The Book of Negroes (Nouvelle série inédite)
Cette série canadienne est inspirée du roman éponyme de Lawrence Hill, primé par le Commonwealth Writers’ Prize en 2008. Elle raconte l’épopée et l’émancipation de l’esclave Aminata Diallo (Aunjanue Ellis, remarquée dans La Couleur des sentiments), qui finira par revenir sur la terre de ses ancêtres.
« Le Livre des Nègres » est un registre manuscrit de 1783 : il recensait les trois mille loyalistes noirs, la plupart esclaves, ayant accepté de rejoindre les forces britanniques en Nouvelle-Écosse lors de la guerre d’indépendance américaine, en échange de leur affranchissement.
Certains choisirent plus tard de revenir en Afrique et fondèrent en Sierra Leone une colonie d’hommes libres. L’auteur canadien Lawrence Hill, coscénariste de cette série, s’est inspiré de leur vie pour raconter l’histoire d’Aminata Diallo.
Au XVIIIe siècle, cette jeune Bambara de l’actuel Mali, enlevée à 11 ans par des marchands d’esclaves qui assassinent ses parents, est embarquée de force dans un bateau négrier pour la Caroline du Sud. Elle y est vendue au riche propriétaire d’une plantation de coton, où Georgia, une vieille esclave, la prend sous son aile.
Quelques années plus tard, elle tombe amoureuse et épouse Chekura, un esclave qui l’a retrouvée après des années de séparation. Ensemble, ils ont une petite fille. Son maître Robertson Appleby, homme jaloux qui la viole à répétition, enlève le bébé et le vend.
Belle, intelligente et courageuse, Aminata fait alors le vœu de retourner un jour dans son village natal… Vendue ensuite à un propriétaire juif, chez qui ses conditions de vie s’améliorent ils effectuent ensemble un voyage à New York alors que la guerre d’Indépendance commence… Aminata traversera la Révolution américaine, connaîtra la fuite en Nouvelle-Écosse, puis le retour dans la jungle dangereuse de la Sierra Leone. Elle finit par obtenir sa liberté en Angleterre à l’aube du XIXe siècle…
A partir du Samedi 26 Décembre 20h45 (Horaire Métropole)
Cette série canadienne est inspirée du roman éponyme de Lawrence Hill, primé par le Commonwealth Writers’ Prize en 2008. Elle raconte l’épopée et l’émancipation de l’esclave Aminata Diallo (Aunjanue Ellis, remarquée dans La Couleur des sentiments), qui finira par revenir sur la terre de ses ancêtres.
« Le Livre des Nègres » est un registre manuscrit de 1783 : il recensait les trois mille loyalistes noirs, la plupart esclaves, ayant accepté de rejoindre les forces britanniques en Nouvelle-Écosse lors de la guerre d’indépendance américaine, en échange de leur affranchissement.
Certains choisirent plus tard de revenir en Afrique et fondèrent en Sierra Leone une colonie d’hommes libres. L’auteur canadien Lawrence Hill, coscénariste de cette série, s’est inspiré de leur vie pour raconter l’histoire d’Aminata Diallo.
Au XVIIIe siècle, cette jeune Bambara de l’actuel Mali, enlevée à 11 ans par des marchands d’esclaves qui assassinent ses parents, est embarquée de force dans un bateau négrier pour la Caroline du Sud. Elle y est vendue au riche propriétaire d’une plantation de coton, où Georgia, une vieille esclave, la prend sous son aile.
Quelques années plus tard, elle tombe amoureuse et épouse Chekura, un esclave qui l’a retrouvée après des années de séparation. Ensemble, ils ont une petite fille. Son maître Robertson Appleby, homme jaloux qui la viole à répétition, enlève le bébé et le vend.
Belle, intelligente et courageuse, Aminata fait alors le vœu de retourner un jour dans son village natal… Vendue ensuite à un propriétaire juif, chez qui ses conditions de vie s’améliorent ils effectuent ensemble un voyage à New York alors que la guerre d’Indépendance commence… Aminata traversera la Révolution américaine, connaîtra la fuite en Nouvelle-Écosse, puis le retour dans la jungle dangereuse de la Sierra Leone. Elle finit par obtenir sa liberté en Angleterre à l’aube du XIXe siècle…
A partir du Samedi 26 Décembre 20h45 (Horaire Métropole)
Jazz: Al Jarreau, l'enchanteur
Deux soirées-événements consacrées à deux figures majeures de la musique noire américaine : Al Jarreau et Nina Simone. Programme de fêtes sur France Ô !
Une voix qui semble venue d’ailleurs. Des tonalités pour ainsi dire « interdites » en cours de chant. Une habileté folle et reconnaissable entre toutes pour le scat – cette technique vocale d’improvisation qui est devenue son empreinte. Al Jarreau occupe une place à part dans la musique afro-américaine.
Sa discographie balance entre jazz, pop et R&B, sans oublier quelques incursions dans les répertoires du music-hall de Broadway ou de la chanson brésilienne. Apparu sur la scène musicale au milieu des années 1970, ce fils d’un pasteur et d’une pianiste de l’Église adventiste du septième jour n’a pas tardé à être consacré comme l’un des plus grands vocalistes de l’époque.
Il a travaillé avec les plus grands (George Duke, George Benson, Joe Cocker, Paul McCartney…), multiplié les succès, entre reprises de standards et compositions originales (« Breakin’ Away », « Take Five », « Blue Rondo à la Turk »…) et empilé les Grammy Awards.
Un chanteur d’une puissance expressive et émotionnelle rare — que le regretté Claude Nougaro classait « parmi les plus beaux oiseaux du Bon Dieu » — auquel le réalisateur Thierry Guedj consacre un émouvant portrait. Un documentaire qui sera suivi, à 00.45, d’un concert inédit d’Al Jarreau à l’Olympia !
Vendredi 1er Janvier 23h45* (Horaire Métropole)
Autour de Nina : hommage à Nina Simone Jazz à la Villette
Elle était une figure majeure de la musique américaine du XXe siècle. Une légende du jazz dont la voix grave et les interprétations avaient le don d’ensorceler les foules. Une femme fascinante aussi, à la fois spirituelle et tourmentée, dont l’aura a marqué le siècle passé et continue de scintiller sans faiblir depuis sa disparition en 2003.
Deux soirées-événements consacrées à deux figures majeures de la musique noire américaine : Al Jarreau et Nina Simone. Programme de fêtes sur France Ô !
Une voix qui semble venue d’ailleurs. Des tonalités pour ainsi dire « interdites » en cours de chant. Une habileté folle et reconnaissable entre toutes pour le scat – cette technique vocale d’improvisation qui est devenue son empreinte. Al Jarreau occupe une place à part dans la musique afro-américaine.
Sa discographie balance entre jazz, pop et R&B, sans oublier quelques incursions dans les répertoires du music-hall de Broadway ou de la chanson brésilienne. Apparu sur la scène musicale au milieu des années 1970, ce fils d’un pasteur et d’une pianiste de l’Église adventiste du septième jour n’a pas tardé à être consacré comme l’un des plus grands vocalistes de l’époque.
Il a travaillé avec les plus grands (George Duke, George Benson, Joe Cocker, Paul McCartney…), multiplié les succès, entre reprises de standards et compositions originales (« Breakin’ Away », « Take Five », « Blue Rondo à la Turk »…) et empilé les Grammy Awards.
Un chanteur d’une puissance expressive et émotionnelle rare — que le regretté Claude Nougaro classait « parmi les plus beaux oiseaux du Bon Dieu » — auquel le réalisateur Thierry Guedj consacre un émouvant portrait. Un documentaire qui sera suivi, à 00.45, d’un concert inédit d’Al Jarreau à l’Olympia !
Vendredi 1er Janvier 23h45* (Horaire Métropole)
Autour de Nina : hommage à Nina Simone Jazz à la Villette
Elle était une figure majeure de la musique américaine du XXe siècle. Une légende du jazz dont la voix grave et les interprétations avaient le don d’ensorceler les foules. Une femme fascinante aussi, à la fois spirituelle et tourmentée, dont l’aura a marqué le siècle passé et continue de scintiller sans faiblir depuis sa disparition en 2003.
En 2014, l’arrangeur Clément Ducol et le label Verve lançaient Autour de Nina, un album pour célébrer la mémoire de la chanteuse…
Lequel album est devenu un spectacle rassemblant des voix venues d’univers disparates – de Sandra Nkaké à Camille, en passant par Sophie Hunger, Camélia Jordana, Yael Naim, Ala.ni, Melissa Laveaux, Hugh Coltman et Ben l’Oncle Soul. Un plateau prestigieux, réuni au mois de septembre dernier dans le cadre de Jazz à la Villette, enrichi par la présence de l’Orchestre national d’Île-de-France.
Dimanche 27 Décembre 00h05 (H.M)
Les ambassadeurs de Tanna
Quel regard les peuples du bout du monde portent-ils sur les Occidentaux que nous sommes ? Dans cette série en trois épisodes, cinq membres d’une tribu du Vanuatu découvrent, pendant cinq semaines, les us et coutumes anglais. Un voyage ethnologique des plus surprenants !
À Tanna, une île paradisiaque de l’archipel du Vanuatu, située à quelque 500 kilomètres à l’ouest de la Nouvelle-Calédonie, la population a choisi de continuer à vivre selon les traditions ancestrales. Ici, les hommes ne portent qu’un étui pénien, cultivent les légumes nécessaires à leur subsistance et s’occupent de leurs cochons.
Le reste du temps est consacré aux échanges et aux danses rituelles. Cela n’empêche pas ces insulaires de s’intéresser aux touristes qui régulièrement viennent les filmer. D’autant plus qu’à Tanna on porte une vraie dévotion au prince Philippe d’Angleterre, considéré comme le fils de Dieu.
Alors, quand cinq membres de la tribu se voient proposer un voyage en Grande-Bretagne, personne n’hésite. Équipés à leur tour de caméras, Yapa, le vieux chef, Albi, le meilleur danseur de la communauté, Joel, le guérisseur, Ossen, l’éleveur de cochons, et Jimmy Joseph, surnommé JJ, le seul anglophone du groupe, s’envolent pour l’autre bout de la planète.
Pendant cinq semaines, les cinq ambassadeurs de Tanna vont découvrir, comme l’explique JJ, « les chants traditionnels ainsi que les plats typiques et les coutumes anglais ». Au cours de leur séjour, ils sont accueillis successivement par un couple d’éleveurs du Norfolk, la famille d’un chauffeur de taxi de Manchester et un aristocrate du Northumberland.
L’occasion pour eux de s’initier aux joies du ménage ou du bingo, de goûter à la bière, à la tourte aux rognons ou aux frites surgelées. Tour à tour amusés et étonnés par le mode de vie de leurs hôtes, les cinq hommes font preuve d’un esprit critique et d’une clairvoyance saisissants.
Dimanche 27 Décembre 14h45 (H.M)
Quel regard les peuples du bout du monde portent-ils sur les Occidentaux que nous sommes ? Dans cette série en trois épisodes, cinq membres d’une tribu du Vanuatu découvrent, pendant cinq semaines, les us et coutumes anglais. Un voyage ethnologique des plus surprenants !
À Tanna, une île paradisiaque de l’archipel du Vanuatu, située à quelque 500 kilomètres à l’ouest de la Nouvelle-Calédonie, la population a choisi de continuer à vivre selon les traditions ancestrales. Ici, les hommes ne portent qu’un étui pénien, cultivent les légumes nécessaires à leur subsistance et s’occupent de leurs cochons.
Le reste du temps est consacré aux échanges et aux danses rituelles. Cela n’empêche pas ces insulaires de s’intéresser aux touristes qui régulièrement viennent les filmer. D’autant plus qu’à Tanna on porte une vraie dévotion au prince Philippe d’Angleterre, considéré comme le fils de Dieu.
Alors, quand cinq membres de la tribu se voient proposer un voyage en Grande-Bretagne, personne n’hésite. Équipés à leur tour de caméras, Yapa, le vieux chef, Albi, le meilleur danseur de la communauté, Joel, le guérisseur, Ossen, l’éleveur de cochons, et Jimmy Joseph, surnommé JJ, le seul anglophone du groupe, s’envolent pour l’autre bout de la planète.
Pendant cinq semaines, les cinq ambassadeurs de Tanna vont découvrir, comme l’explique JJ, « les chants traditionnels ainsi que les plats typiques et les coutumes anglais ». Au cours de leur séjour, ils sont accueillis successivement par un couple d’éleveurs du Norfolk, la famille d’un chauffeur de taxi de Manchester et un aristocrate du Northumberland.
L’occasion pour eux de s’initier aux joies du ménage ou du bingo, de goûter à la bière, à la tourte aux rognons ou aux frites surgelées. Tour à tour amusés et étonnés par le mode de vie de leurs hôtes, les cinq hommes font preuve d’un esprit critique et d’une clairvoyance saisissants.
Dimanche 27 Décembre 14h45 (H.M)
Par-delà les hauteurs
Ils s’appellent Saké, Namnaka ou encore Sofiane et s’apprêtent à quitter leurs quartiers du Tremblay-enFrance et de Cergy-Pontoise pour découvrir le Népal.
Accompagnés de plusieurs éducateurs et membres du monde du football – dont Frédéric Thiriez, le président de la Ligue de football professionnel –, ces onze passionnés de football vont s’attaquer aux 5 643 mètres du Kala Patthar dans l’Himalaya.
Cette aventure sportive et « sociale » inédite, filmée au printemps dernier, s’est distinguée au festival 2015 des Écrans de l’aventure, à Dijon (grand prix du film d’aventure et prix du jury des enfants).
Dimanche 27 Décembre 19h05
Ils s’appellent Saké, Namnaka ou encore Sofiane et s’apprêtent à quitter leurs quartiers du Tremblay-enFrance et de Cergy-Pontoise pour découvrir le Népal.
Accompagnés de plusieurs éducateurs et membres du monde du football – dont Frédéric Thiriez, le président de la Ligue de football professionnel –, ces onze passionnés de football vont s’attaquer aux 5 643 mètres du Kala Patthar dans l’Himalaya.
Cette aventure sportive et « sociale » inédite, filmée au printemps dernier, s’est distinguée au festival 2015 des Écrans de l’aventure, à Dijon (grand prix du film d’aventure et prix du jury des enfants).
Dimanche 27 Décembre 19h05