C’est une grande avancée pour la connectivité numérique de la zone sud de l’océan Indien : comme annoncé par le Secrétaire Général de la Conférence de l’Océan Indien (COI), les opérateurs BLUELINE, CANAL+ TELECOM, EMTEL, SRR, TELCO OI, TELMA et ZEOP ont conclu dans la capitale malgache un accord de coopération pour l’installation d’un nouveau câble régional sous-marin à très haut débit.
Ce câble, baptisé METISS pour MElting poT Indianoceanic Submarine System, reliera à l’horizon 2018, Maurice, La Réunion, Madagascar au continent africain pour se connecter aux autres câbles internationaux.
Ce projet qui fédère des grands opérateurs privés du secteur des télécommunications des pays membres de la COI bénéficiera du soutien de l’Union européenne et de l’Agence française de développement (AFD).
Résolument régional et volontairement partagé, ce projet d’infrastructure numérique reste ouvert aux autres opérateurs et partenaires.
Le coût de ce câble est estimé à 75 millions d’euros.
Se félicitant de ce développement, Jean Claude de l’Estrac, Secrétaire général de la COI, « encourage les Etats concernés à soutenir activement ce projet qui modifiera profondément le paysage numérique régional et permettra la démocratisation de l’accès au très haut débit au bénéfice des populations et des acteurs économiques ».
« Le portage de ce projet par des opérateurs ancrés sur leur territoire et acteurs du développement économique de leur île est une excellente nouvelle, précise Xavier Hermesse, Directeur Général Adjoint de ZEOP. Orienté vers les coûts, ce câble servira avant tout les intérêts des économies locales et des acteurs régionaux et non ceux de grands consortiums internationaux pour lesquels le développement de nos territoires est souvent secondaire ».
Ce câble, baptisé METISS pour MElting poT Indianoceanic Submarine System, reliera à l’horizon 2018, Maurice, La Réunion, Madagascar au continent africain pour se connecter aux autres câbles internationaux.
Ce projet qui fédère des grands opérateurs privés du secteur des télécommunications des pays membres de la COI bénéficiera du soutien de l’Union européenne et de l’Agence française de développement (AFD).
Résolument régional et volontairement partagé, ce projet d’infrastructure numérique reste ouvert aux autres opérateurs et partenaires.
Le coût de ce câble est estimé à 75 millions d’euros.
Se félicitant de ce développement, Jean Claude de l’Estrac, Secrétaire général de la COI, « encourage les Etats concernés à soutenir activement ce projet qui modifiera profondément le paysage numérique régional et permettra la démocratisation de l’accès au très haut débit au bénéfice des populations et des acteurs économiques ».
« Le portage de ce projet par des opérateurs ancrés sur leur territoire et acteurs du développement économique de leur île est une excellente nouvelle, précise Xavier Hermesse, Directeur Général Adjoint de ZEOP. Orienté vers les coûts, ce câble servira avant tout les intérêts des économies locales et des acteurs régionaux et non ceux de grands consortiums internationaux pour lesquels le développement de nos territoires est souvent secondaire ».