Sébastien Folin revient sur France Ô avec une nouvelle émission mensuelle : C’est pas le bout du monde ! Un talk-show culturel qui propose un tour du monde de la France d’Outre-mer. Car les clichés ont la vie dure et l’Outre-mer, ce n’est pas que le zouk, les plages, le monoï et les cocotiers. Informer et divertir, tout en déjouant les stéréotypes dans la bonne humeur, voilà le pari de C'est pas le bout du monde !
Autour de Sébastien Folin, une bande de chroniqueurs avec de nouveaux visages :
Elliot Chemlekh, community manager, sera chargé de tisser des liens avec les téléspectateurs et dialoguer en direct avec le public via les réseaux sociaux. Erika Govinda Rajen est journaliste. Chez Sébastien Folin, Erika ne sera pas un emploi fictif ! En plus de délivrer des infos cruciales sur chaque sujet, elle va corriger les erreurs de Sébastien qui lui, n’a pas de carte de presse.
Et aussi :
Fabrice d’Almeida est un historien, un vrai, bardé de diplômes. La preuve, on le voit souvent à la télé ! Il est incollable sur Toussaint Louverture, le chevalier de Saint-Georges ou Stéphane Diagana. Présent la saison passée dans la bande du Fôlin Hebdo, Fabrice revient pour nous faire partager sa connaissance encyclopédique de l’Histoire, des hommes, et de l’histoire des hommes.
Autour de Sébastien Folin, une bande de chroniqueurs avec de nouveaux visages :
Elliot Chemlekh, community manager, sera chargé de tisser des liens avec les téléspectateurs et dialoguer en direct avec le public via les réseaux sociaux. Erika Govinda Rajen est journaliste. Chez Sébastien Folin, Erika ne sera pas un emploi fictif ! En plus de délivrer des infos cruciales sur chaque sujet, elle va corriger les erreurs de Sébastien qui lui, n’a pas de carte de presse.
Et aussi :
Fabrice d’Almeida est un historien, un vrai, bardé de diplômes. La preuve, on le voit souvent à la télé ! Il est incollable sur Toussaint Louverture, le chevalier de Saint-Georges ou Stéphane Diagana. Présent la saison passée dans la bande du Fôlin Hebdo, Fabrice revient pour nous faire partager sa connaissance encyclopédique de l’Histoire, des hommes, et de l’histoire des hommes.
Interview de Sebastien Folin
A quoi va ressembler cette nouvelle émission ?
C'est pas le bout du monde ! est un talk-show de divertissement culturel en public. Si cette émission était une exploitation agricole, elle prônerait le modèle de la permaculture. Une méthode qui consiste à regrouper sur un même sol différentes espèces de plantes, qui se nourrissent de la même terre, mélangeant leurs racines. Chacun vient avec un bout de son patrimoine. Les invités en plateau représentent la diversité culturelle de la société française : comédiens, chanteurs, auteurs, photographes… ultramarins et métropolitains.
Qui seront les chroniqueurs capables d’éviter les clichés sur l’Outre-mer ?
Les animateurs et journalistes du réseau Outre-mer 1ère sont « les spécialistes » de l’émission. Ils interviennent en duplex pour apporter leur expertise et des compléments d’information aux sujets évoqués en plateau. Des interventions complétées par des reportages, des images d’archives, des micros-trottoirs fabriqués en région.
Comment comptez-vous relever le défi d’être à la fois amusant et intéressant ?
Les échanges sont intéressants car toutes les cultures hexagonales et ultramarines se croisent grâce aux témoignages et aux réponses des journalistes d’Outre-mer. Ils sont aussi amusants parce que cela se fait avec une bonne dose d’humour. Tout ce qu’il faut pour créer un climat chaleureux et enrichissant.
À quel genre de sujets doit-on s’attendre ?
De l’anecdotique – qu’est-ce qu’un « bonbon la fesse » à La Réunion ? – au plus sérieux – quel est le point commun entre Al Capone et Saint-Pierre-et-Miquelon ? –, cette émission est l’occasion de parler de gastronomie, d’agriculture, d’histoire, de musique, de géographie, de langues locales, de tourisme et de traditions.
On met sur la table des sujets culturels qui permettent d’évoquer l’univers de chaque invité, de créer des ponts et des passerelles, de susciter le dialogue et l’échange. Les invités en plateau sont aussi soumis à des questions sur l’Outre-mer, sous forme de quiz, d’affirmations ou de blind tests.
C'est pas le bout du monde ! est un talk-show de divertissement culturel en public. Si cette émission était une exploitation agricole, elle prônerait le modèle de la permaculture. Une méthode qui consiste à regrouper sur un même sol différentes espèces de plantes, qui se nourrissent de la même terre, mélangeant leurs racines. Chacun vient avec un bout de son patrimoine. Les invités en plateau représentent la diversité culturelle de la société française : comédiens, chanteurs, auteurs, photographes… ultramarins et métropolitains.
Qui seront les chroniqueurs capables d’éviter les clichés sur l’Outre-mer ?
Les animateurs et journalistes du réseau Outre-mer 1ère sont « les spécialistes » de l’émission. Ils interviennent en duplex pour apporter leur expertise et des compléments d’information aux sujets évoqués en plateau. Des interventions complétées par des reportages, des images d’archives, des micros-trottoirs fabriqués en région.
Comment comptez-vous relever le défi d’être à la fois amusant et intéressant ?
Les échanges sont intéressants car toutes les cultures hexagonales et ultramarines se croisent grâce aux témoignages et aux réponses des journalistes d’Outre-mer. Ils sont aussi amusants parce que cela se fait avec une bonne dose d’humour. Tout ce qu’il faut pour créer un climat chaleureux et enrichissant.
À quel genre de sujets doit-on s’attendre ?
De l’anecdotique – qu’est-ce qu’un « bonbon la fesse » à La Réunion ? – au plus sérieux – quel est le point commun entre Al Capone et Saint-Pierre-et-Miquelon ? –, cette émission est l’occasion de parler de gastronomie, d’agriculture, d’histoire, de musique, de géographie, de langues locales, de tourisme et de traditions.
On met sur la table des sujets culturels qui permettent d’évoquer l’univers de chaque invité, de créer des ponts et des passerelles, de susciter le dialogue et l’échange. Les invités en plateau sont aussi soumis à des questions sur l’Outre-mer, sous forme de quiz, d’affirmations ou de blind tests.
Propos recueillis par Ludovic Hoarau