Abdelwaheb Sefsaf, Kaldûn Requiem ou le pays invisible, 2024
La 23e édition de Nuit Blanche, qui se déroulera le 1er juin 2024, mettra à l’honneur les territoires dits « ultramarins ». La Maire de Paris Anne Hidalgo a souhaité en faire la nuit blanche la plus longue du monde avec des évènements organisés à l’autre bout de la France.
Ainsi Nuit Blanche 2024, dont la direction artistique est assurée par Claire Tancons, rayonnera à Paris, dans une trentaine de communes de la Métropole du Grand Paris, à Rouen, mais aussi au-delà des océans.
Paris fête les Jeux ! Paris et la Métropole du Grand Paris fêtent Nuit Blanche ! S’inscrivant pleinement dans l’Olympiade culturelle lancée par la Ville de Paris et la Métropole du Grand Paris en amont de la tenue des Jeux Olympiques et Paralympiques, la 23e édition de Nuit Blanche sera menée par Claire Tancons, nommée directrice artistique par la Maire de Paris.
Le temps d’une nuit, elle propose une quinzaine de projets transdisciplinaires alliant, performance, musique, danse et théâtre mais aussi breakdance, skateboard et escrime porté par le fleuron de la création artistique contemporaine internationale avec un total de plus d’une centaine de participants.
« Que serait Paris sans la célèbre Nuit Blanche qui offre, chaque année, aux Parisiennes, aux Parisiens et aux visiteurs du soir venus du monde entier, un rapport si direct et particulier à la création contemporaine sous toutes ses formes ?
Ce 1er juin 2024, Nuit Blanche fait la part belle au foisonnement créatif des cultures ultramarines, renouvelant ainsi sa promesse artistique, qui se prolonge à travers le temps des fuseaux horaires et à travers le monde sur les cinq continents et les trois océans. C’est la richesse de tous les territoires français qui se dévoilent, à travers une programmation vibrante et vibrionnante, qui nous emmène dans tout Paris et aux cœurs de la France polygonale. » Carine Rolland, adjointe à la Maire de Paris en charge de la culture et de la ville du quart d’heure.
Ainsi Nuit Blanche 2024, dont la direction artistique est assurée par Claire Tancons, rayonnera à Paris, dans une trentaine de communes de la Métropole du Grand Paris, à Rouen, mais aussi au-delà des océans.
Paris fête les Jeux ! Paris et la Métropole du Grand Paris fêtent Nuit Blanche ! S’inscrivant pleinement dans l’Olympiade culturelle lancée par la Ville de Paris et la Métropole du Grand Paris en amont de la tenue des Jeux Olympiques et Paralympiques, la 23e édition de Nuit Blanche sera menée par Claire Tancons, nommée directrice artistique par la Maire de Paris.
Le temps d’une nuit, elle propose une quinzaine de projets transdisciplinaires alliant, performance, musique, danse et théâtre mais aussi breakdance, skateboard et escrime porté par le fleuron de la création artistique contemporaine internationale avec un total de plus d’une centaine de participants.
« Que serait Paris sans la célèbre Nuit Blanche qui offre, chaque année, aux Parisiennes, aux Parisiens et aux visiteurs du soir venus du monde entier, un rapport si direct et particulier à la création contemporaine sous toutes ses formes ?
Ce 1er juin 2024, Nuit Blanche fait la part belle au foisonnement créatif des cultures ultramarines, renouvelant ainsi sa promesse artistique, qui se prolonge à travers le temps des fuseaux horaires et à travers le monde sur les cinq continents et les trois océans. C’est la richesse de tous les territoires français qui se dévoilent, à travers une programmation vibrante et vibrionnante, qui nous emmène dans tout Paris et aux cœurs de la France polygonale. » Carine Rolland, adjointe à la Maire de Paris en charge de la culture et de la ville du quart d’heure.
« Pour une Nuit Blanche chorale et opératique qui fait le pari de proposer de nouvelles images de la France au monde, et à elle-même, Paris sera le lieu de diffraction des ondes océaniques propagées par les sensibilités d’artistes dont les cultures et histoires ultramarines sont le gage de leur attachement français autant que de leur dimension internationale car déjà ancrées dans la complexité d’un monde contemporain créolisé où la diversité l’emporte sur l’universalité et où désirs d’hétéronomie et d’autonomie se côtoient. Les artistes de Nuit Blanche 2024 sont représentatifs de la diversité des pratiques artistiques contemporaines mondialisées plutôt que représentants d’une appartenance nationale. » Claire Tancons, directrice artistique de Nuit Blanche 2024.
Ainsi, l’artiste guadeloupéen Kenny Dunkan, proposera, de la Place de l’Hôtel de Ville à la Place de la République, WÉLÉLÉ !!!, une déambulation collective de skateboards sonorisés pour restituer l’ambiance de la nuit tropicale et donner à voir la dimension multiculturelle du nouveau sport olympique.
L’artiste parisienne Laura Henno investira le parc de Belleville avec le film Koropa tourné à Mayotte, pour une expérience immersive de la nuit et un questionnement sur les enjeux migratoires.
Au Carreau du Temple, le violoniste guadeloupéen, Romuald Grimbert-Barré et la chorégraphe guyanaise Johana Malédon présenteront une création mêlant danse, escrime et musique, autour de l’œuvre du Chevalier de Saint Georges, illustre musicien et escrimeur de Guadeloupe (Saint-George en mouvement(s) : Chevalier Virtuose).
Tabita Rezaire, artiste guyanaise, proposera une installation textile et vidéo monumentale L’art de naître à proximité de la Chapelle de l’Hôpital de la Pitié Salpetrière – AP-HP.
Au cœur de la Butte Montmartre, une performance poétique par la jeune artiste polynésienne Orama Nigou (Cycle de Rūmia, Acte 3, Ōivi no Rūmia), une installation picturale monumentale et performance d’Edgar Arceneaux « The Mirror is you ».
Et une grande performance musicale, chorégraphique et théâtrale, Kaldûn Requiem ou le pays invisible par Abdelwaheb Selsaf sera présenté au public entre nombreux autres projets.
« Si, dans notre France hexagonale, nous avons coutume de dire que le temps est rythmé par les saisons, dans la plupart des régions de notre France polygonale, nous avons coutume de dire que le temps est rythmé par le soleil. La nuit en est indissociable. Alors que Paris s’apprête à célébrer avec le reste du monde les valeurs olympiques de l’amitié, du respect, de l’excellence, et les valeurs paralympiques de la détermination, de l’égalité, de l’inspiration et du courage, Nuit Blanche célèbrera, un dialogue renouvelé entre art, création et société. Elle nous fera parcourir une France transocéanique et transcontinentale, une France ultramarine où les artistes nous invitent à faire le tour de mondes proches et lointains qui augmentent notre identité collective et personnelle de leurs expériences singulières. Merci à eux de nous les offrir en partage. » Jacques Martial, adjoint à la Maire de Paris en charge des Outre-mer.
À Paris, les artistes invités par Claire Tancons, mais aussi les artistes associés et institutions culturelles souhaitant prendre part à la manifestation feront découvrir au public plus de 100 propositions dans toute la ville. Près de 150 propositions verront également le jour dans plusieurs communes de la Métropole du Grand Paris.
Rouen fera aussi sa Nuit Blanche, en présentant une performance inspirée de la série « Métaphore du Pyékoko » signée par l’artiste Gwladys Gambie (Martinique). Et plusieurs territoires ultramarins - la Guadeloupe et la Polynésie entre autres - feront rayonner Nuit Blanche au-delà des océans. La diversité des médiums et l’exigence artistique seront au rendez-vous de cette ambitieuse et deuxième édition printanière.
Ainsi, l’artiste guadeloupéen Kenny Dunkan, proposera, de la Place de l’Hôtel de Ville à la Place de la République, WÉLÉLÉ !!!, une déambulation collective de skateboards sonorisés pour restituer l’ambiance de la nuit tropicale et donner à voir la dimension multiculturelle du nouveau sport olympique.
L’artiste parisienne Laura Henno investira le parc de Belleville avec le film Koropa tourné à Mayotte, pour une expérience immersive de la nuit et un questionnement sur les enjeux migratoires.
Au Carreau du Temple, le violoniste guadeloupéen, Romuald Grimbert-Barré et la chorégraphe guyanaise Johana Malédon présenteront une création mêlant danse, escrime et musique, autour de l’œuvre du Chevalier de Saint Georges, illustre musicien et escrimeur de Guadeloupe (Saint-George en mouvement(s) : Chevalier Virtuose).
Tabita Rezaire, artiste guyanaise, proposera une installation textile et vidéo monumentale L’art de naître à proximité de la Chapelle de l’Hôpital de la Pitié Salpetrière – AP-HP.
Au cœur de la Butte Montmartre, une performance poétique par la jeune artiste polynésienne Orama Nigou (Cycle de Rūmia, Acte 3, Ōivi no Rūmia), une installation picturale monumentale et performance d’Edgar Arceneaux « The Mirror is you ».
Et une grande performance musicale, chorégraphique et théâtrale, Kaldûn Requiem ou le pays invisible par Abdelwaheb Selsaf sera présenté au public entre nombreux autres projets.
« Si, dans notre France hexagonale, nous avons coutume de dire que le temps est rythmé par les saisons, dans la plupart des régions de notre France polygonale, nous avons coutume de dire que le temps est rythmé par le soleil. La nuit en est indissociable. Alors que Paris s’apprête à célébrer avec le reste du monde les valeurs olympiques de l’amitié, du respect, de l’excellence, et les valeurs paralympiques de la détermination, de l’égalité, de l’inspiration et du courage, Nuit Blanche célèbrera, un dialogue renouvelé entre art, création et société. Elle nous fera parcourir une France transocéanique et transcontinentale, une France ultramarine où les artistes nous invitent à faire le tour de mondes proches et lointains qui augmentent notre identité collective et personnelle de leurs expériences singulières. Merci à eux de nous les offrir en partage. » Jacques Martial, adjoint à la Maire de Paris en charge des Outre-mer.
À Paris, les artistes invités par Claire Tancons, mais aussi les artistes associés et institutions culturelles souhaitant prendre part à la manifestation feront découvrir au public plus de 100 propositions dans toute la ville. Près de 150 propositions verront également le jour dans plusieurs communes de la Métropole du Grand Paris.
Rouen fera aussi sa Nuit Blanche, en présentant une performance inspirée de la série « Métaphore du Pyékoko » signée par l’artiste Gwladys Gambie (Martinique). Et plusieurs territoires ultramarins - la Guadeloupe et la Polynésie entre autres - feront rayonner Nuit Blanche au-delà des océans. La diversité des médiums et l’exigence artistique seront au rendez-vous de cette ambitieuse et deuxième édition printanière.