A l'initiative de l'intersyndicale (FO, CGT, CFDT, SNJ), une partie des salariés de la chaîne Réunion 1ère est en grève ce mercredi. La Raison: la suppression d’un certain nombre de postes au sein de la chaîne publique.
Les syndicats dénoncent "l'incapacité d'appliquer et de respecter la convention collective nationale et les normes sociales de France Télévisions", "la légèreté voire l'incompétence dans la gestion financière et des ressources humaines de l'établissement pointés par des rapports d'expertise".
Ils mettent également en avant "l'incapacité à assurer le plein emploi aux salariés en préférant privilégier l'achat de programmes produits par des sociétés extérieures".
Selon un délégué de la CGT, Depuis trois ans, cinq temps plein sont supprimés chaque année, auxquels s’ajoutent les départs volontaires lancés par le groupe France Télévisions. 22 postes ont été perdus.
A cela s'ajoute la détérioration budgétaire de l’entreprise publique. Un syndicaliste explique même que depuis avril 2014, un rapport financier met en garde contre un budget irréaliste. En octobre, un déficit de 800 000 euros est confirmé. Tout en rajoutant que "Le cross média et d’autres émissions sont supprimés, le JT est amputé de moitié, et la quasi-disparition des pigistes et des intermittents". "Aujourd’hui, certains services sont en sous-effectif, d’autres en sureffectifs".
Il faudra s'attendre ce Mercredi à quelques perturbations sur les antennes de Réunion 1ère et Gilles Vaubourg, le directeur régional, espère trouver une solution à ce conflit. Il craint aussi de décevoir les auditeurs et les téléspectateurs qui les attendent, au risque de compromettre leur mission d'information.
Les syndicats dénoncent "l'incapacité d'appliquer et de respecter la convention collective nationale et les normes sociales de France Télévisions", "la légèreté voire l'incompétence dans la gestion financière et des ressources humaines de l'établissement pointés par des rapports d'expertise".
Ils mettent également en avant "l'incapacité à assurer le plein emploi aux salariés en préférant privilégier l'achat de programmes produits par des sociétés extérieures".
Selon un délégué de la CGT, Depuis trois ans, cinq temps plein sont supprimés chaque année, auxquels s’ajoutent les départs volontaires lancés par le groupe France Télévisions. 22 postes ont été perdus.
A cela s'ajoute la détérioration budgétaire de l’entreprise publique. Un syndicaliste explique même que depuis avril 2014, un rapport financier met en garde contre un budget irréaliste. En octobre, un déficit de 800 000 euros est confirmé. Tout en rajoutant que "Le cross média et d’autres émissions sont supprimés, le JT est amputé de moitié, et la quasi-disparition des pigistes et des intermittents". "Aujourd’hui, certains services sont en sous-effectif, d’autres en sureffectifs".
Il faudra s'attendre ce Mercredi à quelques perturbations sur les antennes de Réunion 1ère et Gilles Vaubourg, le directeur régional, espère trouver une solution à ce conflit. Il craint aussi de décevoir les auditeurs et les téléspectateurs qui les attendent, au risque de compromettre leur mission d'information.
