L’évènement musical Black Box Sessions de Réunion la 1ère vous donne rendez-vous pour une quatrième saison les vendredis 6, 13, 20 et 27 décembre 2019 puis les 3 et 10 janvier 2020 à 19h45.
Une série de 6 concerts inédits et intimistes enregistrés dans les conditions du direct à la Cité des Arts. Des instants rares et précieux où les artistes jouent en live et les yeux dans les yeux avec le public.
Au programme: 6 soirées exceptionnelles mélangeant les styles, les influences et les générations :
Vendredi 6 décembre - Gren Sémé
Entre poésie rock, pulsations dub et rythmes ternaires, Grèn Sémé invente une chanson totalement inédite où le créole et le maloya de La Réunion donnent rendez-vous à Brel, Bashung et Noir Désir.
Trois ans après un premier album remarqué, le groupe trouve avec Hors Sol le parfait équilibre entre puissance et fragilité, et s’affirme comme l’une des voix les plus originales de la nouvelle scène francophone. enregistré avec Jean Lamoot, ingénieur son pour La Mano Negra ou Brigitte Fontaine, cet opus révèle une conscience poétique en opposition aux mirages existentiels de la modernité et aux imaginaires normalisés.
Vendredi 13 décembre - Kanasel
Sa voix sied au rock, à la soul ou au folk de ses idoles. Il s’autorise donc toutes les outrances : sa musique est celle d’une culture de playlists dans lesquelles Ben Harper croise les Black Keys et Alain peters sans le moindre tabou. Kanasel a grandi avec 10 000 albums au creux de sa poche et les a tous mis dans le sien, intitulé Florebo. Une musique sans interdits, pour une carrière sans frontières. Partout, il veut chanter le Créole de son île, le Français de son pays, et l’Anglais de ses terres promises.
Il sortira un album nommé “Florebo” composé de dix chansons dansantes, graves et conquérantes qui retracent une série d’émotions ressenties loin de La réunion.
Vendredi 20 décembre - Tikok Vellaye
Auteur, compositeur et interprète de la musique et des textes de son groupe Ti sours a réellement débuté à l’âge de 18 ans. son style est entre séga et maloya qu’ il aime mélanger avec des influences afro-cubaines mais aussi indiennes. Il joue de plusieurs instruments (guitare, basse, batterie, rouler, kayanm, bob, piker...) mais sur scène on le voit devant son micro avec sa guitare.
Tikok reste fidèle aux traditions, d’ailleurs ses paroles dénoncent l’abandon de l’authenticité créole et les méfaits de la modernité. Il lutte donc pour la défense de la culture réunionnaise. Tikok a longtemps joué aux cotés de Danyel Waro, enregistrant avec lui les albums batarsite, Foutan Fonnker et bwarouz.
Il a travaillé avec des grands noms tels que Loy Ehrlich, bernard Marca, Joël Gonthier, René Lacaille et il a enregistré avec eux l’album en hommage à Alain Peters. Il enregistre aussi avec Jimmy Mariapin, Jocelyn Ducap et bien d’autres encore ... Mais le public le connait surtout pour son rôle de leader du groupe Ti Sours.
C’est dans ces conditions qu’il enregistre son nouvel album sur lequel il jouera de plusieurs instruments dont le charango. On y retrouve tous les ingrédients de la cuisine musicale Vellaye : un soupçon de sonorités indiennes, une pincée de rythmes africains, un zeste de rumba et de musique caribéenne, une larme de jazz et pour lier le tout l’indispensable séga-maloya. Les nouveaux morceaux développent des thèmes chers à l’auteur, la foi, l’amour, la famille, le patrimoine historique réunionnais, les méfaits de la modernité …
Vendredi 27 décembre - Gwendoline Absalon
Entourée de parents mélomanes, Gwendoline est bercée dès sa naissance par les disques de Césaria Evora, Ray Charles, billy Holiday ou encore par les cassettes de Danyel Waro, Gramoun Sello et pleins d’autres artistes d’horizons différents.
A l’âge de 12 ans, elle intègre la chorale du Collège des Deux-Canons, avec laquelle elle fera son 1er concert au Téat de Champ Fleuri (La réunion). A son entrée au Lycée Leconte de Lisle (La réunion), elle s’inscrit en option musique avec pour professeur Nadine Welinski.
Cette enseignante lui permettra de suivre des cours de chant lyrique avec l’une des plus grandes : Nathalie Cadet. entre le “stabat mater“ de pergolesi, “Lascia chio pianga“ de Handel ou encore les bossas tels que “Manha de carnaval“ de Luiz Bonfá, Gwendoline va découvrir une partie de sa voix. elle nourrit tout au long de ses expériences un amour inconditionnel pour les musiques du monde.
Dans le milieu artistique, Gwendoline est décrite comme étant une vrai ambassadrice de la culture réunionnaise. Aujourd’hui, elle est plasticienne et anime également des ateliers collectifs de musicothérapie énergétique à La Réunion. Elle reste toujours passionnée par la musique, d’où la préparation d’un second album prévu pour 2020.
Vendredi 3 janvier - Wizdom
Du haut de ses 21 ans, David Ledenom, semble trouver les mots justes que ce soit en musique ou dans son quotidien. par cette justesse d’esprit, le jeune artiste réunionnais, originaire de la ville de saint-Gilles, se fait rapidement surnommer «le sage», d’où son nom d’artiste : «Wizdom (Sagesse)».
Son premier EP : «be Wise», est sorti le 2 mai avec ses propres textes et les compositions de K-mi HOUDINI (producteur/ingé/son) au sein du label Black Ducks Musics 2016. Ce petit bijou suit également la tendance d’esprit du petit prodige : «etre sage». Composé de six titres, ce CD retrace l’univers de l’artiste. Observateur et sensible, l’auteur partage «sa vision» à travers ce premier répertoire.
Wizdom insiste «Be Wise », reste un simple aperçu, en effet le titre «sans limites» montre son ambition et laisse envisager de nombreuses surprises. «Toucher l’âme, prendre le temps de creuser l’intérieur de chacun», l’artiste affirme tirer sa principale motivation artistique de cet élan spirituel.
De 2013 à 2014, lors de son voyage au Canada, il prend le temps de se découvrir et commence par la même occasion à composer et à exercer sa voix en autodidacte. Qu’importe le thème : amour, religion… il entremêle dans ses compositions divers styles musicaux. À l’image de son univers personnel et de la jeunesse de son caractère, sa musique apparaît comme un hybride inclassable.
Toutefois, Wizdom ne s’en cache pas, il dit puiser son inspiration à travers plusieurs chanteurs locaux : kaf Malbar, Isnel, Sskyron et bien d’autres.
Vendredi 10 janvier - Maya Kamaty
Maya kamaty est née à La réunion et elle a grandi entre les accords de son père, le leader du groupe Ziskakan et les contes créoles de sa mère. elle a fait ses gammes au milieu des musiciens et des poètes, bercée par la belle langue créole et les rythmes du Maloya, musique traditionnelle de La réunion.
Aujourd’hui Maya sait qu’elle veut revendiquer ses racines au travers de sa musique, “Pandiyé” dont le premier single éponyme est sorti le 26 octobre pour un véritable voyage entre tradition et modernité.
De puissantes basses (empruntant aussi bien à l’électro-folk de l’islandais Asgeir, au hip-hop de Kendrick Lamar, à la pop de Björk ou au dubstep), viennent soutenir les traditionnels kayamb et roulèr du maloya, en même temps qu’elles donnent à entendre d’autres instruments de la culture réunionnaise : la takamba (plus connu sous le nom de n’goni), mais également les tambours, d’habitude réservés aux cérémonies malbars, des descendants de tamouls, dont Maya incarne la 5ème génération.
Une série de 6 concerts inédits et intimistes enregistrés dans les conditions du direct à la Cité des Arts. Des instants rares et précieux où les artistes jouent en live et les yeux dans les yeux avec le public.
Au programme: 6 soirées exceptionnelles mélangeant les styles, les influences et les générations :
Vendredi 6 décembre - Gren Sémé
Entre poésie rock, pulsations dub et rythmes ternaires, Grèn Sémé invente une chanson totalement inédite où le créole et le maloya de La Réunion donnent rendez-vous à Brel, Bashung et Noir Désir.
Trois ans après un premier album remarqué, le groupe trouve avec Hors Sol le parfait équilibre entre puissance et fragilité, et s’affirme comme l’une des voix les plus originales de la nouvelle scène francophone. enregistré avec Jean Lamoot, ingénieur son pour La Mano Negra ou Brigitte Fontaine, cet opus révèle une conscience poétique en opposition aux mirages existentiels de la modernité et aux imaginaires normalisés.
Vendredi 13 décembre - Kanasel
Sa voix sied au rock, à la soul ou au folk de ses idoles. Il s’autorise donc toutes les outrances : sa musique est celle d’une culture de playlists dans lesquelles Ben Harper croise les Black Keys et Alain peters sans le moindre tabou. Kanasel a grandi avec 10 000 albums au creux de sa poche et les a tous mis dans le sien, intitulé Florebo. Une musique sans interdits, pour une carrière sans frontières. Partout, il veut chanter le Créole de son île, le Français de son pays, et l’Anglais de ses terres promises.
Il sortira un album nommé “Florebo” composé de dix chansons dansantes, graves et conquérantes qui retracent une série d’émotions ressenties loin de La réunion.
Vendredi 20 décembre - Tikok Vellaye
Auteur, compositeur et interprète de la musique et des textes de son groupe Ti sours a réellement débuté à l’âge de 18 ans. son style est entre séga et maloya qu’ il aime mélanger avec des influences afro-cubaines mais aussi indiennes. Il joue de plusieurs instruments (guitare, basse, batterie, rouler, kayanm, bob, piker...) mais sur scène on le voit devant son micro avec sa guitare.
Tikok reste fidèle aux traditions, d’ailleurs ses paroles dénoncent l’abandon de l’authenticité créole et les méfaits de la modernité. Il lutte donc pour la défense de la culture réunionnaise. Tikok a longtemps joué aux cotés de Danyel Waro, enregistrant avec lui les albums batarsite, Foutan Fonnker et bwarouz.
Il a travaillé avec des grands noms tels que Loy Ehrlich, bernard Marca, Joël Gonthier, René Lacaille et il a enregistré avec eux l’album en hommage à Alain Peters. Il enregistre aussi avec Jimmy Mariapin, Jocelyn Ducap et bien d’autres encore ... Mais le public le connait surtout pour son rôle de leader du groupe Ti Sours.
C’est dans ces conditions qu’il enregistre son nouvel album sur lequel il jouera de plusieurs instruments dont le charango. On y retrouve tous les ingrédients de la cuisine musicale Vellaye : un soupçon de sonorités indiennes, une pincée de rythmes africains, un zeste de rumba et de musique caribéenne, une larme de jazz et pour lier le tout l’indispensable séga-maloya. Les nouveaux morceaux développent des thèmes chers à l’auteur, la foi, l’amour, la famille, le patrimoine historique réunionnais, les méfaits de la modernité …
Vendredi 27 décembre - Gwendoline Absalon
Entourée de parents mélomanes, Gwendoline est bercée dès sa naissance par les disques de Césaria Evora, Ray Charles, billy Holiday ou encore par les cassettes de Danyel Waro, Gramoun Sello et pleins d’autres artistes d’horizons différents.
A l’âge de 12 ans, elle intègre la chorale du Collège des Deux-Canons, avec laquelle elle fera son 1er concert au Téat de Champ Fleuri (La réunion). A son entrée au Lycée Leconte de Lisle (La réunion), elle s’inscrit en option musique avec pour professeur Nadine Welinski.
Cette enseignante lui permettra de suivre des cours de chant lyrique avec l’une des plus grandes : Nathalie Cadet. entre le “stabat mater“ de pergolesi, “Lascia chio pianga“ de Handel ou encore les bossas tels que “Manha de carnaval“ de Luiz Bonfá, Gwendoline va découvrir une partie de sa voix. elle nourrit tout au long de ses expériences un amour inconditionnel pour les musiques du monde.
Dans le milieu artistique, Gwendoline est décrite comme étant une vrai ambassadrice de la culture réunionnaise. Aujourd’hui, elle est plasticienne et anime également des ateliers collectifs de musicothérapie énergétique à La Réunion. Elle reste toujours passionnée par la musique, d’où la préparation d’un second album prévu pour 2020.
Vendredi 3 janvier - Wizdom
Du haut de ses 21 ans, David Ledenom, semble trouver les mots justes que ce soit en musique ou dans son quotidien. par cette justesse d’esprit, le jeune artiste réunionnais, originaire de la ville de saint-Gilles, se fait rapidement surnommer «le sage», d’où son nom d’artiste : «Wizdom (Sagesse)».
Son premier EP : «be Wise», est sorti le 2 mai avec ses propres textes et les compositions de K-mi HOUDINI (producteur/ingé/son) au sein du label Black Ducks Musics 2016. Ce petit bijou suit également la tendance d’esprit du petit prodige : «etre sage». Composé de six titres, ce CD retrace l’univers de l’artiste. Observateur et sensible, l’auteur partage «sa vision» à travers ce premier répertoire.
Wizdom insiste «Be Wise », reste un simple aperçu, en effet le titre «sans limites» montre son ambition et laisse envisager de nombreuses surprises. «Toucher l’âme, prendre le temps de creuser l’intérieur de chacun», l’artiste affirme tirer sa principale motivation artistique de cet élan spirituel.
De 2013 à 2014, lors de son voyage au Canada, il prend le temps de se découvrir et commence par la même occasion à composer et à exercer sa voix en autodidacte. Qu’importe le thème : amour, religion… il entremêle dans ses compositions divers styles musicaux. À l’image de son univers personnel et de la jeunesse de son caractère, sa musique apparaît comme un hybride inclassable.
Toutefois, Wizdom ne s’en cache pas, il dit puiser son inspiration à travers plusieurs chanteurs locaux : kaf Malbar, Isnel, Sskyron et bien d’autres.
Vendredi 10 janvier - Maya Kamaty
Maya kamaty est née à La réunion et elle a grandi entre les accords de son père, le leader du groupe Ziskakan et les contes créoles de sa mère. elle a fait ses gammes au milieu des musiciens et des poètes, bercée par la belle langue créole et les rythmes du Maloya, musique traditionnelle de La réunion.
Aujourd’hui Maya sait qu’elle veut revendiquer ses racines au travers de sa musique, “Pandiyé” dont le premier single éponyme est sorti le 26 octobre pour un véritable voyage entre tradition et modernité.
De puissantes basses (empruntant aussi bien à l’électro-folk de l’islandais Asgeir, au hip-hop de Kendrick Lamar, à la pop de Björk ou au dubstep), viennent soutenir les traditionnels kayamb et roulèr du maloya, en même temps qu’elles donnent à entendre d’autres instruments de la culture réunionnaise : la takamba (plus connu sous le nom de n’goni), mais également les tambours, d’habitude réservés aux cérémonies malbars, des descendants de tamouls, dont Maya incarne la 5ème génération.