Aux débuts d’Internet, les rêveurs du numérique croyaient à un monde interconnecté qui conduirait à une utopie égalitaire.
Certains estiment aujourd’hui vivre un rêve futuriste, d’autres un cauchemar où la surveillance est généralisée. C’est l’ère des outils intelligents, qui peuvent jouer le rôle d’un cheval de Troie recueillant le moindre détail de notre vie quotidienne.
Des enceintes aux bracelets connectés, des poubelles et sonnettes intelligentes aux voitures autonomes, le Web s’insinue partout, collectant des données sur notre mode de vie et transformant nos accessoires en espions à la solde de la Silicon Valley ou de Shenzhen.
De quelles données s’agit-il exactement et entre quelles mains finissent-elles ? Quel est le véritable prix à payer pour un mode de vie toujours plus confortable ? Le documentariste canadien Brett Gaylor nous fait découvrir la face cachée de ces objets qui peuplent désormais notre quotidien.
Internet de tout et n’importe quoi, c’est d’un côté une websérie en 5 épisodes qui se penche sur quelques objets connectés du point de vue des utilisateurs, et de l’autre un documentaire où le réalisateur part à la rencontre des personnes et des lieux qui font l’« Internet des objets ». Une investigation en deux temps qui permet à chacun de mieux appréhender, tant qu’il est encore temps, la contrepartie de l’Internet des objets.
Un documentaire à la rencontre des créateurs des “objets intelligents”
Brett Gaylor rencontre la fondatrice d’une start-up qui développe un appareil permettant de transmettre dans le cloud des données de fertilité de ses utilisatrices. Une journaliste lui présente une victime de violences conjugales terrorisée par son ex dans leur maison « intelligente ».
En Chine, il découvre des citoyens récompensés pour leur comportement conforme aux normes sociales, tandis qu’à Toronto, une activiste se demande si avec le projet de Sidewalk Labs, les habitants n’ont pas signé pour être les rats de laboratoire d’Alphabet.
L’économiste Jeremy Rifkin voit quant à lui dans les disruptions numériques les signes d’une 3è révolution industrielle. Pour autant, ce processus transforme-t-il toutes les expériences personnelles en valeurs marchandes ?
Certains estiment aujourd’hui vivre un rêve futuriste, d’autres un cauchemar où la surveillance est généralisée. C’est l’ère des outils intelligents, qui peuvent jouer le rôle d’un cheval de Troie recueillant le moindre détail de notre vie quotidienne.
Des enceintes aux bracelets connectés, des poubelles et sonnettes intelligentes aux voitures autonomes, le Web s’insinue partout, collectant des données sur notre mode de vie et transformant nos accessoires en espions à la solde de la Silicon Valley ou de Shenzhen.
De quelles données s’agit-il exactement et entre quelles mains finissent-elles ? Quel est le véritable prix à payer pour un mode de vie toujours plus confortable ? Le documentariste canadien Brett Gaylor nous fait découvrir la face cachée de ces objets qui peuplent désormais notre quotidien.
Internet de tout et n’importe quoi, c’est d’un côté une websérie en 5 épisodes qui se penche sur quelques objets connectés du point de vue des utilisateurs, et de l’autre un documentaire où le réalisateur part à la rencontre des personnes et des lieux qui font l’« Internet des objets ». Une investigation en deux temps qui permet à chacun de mieux appréhender, tant qu’il est encore temps, la contrepartie de l’Internet des objets.
Un documentaire à la rencontre des créateurs des “objets intelligents”
Brett Gaylor rencontre la fondatrice d’une start-up qui développe un appareil permettant de transmettre dans le cloud des données de fertilité de ses utilisatrices. Une journaliste lui présente une victime de violences conjugales terrorisée par son ex dans leur maison « intelligente ».
En Chine, il découvre des citoyens récompensés pour leur comportement conforme aux normes sociales, tandis qu’à Toronto, une activiste se demande si avec le projet de Sidewalk Labs, les habitants n’ont pas signé pour être les rats de laboratoire d’Alphabet.
L’économiste Jeremy Rifkin voit quant à lui dans les disruptions numériques les signes d’une 3è révolution industrielle. Pour autant, ce processus transforme-t-il toutes les expériences personnelles en valeurs marchandes ?