Polémique du côté d'Antenne Réunion ! La chaîne privée organise actuellement à l'occasion des élections municipales, une série de débat télévisée avec les candidats déclarés à cet évènement politique.
Ainsi, la chaîne propose aux Réunionnais deux débats pour chacune des 6 communes : le mardi et jeudi soir dans LE 19H00.
Les équipes d’Antenne Réunion ont fait le choix, dans le cadre de leur couverture des municipales, de donner la parole à l’ensemble des candidats des 6 communes qui font l’objet d’un débat sur Antenne Réunion. Les 6 communes retenues sont : Saint-Denis, Saint-Louis, Saint-André, La Possession, Saint-Paul et Le Port.
Ce jeudi aura lieu un débat entre les candidats déclarés pour la mairie de Saint-Louis mais auquel ne figure pas le candidat du parti politique, Philippe Rangama, non invité à participer à cette émission.
Remonté, le parti politique fustige la politique éditoriale de la chaîne et annonce la saisie du CSA dans les plus brefs délais ainsi que la CNIL "sur ces pratiques frauduleuses et manifestement abusives des moyens de la localité à des fins politiques".
De son côté, Antenne Réunion réplique et explique que "Les contraintes techniques du plateau des journaux télévisés ne permettent pas l’accueil de l’ensemble des candidats en simultané. C’est pour cette raison principale que deux (à trois débats, pour les villes avec plus de 12 candidats) sont organisés par commune."
Et rajoute que "La rédaction et la direction de la chaîne confirment que le choix des candidats sur ces débats respecte strictement les règles fixées par le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) dans le cadre des élections municipales". "Elles regrettent que certains candidats puissent douter de l’impartialité de la chaîne, et de sa bonne volonté à donner à chacun d’entre eux un espace de discussion et une présence sur son antenne".
"Pour ces municipales, Antenne Réunion continue de mettre tout en œuvre pour donner de la visibilité au plus grand nombre. La parole est donnée aux citoyens avec #NoutCommune Au marché, aux marmailles avec #NoutCommune Avec les enfants et aux candidats avec #NoutCommune Le débat ainsi que dans le cadre des nombreux sujets et interventions dans les journaux télévisés", annonce ainsi Antenne Réunion.
Ainsi, la chaîne propose aux Réunionnais deux débats pour chacune des 6 communes : le mardi et jeudi soir dans LE 19H00.
Les équipes d’Antenne Réunion ont fait le choix, dans le cadre de leur couverture des municipales, de donner la parole à l’ensemble des candidats des 6 communes qui font l’objet d’un débat sur Antenne Réunion. Les 6 communes retenues sont : Saint-Denis, Saint-Louis, Saint-André, La Possession, Saint-Paul et Le Port.
Ce jeudi aura lieu un débat entre les candidats déclarés pour la mairie de Saint-Louis mais auquel ne figure pas le candidat du parti politique, Philippe Rangama, non invité à participer à cette émission.
Remonté, le parti politique fustige la politique éditoriale de la chaîne et annonce la saisie du CSA dans les plus brefs délais ainsi que la CNIL "sur ces pratiques frauduleuses et manifestement abusives des moyens de la localité à des fins politiques".
De son côté, Antenne Réunion réplique et explique que "Les contraintes techniques du plateau des journaux télévisés ne permettent pas l’accueil de l’ensemble des candidats en simultané. C’est pour cette raison principale que deux (à trois débats, pour les villes avec plus de 12 candidats) sont organisés par commune."
Et rajoute que "La rédaction et la direction de la chaîne confirment que le choix des candidats sur ces débats respecte strictement les règles fixées par le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) dans le cadre des élections municipales". "Elles regrettent que certains candidats puissent douter de l’impartialité de la chaîne, et de sa bonne volonté à donner à chacun d’entre eux un espace de discussion et une présence sur son antenne".
"Pour ces municipales, Antenne Réunion continue de mettre tout en œuvre pour donner de la visibilité au plus grand nombre. La parole est donnée aux citoyens avec #NoutCommune Au marché, aux marmailles avec #NoutCommune Avec les enfants et aux candidats avec #NoutCommune Le débat ainsi que dans le cadre des nombreux sujets et interventions dans les journaux télévisés", annonce ainsi Antenne Réunion.
Communiqué du PEUP
Les élections municipales ont lieu en mars 2020. Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel impose aux chaînes de radio et de télévision l’obligation de respecter des règles indiscutables. En effet, la circulaire rappelle le principe de présentation, de pluralisme et de temps de paroles pour les chaînes de radio et de télévisions dès le 3 Février 2020.
De fait, les interventions des candidats aux municipales sont prises en compte au regard des règles fixées par la délibération du CSA du 4 janvier 2011 relative au principe de pluralisme politique dans les services de radio et de télévision en période électorale.
Ainsi, dès le 3 février dernier, les services de radio et de télévision appliquent les règles fixées par le CSA et veillent à ce que les candidats et leurs soutiens bénéficient d’une présentation et d’un accès équitables à l’antenne.
Contre toute attente, Monsieur Philippe RANGAMA n’est pas invité au débat télévisé du 13 Février 2020 sur Antenne Réunion.
Cette chaîne de télévision a fait le choix d’inviter six candidats déclarés à savoir : Monsieur Claude HOARAU, Monsieur Cyrille HAMILCARO, Monsieur Jean PIOT, Madame Julianna M'DOIHOMA, Monsieur Pierrick ROBERT et Monsieur Yvan DEJEAN.
Toutefois, le choix de ces candidats est sujet à caution. Il n’y a pas de critères clairs sur le choix des intervenants, candidats aux élections municipales de SAINT LOUIS. Un ancien maire de la commune de SAINT LOUIS, Monsieur Claude Hoarau, avec Monsieur Yvan DEJEAN et Madame Julianna M'DOIHOMA n'étaient pas candidats en 2014 et pourtant ils sont invités au débat télévisé du 13 Février 2020 sans aucune lisibilité ni explications du choix des intervenants.
Ainsi, il ne suffit pas d’organiser un nouveau débat dédié aux exclus du premier grand débat télévisé pour pallier le manque de clarté d’Antenne Réunion. Sur ce point, la politique éditoriale d’Antenne Réunion est sérieusement remise en cause en ce sens qu’elle n’accorde pas un traitement équitable de l’expression pluraliste à tous les candidats.
Quelle est d’ailleurs la raison de l’exclusion de Monsieur Philippe RANGAMA candidat aux élections municipales de mars 2020 alors qu’il est dans le paysage politique depuis plusieurs années et a participé aux élections locales en 2008, 2009, 2011 et 2015 au nom du parti politique crée en 2007 sous l’appellation le PEUP ?
Ainsi, dès le 3 février dernier, les services de radio et de télévision appliquent les règles fixées par le CSA et veillent à ce que les candidats et leurs soutiens bénéficient d’une présentation et d’un accès équitables à l’antenne.
Contre toute attente, Monsieur Philippe RANGAMA n’est pas invité au débat télévisé du 13 Février 2020 sur Antenne Réunion.
Cette chaîne de télévision a fait le choix d’inviter six candidats déclarés à savoir : Monsieur Claude HOARAU, Monsieur Cyrille HAMILCARO, Monsieur Jean PIOT, Madame Julianna M'DOIHOMA, Monsieur Pierrick ROBERT et Monsieur Yvan DEJEAN.
Toutefois, le choix de ces candidats est sujet à caution. Il n’y a pas de critères clairs sur le choix des intervenants, candidats aux élections municipales de SAINT LOUIS. Un ancien maire de la commune de SAINT LOUIS, Monsieur Claude Hoarau, avec Monsieur Yvan DEJEAN et Madame Julianna M'DOIHOMA n'étaient pas candidats en 2014 et pourtant ils sont invités au débat télévisé du 13 Février 2020 sans aucune lisibilité ni explications du choix des intervenants.
Ainsi, il ne suffit pas d’organiser un nouveau débat dédié aux exclus du premier grand débat télévisé pour pallier le manque de clarté d’Antenne Réunion. Sur ce point, la politique éditoriale d’Antenne Réunion est sérieusement remise en cause en ce sens qu’elle n’accorde pas un traitement équitable de l’expression pluraliste à tous les candidats.
Quelle est d’ailleurs la raison de l’exclusion de Monsieur Philippe RANGAMA candidat aux élections municipales de mars 2020 alors qu’il est dans le paysage politique depuis plusieurs années et a participé aux élections locales en 2008, 2009, 2011 et 2015 au nom du parti politique crée en 2007 sous l’appellation le PEUP ?
Monsieur Philippe RANGAMA est un élu de l’opposition depuis 2014 dans la commune de SAINT LOUIS et LA RIVIERE SAINT LOUIS.
A ce titre et en raison de ses convictions politiques, il a dénoncé l’augmentation des élus, les budgets adoptés sans équilibre réel, le prêt toxique au Luxembourg, l’utilisation abusive des moyens de la commune par Monsieur Cyrille HAMILCARO à travers de courriers envoyés aux employés communaux, et ce, aux frais de la localité.
Monsieur Philippe RANGAMA a saisi la CNIL sur ces pratiques frauduleuses et manifestement abusives des moyens de la localité à des fins politiques.
En effet, Monsieur Philippe RANGAMA a pris part activement aux débats sur tous les sujets brûlants de la collectivité et pourtant Antenne Réunion fait le choix de l’exclure du premier grand débat télévisé pour les électeurs de SAINT LOUIS et de la RIVIERE SAINT LOUIS.
Il y a lieu de constater que cette décision est contraire au principe de présentation et de pluralisme politique imposé par le CSA.
Ainsi, l’exclusion du représentant du PEUP du débat télévisé du 13 Février 2O2O constitue un manquement grave au principe de probité et d’indépendance d’Antenne Réunion ainsi qu’au principe de l’accès équitable à l’antenne.
Eu égard au score de son parti PEUP, aux dernières élections municipales avec 10,96% et sa présence effective à toutes les élections locales depuis 2008, Monsieur Philippe RANGAMA devrait participer au premier débat télévisé des candidats aux élections municipales de SAINT LOUIS et de la RIVIERE SAINT LOUIS.
Dans ces conditions, nous exprimons notre désapprobation du choix des intervenants dans la chaîne de télévision d’Antenne Réunion.
Cette politique de la chaîne d’Antenne Réunion qui vise à faire la promotion de certains candidats et d’en exclure d’autres est contraire aux règles posées par le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel. Il est clairement établi que cette présélection des candidats éligibles au débat télévisé est de nature à orienter et influencer le comportement électoral de nos citoyens.
Nous saisirons dans les plus brefs délais le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel à cette fin.
A ce titre et en raison de ses convictions politiques, il a dénoncé l’augmentation des élus, les budgets adoptés sans équilibre réel, le prêt toxique au Luxembourg, l’utilisation abusive des moyens de la commune par Monsieur Cyrille HAMILCARO à travers de courriers envoyés aux employés communaux, et ce, aux frais de la localité.
Monsieur Philippe RANGAMA a saisi la CNIL sur ces pratiques frauduleuses et manifestement abusives des moyens de la localité à des fins politiques.
En effet, Monsieur Philippe RANGAMA a pris part activement aux débats sur tous les sujets brûlants de la collectivité et pourtant Antenne Réunion fait le choix de l’exclure du premier grand débat télévisé pour les électeurs de SAINT LOUIS et de la RIVIERE SAINT LOUIS.
Il y a lieu de constater que cette décision est contraire au principe de présentation et de pluralisme politique imposé par le CSA.
Ainsi, l’exclusion du représentant du PEUP du débat télévisé du 13 Février 2O2O constitue un manquement grave au principe de probité et d’indépendance d’Antenne Réunion ainsi qu’au principe de l’accès équitable à l’antenne.
Eu égard au score de son parti PEUP, aux dernières élections municipales avec 10,96% et sa présence effective à toutes les élections locales depuis 2008, Monsieur Philippe RANGAMA devrait participer au premier débat télévisé des candidats aux élections municipales de SAINT LOUIS et de la RIVIERE SAINT LOUIS.
Dans ces conditions, nous exprimons notre désapprobation du choix des intervenants dans la chaîne de télévision d’Antenne Réunion.
Cette politique de la chaîne d’Antenne Réunion qui vise à faire la promotion de certains candidats et d’en exclure d’autres est contraire aux règles posées par le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel. Il est clairement établi que cette présélection des candidats éligibles au débat télévisé est de nature à orienter et influencer le comportement électoral de nos citoyens.
Nous saisirons dans les plus brefs délais le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel à cette fin.