Depuis plusieurs années, le nombre grandissant d’actes violents commis en Polynésie française interpelle les pouvoirs publics. En effet, le dernier diagnostic territorial de sécurité met en évidence une augmentation de plus de 2 % des atteintes volontaires à l’intégrité physique par rapport à 2016. Le plan de prévention de la délinquance de Polynésie française met en exergue également le nombre de jeunes concernés par les atteintes aux biens, ceux-ci représentant 27,7% des auteurs, soit près d’un tiers d’entre eux.
Avec la volonté d’apporter une réponse adaptée aux jeunes âgés de 10 à 24 ans, la Délégation pour la Prévention de la Délinquance de la Jeunesse (DPDJ) a été créée le 1er juin dernier, avec pour principales missions la promotion de la jeunesse, la prévention de la délinquance et le développement d’une parentalité agissante et pleinement consciente de son rôle éducatif. Elle intervient sur l’ensemble du territoire, et ce, en concertation avec tous les services du Pays, de l’État, et de toutes les associations laïques comme religieuses qui œuvrent au quotidien auprès des jeunes.
En partant du principe que chacun peut apporter sa pierre à l’édifice, afin d’avoir d’une société polynésienne qui vive en harmonie avec elle-même et son environnement, la DPDJ s’adresse aussi bien aux jeunes qu’à leurs familles. Elle prône la valorisation des richesses individuelles, familiales et collectives, avec des identités, aussi diversifiées qu’elles soient, mais unies par une même histoire et une même Polynésie.
Dans le cadre de ses missions de promotion d’une jeunesse responsable et d’une prévention des risques de délinquance chez les jeunes, la Délégation a donc choisi de mettre en lumière le parcours de vie d’Henri Burns, qui a grandi au sein de plusieurs familles d’accueil et qui a été victimes de maltraitances, avant de devenir champion de MMA. A travers cet exemple, il s’agit d’être au plus près des réalités des jeunes d’aujourd’hui avec deux supports différents: la réalisation d’un court métrage et la création du statut d’Ambassadeur de la jeunesse.
Un partenariat a donc été initié avec la société de production « Lucid Dream » pour la réalisation d’un court métrage d’une durée de 13 minutes racontant la vie d’Henri Burns. Ce dernier retrace la vie de ce champion de la lutte et du combat mené à travers une jeunesse confrontée à de nombreuses difficultés et dont la volonté de s’en sortir va pleinement s’exprimer sur les rings de différents pays.
Ce premier épisode intitulé « Pa’ari » s’inscrit dans une série de documentaires intitulée « Matau », composée de 13 épisodes consacrés à des personnalités ayant toutes des parcours atypiques menant vers une consécration internationale. L’objectif est d’interpeller le grand public en lui montrant qu,e malgré les obstacles et les difficultés diverses rencontrées, la réussite sociale est basée sur des valeurs telles que le travail, la rigueur, la probité et l’exemplarité.
L’épisode « Pa’ari » va être présenté au FIFO 2021. Il pourrait être également diffusé lors de rencontres avec des jeunes ou encore, dans les établissements scolaires, dans une logique de sensibilisation de la jeunesse à ces thématiques.
L’autre outil innovant créé est celui du statut d’Ambassadeur de la jeunesse pour promouvoir et véhiculer des messages préventifs sur les addictions, les violences et l’incivisme par le biais des réseaux sociaux. Pour ce faire, Henri Burns sera également amené à représenter la jeunesse polynésienne dans des événements ou des manifestations dédiées à ces thèmes.
Avec la volonté d’apporter une réponse adaptée aux jeunes âgés de 10 à 24 ans, la Délégation pour la Prévention de la Délinquance de la Jeunesse (DPDJ) a été créée le 1er juin dernier, avec pour principales missions la promotion de la jeunesse, la prévention de la délinquance et le développement d’une parentalité agissante et pleinement consciente de son rôle éducatif. Elle intervient sur l’ensemble du territoire, et ce, en concertation avec tous les services du Pays, de l’État, et de toutes les associations laïques comme religieuses qui œuvrent au quotidien auprès des jeunes.
En partant du principe que chacun peut apporter sa pierre à l’édifice, afin d’avoir d’une société polynésienne qui vive en harmonie avec elle-même et son environnement, la DPDJ s’adresse aussi bien aux jeunes qu’à leurs familles. Elle prône la valorisation des richesses individuelles, familiales et collectives, avec des identités, aussi diversifiées qu’elles soient, mais unies par une même histoire et une même Polynésie.
Dans le cadre de ses missions de promotion d’une jeunesse responsable et d’une prévention des risques de délinquance chez les jeunes, la Délégation a donc choisi de mettre en lumière le parcours de vie d’Henri Burns, qui a grandi au sein de plusieurs familles d’accueil et qui a été victimes de maltraitances, avant de devenir champion de MMA. A travers cet exemple, il s’agit d’être au plus près des réalités des jeunes d’aujourd’hui avec deux supports différents: la réalisation d’un court métrage et la création du statut d’Ambassadeur de la jeunesse.
Un partenariat a donc été initié avec la société de production « Lucid Dream » pour la réalisation d’un court métrage d’une durée de 13 minutes racontant la vie d’Henri Burns. Ce dernier retrace la vie de ce champion de la lutte et du combat mené à travers une jeunesse confrontée à de nombreuses difficultés et dont la volonté de s’en sortir va pleinement s’exprimer sur les rings de différents pays.
Ce premier épisode intitulé « Pa’ari » s’inscrit dans une série de documentaires intitulée « Matau », composée de 13 épisodes consacrés à des personnalités ayant toutes des parcours atypiques menant vers une consécration internationale. L’objectif est d’interpeller le grand public en lui montrant qu,e malgré les obstacles et les difficultés diverses rencontrées, la réussite sociale est basée sur des valeurs telles que le travail, la rigueur, la probité et l’exemplarité.
L’épisode « Pa’ari » va être présenté au FIFO 2021. Il pourrait être également diffusé lors de rencontres avec des jeunes ou encore, dans les établissements scolaires, dans une logique de sensibilisation de la jeunesse à ces thématiques.
L’autre outil innovant créé est celui du statut d’Ambassadeur de la jeunesse pour promouvoir et véhiculer des messages préventifs sur les addictions, les violences et l’incivisme par le biais des réseaux sociaux. Pour ce faire, Henri Burns sera également amené à représenter la jeunesse polynésienne dans des événements ou des manifestations dédiées à ces thèmes.