© Marc Demeure
En France, 13% des nouvelles découvertes de séropositivité concernent les moins de 25 ans (+2 points par rapport à 2017). Ce chiffre inquiète d’autant plus que les jeunes se sentent moins concernés par la prévention au VIH/sida et peuvent parfois manquer de connaissances sur le sujet (23% des 15-25 ans pensent qu’il existe des médicaments pour guérir du sida).
« Beaucoup de jeunes estiment qu’ils n’ont aucun risque d’être infectés un jour par le VIH. Sans doute parce qu’ils en entendent moins parler et qu’ils pensent que la question est réglée. Il est nécessaire de faire évoluer la communication autour du VIH/sida, de l’élargir aux sujets qui interpellent les jeunes aujourd’hui sur la sexualité de manière générale, et de faire circuler les bons messages dans et en dehors de la sphère scolaire.» explique Florence Thune, directrice générale de Sidaction.
Afin de promouvoir une meilleure sensibilisation des jeunes face à la séropositivité et ses modes de transmission, Sidaction, en partenariat avec le Ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse et le Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, lance la 5ème édition de son concours de vidéos ouvert aux 15-25 ans.
Le concours est lancé à l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida, le 1er décembre 2019 et se clôturera le 1er février 2020. Il propose aux participants de réaliser de courtes vidéos (- de 3 minutes) qui traitent du VIH/sida dans son ensemble.
Cette édition ouvre également la thématique à la question cruciale des violences sexuelles et sexistes et de leurs conséquences sur la transmission du virus. Ces violences ont un impact dramatique à tous les égards et fragilisent les personnes qui les subissent, rendant impossible tout consentement et anéantissant tout pouvoir de négociation lors des rapports sexuels (pour le port du préservatif par exemple).
« La réalisation de ces films est un moyen de sensibiliser sur le VIH/sida : il incite aux échanges entre les jeunes et il permet de rompre la glace pour communiquer avec eux sur les questions de sexualité de manière générale » souligne Florence Thune.
Cette année, Iris Mittenaere a accepté d’être la marraine du concours. « J’ai été frappée par la persistance des idées reçues chez les jeunes sur la question du VIH/sida : 17% pensent encore que le virus du sida peut être transmis en embrassant une personne. Lutter contre le virus du sida est une cause qui me tient à cœur. Cela passe, entre autres, par la diffusion des bons messages. M’impliquer pour ce concours, qui utilise les modes de communication d’aujourd’hui, m’a semblé évident. » explique Iris Mittenaere. Pour cette occasion, elle s’est rendue dans son ancien lycée à Hazebrouck le 12 novembre dernier et a invité les lycéens à y participer.
Un jury composé de personnalités du monde des médias et d’experts de la lutte contre le sida sélectionnera les 10 meilleurs vidéos. Les remises de prix auront lieu à Paris lors de la soirée de lancement du Sidaction 2020.
Vous pouvez retrouver plus d’informations sur le site : https://rec.sidaction.org/
« Beaucoup de jeunes estiment qu’ils n’ont aucun risque d’être infectés un jour par le VIH. Sans doute parce qu’ils en entendent moins parler et qu’ils pensent que la question est réglée. Il est nécessaire de faire évoluer la communication autour du VIH/sida, de l’élargir aux sujets qui interpellent les jeunes aujourd’hui sur la sexualité de manière générale, et de faire circuler les bons messages dans et en dehors de la sphère scolaire.» explique Florence Thune, directrice générale de Sidaction.
Afin de promouvoir une meilleure sensibilisation des jeunes face à la séropositivité et ses modes de transmission, Sidaction, en partenariat avec le Ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse et le Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, lance la 5ème édition de son concours de vidéos ouvert aux 15-25 ans.
Le concours est lancé à l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida, le 1er décembre 2019 et se clôturera le 1er février 2020. Il propose aux participants de réaliser de courtes vidéos (- de 3 minutes) qui traitent du VIH/sida dans son ensemble.
Cette édition ouvre également la thématique à la question cruciale des violences sexuelles et sexistes et de leurs conséquences sur la transmission du virus. Ces violences ont un impact dramatique à tous les égards et fragilisent les personnes qui les subissent, rendant impossible tout consentement et anéantissant tout pouvoir de négociation lors des rapports sexuels (pour le port du préservatif par exemple).
« La réalisation de ces films est un moyen de sensibiliser sur le VIH/sida : il incite aux échanges entre les jeunes et il permet de rompre la glace pour communiquer avec eux sur les questions de sexualité de manière générale » souligne Florence Thune.
Cette année, Iris Mittenaere a accepté d’être la marraine du concours. « J’ai été frappée par la persistance des idées reçues chez les jeunes sur la question du VIH/sida : 17% pensent encore que le virus du sida peut être transmis en embrassant une personne. Lutter contre le virus du sida est une cause qui me tient à cœur. Cela passe, entre autres, par la diffusion des bons messages. M’impliquer pour ce concours, qui utilise les modes de communication d’aujourd’hui, m’a semblé évident. » explique Iris Mittenaere. Pour cette occasion, elle s’est rendue dans son ancien lycée à Hazebrouck le 12 novembre dernier et a invité les lycéens à y participer.
Un jury composé de personnalités du monde des médias et d’experts de la lutte contre le sida sélectionnera les 10 meilleurs vidéos. Les remises de prix auront lieu à Paris lors de la soirée de lancement du Sidaction 2020.
Vous pouvez retrouver plus d’informations sur le site : https://rec.sidaction.org/