Les enchères pour le réseau 5G sont lancées depuis le 25 Septembre et Orange se place actuellement en tête de la course.
Les quatre opérateurs sont lancés dans cette course à l’acquisition des bandes de fréquences 5G. Les enchères s’organisent en plusieurs journées, jusqu’à ce que les 11 blocs de fréquences vendus par l’état soient distribués entre Orange, Bouygues Telecom, SFR et Free mobile.
Le principe de l’enchère est simple : chaque opérateur peut demander un maximum de 5 blocs de 10 MHz de fréquences, à un prix de lancement fixé par l’Arcep à 70 millions d’euros. Chaque journée voit le prix augmenter d’au moins 3 millions d’euros : le bloc de 10 MHz est donc maintenant affiché à 110 millions d’euros.
Chaque opérateur dispose déjà de 50 MHz sur la bande passante de 3,5 GHz nécessaire pour déployer le réseau 5G. Les opérateurs se placent actuellement ainsi dans les négociations de fréquences :
- Orange, réputé pour la qualité de ses services, est en tête avec 5 blocs de fréquences demandés, soit une projection sur un potentiel total de 100 MHz ;
- Bouygues et SFR sont en concurrence, chaque opérateur demandant 3 blocs de 10 MHz soit la possession de 80 MHz sur la bande passante ;
- Free mobile, dernier arrivé sur le marché téléphonique avec un lancement remarqué en 2012, a posé une option sur 2 blocs de fréquences.
À ce jour, le gouvernement met en vente 110 MHz de fréquences, soit 11 blocs à distribuer. Pour empêcher un monopole 5G d’un des opérateurs sur le marché, l’Arcep limite le nombre de blocs par fournisseurs à cinq blocs.
Avec leurs offres actuelles, les enchères des opérateurs font monter le nombre de blocs de fréquences 5G demandés à 13 ! Tant que les fournisseurs d’accès internet ne trouvent pas d’accords, ou qu’ils continuent de suivre le prix montant des enchères en restant sur leurs demandes, les négociations s'enchaînent. Elles continueront jusqu’à ce que 11 blocs seulement soient distribués.
Chaque jour, à 17h30 (horaire métropole), l’Arcep partage l’avancée des enchères et le nouveau prix du bloc négocié. Les premières offres 5G dépendent de la date de fin des enchères en cours ! Plus vite les opérateurs auront négocié leur place sur le réseau 5G, plus vite leurs clients profiteront de leurs nouveaux forfaits.
Bien que l’opérateur de Xavier Niel soit dernier dans la course aux fréquences, sa maison-mère Iliade est confiante de pouvoir lancer ses premiers forfaits 5G d’ici fin 2020. Alors que les avis clients Free sont toujours mitigés, le lancement d’offres 5G lors du dernier s’impose comme une opportunité intéressante pour l’opérateur. La commercialisation de forfaits compatibles avec le réseau mobile de cinquième génération permettrait en effet d’apporter une amélioration concrète aux usagers et de redorer le blason de Free.
Orange, l’opérateur historique cherche aussi à proposer des forfaits 5G performants aux alentours des fêtes de fin d’année. Bouygues Telecom s’est déjà bien avancé, puisque l’opérateur propose d’ores et déjà une compatibilité 5G sur certains de ses forfaits actuels. Si les projections sont nombreuses, la vérité des enchères permettra aux opérateurs de tenir ou non leurs ambitions de fin d’année.
Les quatre opérateurs sont lancés dans cette course à l’acquisition des bandes de fréquences 5G. Les enchères s’organisent en plusieurs journées, jusqu’à ce que les 11 blocs de fréquences vendus par l’état soient distribués entre Orange, Bouygues Telecom, SFR et Free mobile.
Le principe de l’enchère est simple : chaque opérateur peut demander un maximum de 5 blocs de 10 MHz de fréquences, à un prix de lancement fixé par l’Arcep à 70 millions d’euros. Chaque journée voit le prix augmenter d’au moins 3 millions d’euros : le bloc de 10 MHz est donc maintenant affiché à 110 millions d’euros.
Chaque opérateur dispose déjà de 50 MHz sur la bande passante de 3,5 GHz nécessaire pour déployer le réseau 5G. Les opérateurs se placent actuellement ainsi dans les négociations de fréquences :
- Orange, réputé pour la qualité de ses services, est en tête avec 5 blocs de fréquences demandés, soit une projection sur un potentiel total de 100 MHz ;
- Bouygues et SFR sont en concurrence, chaque opérateur demandant 3 blocs de 10 MHz soit la possession de 80 MHz sur la bande passante ;
- Free mobile, dernier arrivé sur le marché téléphonique avec un lancement remarqué en 2012, a posé une option sur 2 blocs de fréquences.
À ce jour, le gouvernement met en vente 110 MHz de fréquences, soit 11 blocs à distribuer. Pour empêcher un monopole 5G d’un des opérateurs sur le marché, l’Arcep limite le nombre de blocs par fournisseurs à cinq blocs.
Avec leurs offres actuelles, les enchères des opérateurs font monter le nombre de blocs de fréquences 5G demandés à 13 ! Tant que les fournisseurs d’accès internet ne trouvent pas d’accords, ou qu’ils continuent de suivre le prix montant des enchères en restant sur leurs demandes, les négociations s'enchaînent. Elles continueront jusqu’à ce que 11 blocs seulement soient distribués.
Chaque jour, à 17h30 (horaire métropole), l’Arcep partage l’avancée des enchères et le nouveau prix du bloc négocié. Les premières offres 5G dépendent de la date de fin des enchères en cours ! Plus vite les opérateurs auront négocié leur place sur le réseau 5G, plus vite leurs clients profiteront de leurs nouveaux forfaits.
Bien que l’opérateur de Xavier Niel soit dernier dans la course aux fréquences, sa maison-mère Iliade est confiante de pouvoir lancer ses premiers forfaits 5G d’ici fin 2020. Alors que les avis clients Free sont toujours mitigés, le lancement d’offres 5G lors du dernier s’impose comme une opportunité intéressante pour l’opérateur. La commercialisation de forfaits compatibles avec le réseau mobile de cinquième génération permettrait en effet d’apporter une amélioration concrète aux usagers et de redorer le blason de Free.
Orange, l’opérateur historique cherche aussi à proposer des forfaits 5G performants aux alentours des fêtes de fin d’année. Bouygues Telecom s’est déjà bien avancé, puisque l’opérateur propose d’ores et déjà une compatibilité 5G sur certains de ses forfaits actuels. Si les projections sont nombreuses, la vérité des enchères permettra aux opérateurs de tenir ou non leurs ambitions de fin d’année.