.
Elle a aussi travaillé pour Europe 1 où elle présente le Top 50, avant d’animer plusieurs émissions à la télévision sur France 5, France 4 ou encore France 2. Depuis septembre 2011, elle anime Le Ring sur France Ô et, depuis avril 2015, elle est chargée de la biographie enchantée de l’invité dans Folin Hebdô.
Férue de langues anciennes, Leïla Kaddour-Boudadi a enseigné le français, le latin et le grec ancien pendant quelques années avant de retourner à ses premières amours : le journalisme.
Elle a assuré la présentation de journaux télévisés (Arte Journal, la matinale d’iTélé) et a également fait ses armes dans des émissions culturelles (Ça balance à Paris, La Quotidienne du cinéma). À présent, elle officie auprès de Nagui sur France Inter dans La Bande originale et auprès de Sébastien Folin dans Folin Hebdô sur France Ô.
Agrégé et docteur en histoire, Fabrice d’Almeida est professeur d’histoire contemporaine à l’université Panthéon-Assas (Paris-II), à l’Institut français de presse, où il dirige le master médias et mondialisation.
Il a été présentateur de La Case du siècle, sur France 5, et est chroniqueur de L’Histoire en direct, sur BFMTV. Directeur littéraire chez Albin Michel, il est aussi l’auteur de livres, dont Et si on refaisait l’histoire ?, coécrit avec Anthony Rowley (Odile Jacob), et Propagande – Une histoire mondiale (La Martinière).
Philosophe et essayiste français, Vincent Cespedes est apprécié des médias pour ses positions franches et ses idées nouvelles. Entre l’intime et le politique, sa pensée s’organise autour de trois axes : la création de sens, la quête de l’efficience interpersonnelle et la critique sociale.
En 2008, il fonde et dirige la collection « Philosopher » aux Éditions Larousse et, en 2014, la société Matkaline, destinée à doter la philosophie de nouveaux moyens de performance. Son dernier livre, Oser la jeunesse (Flammarion), est sorti en 2015.
Réalisateur et animateur de radio et de télévision, Miko est un véritable autodidacte passionné par les médias. Il débute sa carrière aux côtés de son complice Cauet : une aventure de quinze ans qui passe par Fun Radio, Skyrock, Europe 2 et Virgin Radio.
Comédien dans des sketchs cultes en compagnie de son compère Cartman, avec qui il forme un duo dans l’émission La Méthode Cauet sur TF1, il crée en 2011 sa série télévisée, Miko & Cartman ne foutent rien, sur Comédie+.
De 2013 à 2015, il réalise des parodies télévisées sur D8 et D17, ainsi que les clips de Sébastien Patoche. Acteur dans la série À votre service sur MCE, on le retrouve également dans la matinale de Rire et Chansons et dans Folin Hebdô pour ses Miko Trottoir.
© ARTFACT FOTOLAB’Z
Youssoupha au Zénith de Paris
Dans le cadre de sa tournée « Love Musik Tour », le 10 novembre dernier, au Zénith de Paris, le rappeur Youssoupha a balancé un véritable « Black Out » sur un beat d’enfer, message universel tiré de son dernier album, NGRTD, sorti en mai 2015.
Vendredi 29 Janvier 23h45
Dans le cadre de sa tournée « Love Musik Tour », le 10 novembre dernier, au Zénith de Paris, le rappeur Youssoupha a balancé un véritable « Black Out » sur un beat d’enfer, message universel tiré de son dernier album, NGRTD, sorti en mai 2015.
Vendredi 29 Janvier 23h45