Ce lundi, France 3 et le portail numérique La1ere proposeront un documentaire inédit de Mélanie Dalsace consacré aux femmes de Mayotte et la relation qui les unit avec la shikowa.
Ce film relate la vie de 4 femmes mahoraises Rahababi, Zaitouni, Naïcha et Zakia, elles ont trente, quarante ou soixante ans, et toutes les quatre participent à un shikowa, une sorte de tontine, de cagnotte solidaire, d’épargne informelle qui leur permet de porter des projets familiaux ou professionnels dans des logiques de court ou moyen terme.
Ces femmes mettent ainsi de côté quelques centaines ou quelques milliers d’euros par mois pour construire une maison, organiser le mariage de leurs filles ou encore développer un commerce sur le marché de Mamoudzou.
Des initiatives qu’elles entendent réaliser en quelques mois, sans avoir à solliciter leur mari ou la banque. C’est la force de la sororité mahoraise, grâce à leur shikowa, les femmes de Mayotte s’ouvrent un espace de liberté, un monde des possibles, une vie plus enchantée, un quotidien plus rassurant, mais aussi une force collective.
Les quatre femmes se racontent et racontent la relation qui les unit à leur shikowa par tradition, mais aussi comme une évidence : pour avancer dans leur vie, pour assurer leur statut de mère, pour développer une activité professionnelle, elles se sont associées à d’autres pour bénéficier de l’épargne de toutes. Elles ont opté pour ce financement informel dans lequel l’argent circule le plus souvent en liquide et sans traçage, sans encadrement comptable ou contractuel autre que la parole donnée.
Le film s’attache à ce phénomène si caractéristique de ce territoire ultramarin en l’abordant d’un point de vue féminin et microéconomique.
Le documentaire sera à voir ce lundi 18 décembre à 18h00 sur La1ere.fr, l'offre numérique Outre-mer de France Télévisions, et sur France 3 à 23h35 dans la case outremer.ledoc (Horaires Métropole, ndlr).
Ce film relate la vie de 4 femmes mahoraises Rahababi, Zaitouni, Naïcha et Zakia, elles ont trente, quarante ou soixante ans, et toutes les quatre participent à un shikowa, une sorte de tontine, de cagnotte solidaire, d’épargne informelle qui leur permet de porter des projets familiaux ou professionnels dans des logiques de court ou moyen terme.
Ces femmes mettent ainsi de côté quelques centaines ou quelques milliers d’euros par mois pour construire une maison, organiser le mariage de leurs filles ou encore développer un commerce sur le marché de Mamoudzou.
Des initiatives qu’elles entendent réaliser en quelques mois, sans avoir à solliciter leur mari ou la banque. C’est la force de la sororité mahoraise, grâce à leur shikowa, les femmes de Mayotte s’ouvrent un espace de liberté, un monde des possibles, une vie plus enchantée, un quotidien plus rassurant, mais aussi une force collective.
Les quatre femmes se racontent et racontent la relation qui les unit à leur shikowa par tradition, mais aussi comme une évidence : pour avancer dans leur vie, pour assurer leur statut de mère, pour développer une activité professionnelle, elles se sont associées à d’autres pour bénéficier de l’épargne de toutes. Elles ont opté pour ce financement informel dans lequel l’argent circule le plus souvent en liquide et sans traçage, sans encadrement comptable ou contractuel autre que la parole donnée.
Le film s’attache à ce phénomène si caractéristique de ce territoire ultramarin en l’abordant d’un point de vue féminin et microéconomique.
Le documentaire sera à voir ce lundi 18 décembre à 18h00 sur La1ere.fr, l'offre numérique Outre-mer de France Télévisions, et sur France 3 à 23h35 dans la case outremer.ledoc (Horaires Métropole, ndlr).