Dossier majeur, le projet de sécurisation locale et internationale par câble sous-marin est relancé. Le nouvel appel d’offres a été publié depuis le 30 mars, avec le choix d’un raccordement sur Fidji pour la partie internationale.
La sécurisation de l’Internet nécessite la mise en place d’un second câble sous-marin qui viendra s’ajouter à Gondwana-1 qui relie Nouméa à Sydney depuis 2008.
A cette fin, un appel d’offres portant sur la sécurisation de la Nouvelle-Calédonie par câbles sous-marins international et domestique sera lancé le 30 mars 2019.
Cet appel d’offre suit les recommandations issues de l’étude sectorielle des télécommunications réalisée en 2018 par le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, et présentée à l’office début mars, avec le choix d’un câble international à destination de Fidji.
Au regard des analyses opérées, le conseil d’administration de l’OPT-NC a validé de sécuriser les connexions internationales de la Nouvelle-Calédonie par la construction d’un second câble raccordé à Fidji, permettant ainsi à l’office de lancer un appel d’offres ouvert pour répondre à ce besoin.
Le CA de l’OPT-NC s’inscrit ainsi dans les recommandations issues de l’étude sectorielle des télécommunications menée par le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, qui prône une approche régionale visant plusieurs objectifs : dynamiser le paysage numérique régional : développer les coopérations numériques régionales, permettant à terme la vente de services numériques des sociétés calédoniennes aux îles du pacifique insulaire (Datacenter, Service Cloud, services en ligne et OTT). Ce modèle de coopération permettrait d’envisager par exemple, un lien futur avec Wallis et Futuna et la Polynésie Française. développer l’attractivité économique de la Nouvelle-Calédonie et des territoires régionaux en mettant en place des conditions favorisant de nouvelles perspectives (vente d’accès à la capacité internationale, développement de services par les sociétés de la filière calédonienne vers les îles du pacifiques ; développement d’activités tertiaires) répondre à l’objectif de sécurisation de la Nouvelle-Calédonie. Ce projet modifiera le paysage régional et permettra à la Nouvelle-Calédonie de renforcer son rôle d’acteur dans le paysage numérique de la zone Pacifique en donnant les moyens de répondre aux opportunités que peut offrir un marché en plein essor, tout en répondant aux enjeux du territoire.
L’appel d’offres portant sur la sécurisation de la Nouvelle-Calédonie par câbles sous-marins international et domestique a été lancé le 30 mars prochain.
Rappelons que cet appel d’offres vise à répondre au secours de Gondwana-1, mais aussi à la sécurité domestique de la Nouvelle-Calédonie avec le prolongement du câble PICOT-1 (reliant Poindimié, Ouvéa, Lifou) vers Maré, l’île des Pins, le sud de la Grande Terre et Nouméa (PICOT-2).
L’OPT-NC souhaite, pour financer ce projet, s’appuyer sur un schéma intégrant un apport en fonds propres (autofinancement), un emprunt auprès d’organismes spécifiques, un appel à la défiscalisation métropolitaine, et, enfin, un recours aux subventions métropolitaines ou européennes, dans le cadre du développement numérique et de la continuité territoriale. Le coût total du projet est aujourd’hui estimé à environ 4,5 Mds de francs.
La sécurisation de l’Internet nécessite la mise en place d’un second câble sous-marin qui viendra s’ajouter à Gondwana-1 qui relie Nouméa à Sydney depuis 2008.
A cette fin, un appel d’offres portant sur la sécurisation de la Nouvelle-Calédonie par câbles sous-marins international et domestique sera lancé le 30 mars 2019.
Cet appel d’offre suit les recommandations issues de l’étude sectorielle des télécommunications réalisée en 2018 par le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, et présentée à l’office début mars, avec le choix d’un câble international à destination de Fidji.
Au regard des analyses opérées, le conseil d’administration de l’OPT-NC a validé de sécuriser les connexions internationales de la Nouvelle-Calédonie par la construction d’un second câble raccordé à Fidji, permettant ainsi à l’office de lancer un appel d’offres ouvert pour répondre à ce besoin.
Le CA de l’OPT-NC s’inscrit ainsi dans les recommandations issues de l’étude sectorielle des télécommunications menée par le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, qui prône une approche régionale visant plusieurs objectifs : dynamiser le paysage numérique régional : développer les coopérations numériques régionales, permettant à terme la vente de services numériques des sociétés calédoniennes aux îles du pacifique insulaire (Datacenter, Service Cloud, services en ligne et OTT). Ce modèle de coopération permettrait d’envisager par exemple, un lien futur avec Wallis et Futuna et la Polynésie Française. développer l’attractivité économique de la Nouvelle-Calédonie et des territoires régionaux en mettant en place des conditions favorisant de nouvelles perspectives (vente d’accès à la capacité internationale, développement de services par les sociétés de la filière calédonienne vers les îles du pacifiques ; développement d’activités tertiaires) répondre à l’objectif de sécurisation de la Nouvelle-Calédonie. Ce projet modifiera le paysage régional et permettra à la Nouvelle-Calédonie de renforcer son rôle d’acteur dans le paysage numérique de la zone Pacifique en donnant les moyens de répondre aux opportunités que peut offrir un marché en plein essor, tout en répondant aux enjeux du territoire.
L’appel d’offres portant sur la sécurisation de la Nouvelle-Calédonie par câbles sous-marins international et domestique a été lancé le 30 mars prochain.
Rappelons que cet appel d’offres vise à répondre au secours de Gondwana-1, mais aussi à la sécurité domestique de la Nouvelle-Calédonie avec le prolongement du câble PICOT-1 (reliant Poindimié, Ouvéa, Lifou) vers Maré, l’île des Pins, le sud de la Grande Terre et Nouméa (PICOT-2).
L’OPT-NC souhaite, pour financer ce projet, s’appuyer sur un schéma intégrant un apport en fonds propres (autofinancement), un emprunt auprès d’organismes spécifiques, un appel à la défiscalisation métropolitaine, et, enfin, un recours aux subventions métropolitaines ou européennes, dans le cadre du développement numérique et de la continuité territoriale. Le coût total du projet est aujourd’hui estimé à environ 4,5 Mds de francs.