Un an après la disparition du cinéaste Christian Lara, Guadeloupe la 1ère lui rend hommage, ce dimanche 08 septembre, revivez la légende de l'homme au bâton, le dernier film du père du cinéma antillais.
Ce film relate l'histoire de deux femmes qui sont retrouvées un matin en Guadeloupe, battues à mort à coups de bâton.
Cela suffit pour que la rumeur parle du retour de « l’homme au bâton », personnage énigmatique qui a défrayé l’actualité en 1956 en assassinant avec le même protocole plusieurs femmes sans être arrêté.
Le capitaine Pierre Mombin et le lieutenant Mélissa Louis-Joseph, chargés de l’enquête, vont tenter d’élucider les crimes du présent en ré-ouvrant l’enquête des meurtres non élucidés en 1956.
Ce film relate l'histoire de deux femmes qui sont retrouvées un matin en Guadeloupe, battues à mort à coups de bâton.
Cela suffit pour que la rumeur parle du retour de « l’homme au bâton », personnage énigmatique qui a défrayé l’actualité en 1956 en assassinant avec le même protocole plusieurs femmes sans être arrêté.
Le capitaine Pierre Mombin et le lieutenant Mélissa Louis-Joseph, chargés de l’enquête, vont tenter d’élucider les crimes du présent en ré-ouvrant l’enquête des meurtres non élucidés en 1956.
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Note de l'auteur, Christian Lara
Les croyances et superstitions font partie de notre imaginaire. Leur origine remonte au temps de l’esclavage durant lequel des esclaves venus d’Afrique continuèrent à pratiquer – dans la clandestinité- leurs activités en les mélangeant avec des croyances trouvées chez les Caraïbes.
Toutes ces histoires, ces rumeurs, ces créatures dites surnaturelles (quimbois, zombi, dorliss, soucougnan, manman dlo ) -transmises oralement-, sont à l’origine des superstitions et frayeurs entretenues dès l’enfance.
En 1956, la rumeur propagea l’histoire de « l’homme au bâton ».
Ce personnage sans visage s’introduisait, en secret la nuit de pleine lune, dans le lit des femmes pour les violer sans qu’elles ne puissent s’y opposer. Et sans qu’elles ne puissent l’identifier.
Qui était donc ce personnage ?
Un individu vivant ou un serviteur du Bawon Samedi, le « maître des morts » ? Force est de constater que « l’homme au bâton » bouleversa l’imaginaire collectif guadeloupéen, terrorisant pendant des mois toutes les couches sociales de l’île.
Malgré tous les efforts déployés par les policiers, aucun coupable ne fut arrêté et lorsque les crimes cessèrent, l’affaire fut finalement classée sans avoir été résolue.
À travers ce film, j’entends proposer une explication logique ( mais fictive ) sur ce personnage dont les crimes ne furent jamais élucidés et leur auteur jamais arrêté.
Toutes ces histoires, ces rumeurs, ces créatures dites surnaturelles (quimbois, zombi, dorliss, soucougnan, manman dlo ) -transmises oralement-, sont à l’origine des superstitions et frayeurs entretenues dès l’enfance.
En 1956, la rumeur propagea l’histoire de « l’homme au bâton ».
Ce personnage sans visage s’introduisait, en secret la nuit de pleine lune, dans le lit des femmes pour les violer sans qu’elles ne puissent s’y opposer. Et sans qu’elles ne puissent l’identifier.
Qui était donc ce personnage ?
Un individu vivant ou un serviteur du Bawon Samedi, le « maître des morts » ? Force est de constater que « l’homme au bâton » bouleversa l’imaginaire collectif guadeloupéen, terrorisant pendant des mois toutes les couches sociales de l’île.
Malgré tous les efforts déployés par les policiers, aucun coupable ne fut arrêté et lorsque les crimes cessèrent, l’affaire fut finalement classée sans avoir été résolue.
À travers ce film, j’entends proposer une explication logique ( mais fictive ) sur ce personnage dont les crimes ne furent jamais élucidés et leur auteur jamais arrêté.