Du spectacle vivant à l’audiovisuel, la Collectivité de Martinique accompagne tous les secteurs de la Culture. La CTM soutient indifféremment le cinéma, l’audiovisuel, le spectacle vivant, les artistes et techniciens.
La pérennisation et le développement de la filière cinéma-audiovisuel font partie des priorités définies par l’Exécutif en début de mandature. Les professionnels de ce secteur d’activité ont d’ailleurs été les premiers à être reçus par les élus référents, dès janvier 2016
La Collectivité a ainsi fait le choix, dès le début de mandature, de mettre en place les conditions nécessaires au développement et à la pérennisation de la filière, en signant notamment, après consultations des professionnels martiniquais, une convention tripartite entre l’Etat, la CTM et le Centre National du Cinéma et de l’Image Animée (CNC).
Adoptée à l’unanimité lors de la Plénière du 8 février 2018, la Convention de coopération pour le cinéma et l’image animée, entre la CTM, l’Etat et le CNC permet de débloquer, selon des conditions précises, deux euros du CNC pour un euro investi par la CTM.
Les aides allouées par la CTM s’inscrivent depuis la signature de cette convention dans ce cadre, qui a instauré un fonds territorial d’aide à la création et à la production, ainsi qu’un comité de lecture, constitué de professionnels, chargés d’apporter leur expertise sur les projets candidats à une aide au titre de ce fonds : aides à l’écriture, à la résidence d’écriture, au développement, à la production de court-métrage, de long-métrage, de documentaires, création artistique, multimédia et numérique, magazines télévisés, captations.
Sur la période 2017-2019, 148 dossiers ont été reçus ; 55 projets ayant tous un lien avec la Martinique et/ou dont le tournage se déroule en Martinique ont été soutenus par la CTM pour une enveloppe globale de 1 524 300 €.
Cette convention inclut la mise en place d’un Bureau d’Accueil des Tournages (BAT), faisant également fonction de Commission du Film Martinique. La mission du BAT est de professionnaliser, de structurer et de renforcer la filière cinéma et audiovisuelle, en mettant en valeur le talent des comédiens, les compétences des techniciens et le professionnalisme des prestataires martiniquais.
En 2019, l’activité du BAT s’est traduite par un résultat de 238 jours de tournage sur place, assurant aux professionnels du secteur (comédiens, techniciens, figurants et prestataires martiniquais) un volume d’activité significatif, sans parler des indéniables retombées économiques induites (restauration, hébergement, véhicules, loisirs, etc…).
Les productions réalisées en 2019 ont bénéficié d’une enveloppe globale de la CTM de 851 000 €, qui ont généré des dépenses à hauteur de 3 367 374€, pour l’économie martiniquaise.
Aussi, des productions affichant des durées de tournage conséquentes permettent aux intermittents d’exercer leur métier et d’effectuer les 507 heures nécessaires à l’obtention ou à la reconduction du statut d’intermittent. Par la suite, l’intermittent peut ainsi prétendre à une ouverture de droits pour une indemnisation en période de non activité.
Le Tournage de la saison 2 de la série « Tropiques Criminels », produite par FEDERATION ENTERTAINEMENT, pour France 2, débute dans quelques jours en Martinique. La Collectivité Territoriale de Martinique a choisi de l’accompagner pour diverses raisons :
Cette série policière de caractère familial à succès (près de 4 millions de spectateurs en moyenne par soirée, soit 32 millions de vues sur l’année en première diffusion), répond en outre à l’autre objectif de la Commission du Film Martinique, à savoir la visibilité et l’attractivité du territoire au niveau national et international, à l’instar de la Guadeloupe, dont l’image bénéficie depuis 10 saisons de la diffusion de « Meurtre au Paradis », une série produite par la BBC et coproduite par France 2.
Cette grande visibilité est facteur d’attractivité et vitrine du savoir-faire des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel. La reprise du tournage de cette série s’inscrit parmi les toutes premières La CTM démontre par ce choix qu’elle soutient et renforce une filière d’autant fragilisée par la crise sanitaire Covid-19. Une occasion renouvelée de permettre : aux intermittents (techniciens, comédiens), de travailler 4 mois, et effectuer ainsi les heures nécessaires (507h) pour l’obtention ou la reconduction de leur statut d’intermittent ; à des sociétés et divers prestataires (loueurs de matériel, cantine, loueurs de véhicules, hébergeurs, sociétés de convoyage, de gardiennage et de sécurité, restaurants, taxis, supermarchés, épiceries, loisirs…), en somme, toute une filière économique, d’élargir leurs activités.
La pérennisation et le développement de la filière cinéma-audiovisuel font partie des priorités définies par l’Exécutif en début de mandature. Les professionnels de ce secteur d’activité ont d’ailleurs été les premiers à être reçus par les élus référents, dès janvier 2016
La Collectivité a ainsi fait le choix, dès le début de mandature, de mettre en place les conditions nécessaires au développement et à la pérennisation de la filière, en signant notamment, après consultations des professionnels martiniquais, une convention tripartite entre l’Etat, la CTM et le Centre National du Cinéma et de l’Image Animée (CNC).
Adoptée à l’unanimité lors de la Plénière du 8 février 2018, la Convention de coopération pour le cinéma et l’image animée, entre la CTM, l’Etat et le CNC permet de débloquer, selon des conditions précises, deux euros du CNC pour un euro investi par la CTM.
Les aides allouées par la CTM s’inscrivent depuis la signature de cette convention dans ce cadre, qui a instauré un fonds territorial d’aide à la création et à la production, ainsi qu’un comité de lecture, constitué de professionnels, chargés d’apporter leur expertise sur les projets candidats à une aide au titre de ce fonds : aides à l’écriture, à la résidence d’écriture, au développement, à la production de court-métrage, de long-métrage, de documentaires, création artistique, multimédia et numérique, magazines télévisés, captations.
Sur la période 2017-2019, 148 dossiers ont été reçus ; 55 projets ayant tous un lien avec la Martinique et/ou dont le tournage se déroule en Martinique ont été soutenus par la CTM pour une enveloppe globale de 1 524 300 €.
Cette convention inclut la mise en place d’un Bureau d’Accueil des Tournages (BAT), faisant également fonction de Commission du Film Martinique. La mission du BAT est de professionnaliser, de structurer et de renforcer la filière cinéma et audiovisuelle, en mettant en valeur le talent des comédiens, les compétences des techniciens et le professionnalisme des prestataires martiniquais.
En 2019, l’activité du BAT s’est traduite par un résultat de 238 jours de tournage sur place, assurant aux professionnels du secteur (comédiens, techniciens, figurants et prestataires martiniquais) un volume d’activité significatif, sans parler des indéniables retombées économiques induites (restauration, hébergement, véhicules, loisirs, etc…).
Les productions réalisées en 2019 ont bénéficié d’une enveloppe globale de la CTM de 851 000 €, qui ont généré des dépenses à hauteur de 3 367 374€, pour l’économie martiniquaise.
Aussi, des productions affichant des durées de tournage conséquentes permettent aux intermittents d’exercer leur métier et d’effectuer les 507 heures nécessaires à l’obtention ou à la reconduction du statut d’intermittent. Par la suite, l’intermittent peut ainsi prétendre à une ouverture de droits pour une indemnisation en période de non activité.
Le Tournage de la saison 2 de la série « Tropiques Criminels », produite par FEDERATION ENTERTAINEMENT, pour France 2, débute dans quelques jours en Martinique. La Collectivité Territoriale de Martinique a choisi de l’accompagner pour diverses raisons :
Cette série policière de caractère familial à succès (près de 4 millions de spectateurs en moyenne par soirée, soit 32 millions de vues sur l’année en première diffusion), répond en outre à l’autre objectif de la Commission du Film Martinique, à savoir la visibilité et l’attractivité du territoire au niveau national et international, à l’instar de la Guadeloupe, dont l’image bénéficie depuis 10 saisons de la diffusion de « Meurtre au Paradis », une série produite par la BBC et coproduite par France 2.
Cette grande visibilité est facteur d’attractivité et vitrine du savoir-faire des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel. La reprise du tournage de cette série s’inscrit parmi les toutes premières La CTM démontre par ce choix qu’elle soutient et renforce une filière d’autant fragilisée par la crise sanitaire Covid-19. Une occasion renouvelée de permettre : aux intermittents (techniciens, comédiens), de travailler 4 mois, et effectuer ainsi les heures nécessaires (507h) pour l’obtention ou la reconduction de leur statut d’intermittent ; à des sociétés et divers prestataires (loueurs de matériel, cantine, loueurs de véhicules, hébergeurs, sociétés de convoyage, de gardiennage et de sécurité, restaurants, taxis, supermarchés, épiceries, loisirs…), en somme, toute une filière économique, d’élargir leurs activités.