Dans le cadre de la Semaine de la Fraternité et des Solidarités, de nombreuses animations étaient dédiés aux Sans Domiciles Fixes. Des ateliers de coiffure, massage et yoga ont permis une petite pause dans le quotidien, avec en parallèle le village mobile d'accès aux droits afin que chacun puisse effectuer ses démarches administratives et bénéficier d'un accompagnement si besoin, en présence d'Ericka Bareigts, maire de Saiont-Denis et Présidente du CCAS. Rencontres multiples !
Ce vendredi 14 octobre, Place Paul Vergès il y n'y avait pas que le vent qui décoiffait, il y avait surtout le coiffeur qui proposait des coupes gratuites à tous les volontaires. "J'ai fait plus de 10 coupes et franchement, c'est un moment de partage avec les personnes dont je m'occupe qui finissent par me raconter des vraies tranches de vie", explique le professionnel.
Suite à une projection de photos du chantier d'insertion des jardins de Saint-Denis, mené avec des personnes SDF, Ericka Bareigts a tenu à préciser : "Ce chantier a remis un bout de confiance en vous et je tiens à vous féliciter pour ça. On a beaucoup d'estime pour vous". Les témoignages et les parcours de vie sont poignants mais il demeure une volonté de voir le positif et de prendre soin de soi.
Une coiffure, un massage, un séance de yoga... nombreuses sont les personnes à se faire masser pour la première fois. "Je n'avais jamais eu quelqu'un qui me touche comme ça", explique une dame en train de se faire masser "c'est important de prendre soin de soi et pourtant on ne le fait jamais".
Une telle séance est forcément réparatrice !
La capitale réunionnaise compte 1608 personnes sans domicile fixe (les sans-abris, mais aussi les personnes bougeant d’hébergement en hébergement, vivant chez des amis ou encore logeant dans des centres collectifs ou des hôtels), dont 70 % environ sont d’origine dionysienne et 30 % proviennent d’autres communes du bassin nord et du reste de l’île. "Nous avons 23 places d'accueil et Saint-Pierre en a 8. Il faut absolument que toutes les communes développent des places d'accueil", continue l'élue de la capitale réunionnaise.
Parallèlement à ces ateliers bien-être, le village mobile d'accès aux droits était installé autour de la place afin que chacun puisse effectuer ses démarches administratives. "Plus on tombe dans la précarité et plus les démarches administratives sont compliquées et paraissent insurmontables. Là, nous offrons un accompagnement pour les faciliter", précise David Belda, Vice-Président du CCAS.
Ce vendredi 14 octobre, Place Paul Vergès il y n'y avait pas que le vent qui décoiffait, il y avait surtout le coiffeur qui proposait des coupes gratuites à tous les volontaires. "J'ai fait plus de 10 coupes et franchement, c'est un moment de partage avec les personnes dont je m'occupe qui finissent par me raconter des vraies tranches de vie", explique le professionnel.
Suite à une projection de photos du chantier d'insertion des jardins de Saint-Denis, mené avec des personnes SDF, Ericka Bareigts a tenu à préciser : "Ce chantier a remis un bout de confiance en vous et je tiens à vous féliciter pour ça. On a beaucoup d'estime pour vous". Les témoignages et les parcours de vie sont poignants mais il demeure une volonté de voir le positif et de prendre soin de soi.
Une coiffure, un massage, un séance de yoga... nombreuses sont les personnes à se faire masser pour la première fois. "Je n'avais jamais eu quelqu'un qui me touche comme ça", explique une dame en train de se faire masser "c'est important de prendre soin de soi et pourtant on ne le fait jamais".
Une telle séance est forcément réparatrice !
La capitale réunionnaise compte 1608 personnes sans domicile fixe (les sans-abris, mais aussi les personnes bougeant d’hébergement en hébergement, vivant chez des amis ou encore logeant dans des centres collectifs ou des hôtels), dont 70 % environ sont d’origine dionysienne et 30 % proviennent d’autres communes du bassin nord et du reste de l’île. "Nous avons 23 places d'accueil et Saint-Pierre en a 8. Il faut absolument que toutes les communes développent des places d'accueil", continue l'élue de la capitale réunionnaise.
Parallèlement à ces ateliers bien-être, le village mobile d'accès aux droits était installé autour de la place afin que chacun puisse effectuer ses démarches administratives. "Plus on tombe dans la précarité et plus les démarches administratives sont compliquées et paraissent insurmontables. Là, nous offrons un accompagnement pour les faciliter", précise David Belda, Vice-Président du CCAS.