Le tribunal de commerce de Fort-de-France a renvoyé au 14 janvier sa décision dans le dossier épineux de France Antilles, l'unique quotidien aux Antilles-Guyane qui était placé en redressement judiciaire et menacé de disparition.
3 offres de reprises sont sur la table pour tenter de rendre possible la reprise de ce quotidien parmi lesquelles, on retrouve une offre du chef d'entreprise guyanais Philippe Alcide Dit Clauzel qui s'est positionné.
L'homme d'affaire qui s'appuie sur un consortium d'acteurs économiques pour peser dans les négociations de reprise souhaite se détacher des Antilles et se focaliser uniquement sur la Guyane avec de grandes ambitions pour le journal: "nous allons rénover le journal, nous allons porter le numérique, c'est sûr, c'est important d'aller dans l'ère du temps, un outil qui réponde à la demande mais nous allons garder essentiellement, ce qui est important, le quotidien papier."
Rappelons que France Antilles accuse des pertes comprises entre 450.000 et 600.000 euros par mois, pour un chiffre d’affaires annuel de 28 millions d’euros et il faut 9 millions d’euros pour relancer le quotidien, et malgré une aide de l’Etat de 3 millions, et un apport de 2,5 à 3 millions d’euros par des investisseurs, il manque 3 millions d’euros pour boucler ce financement, a fait valoir l’administrateur judiciaire.
Le gouvernement a même annoncé en octobre que la presse d’outre-mer bénéficierait désormais du régime renforcé d’exonération des charges sociales applicables aux entreprises ultramarines.
3 offres de reprises sont sur la table pour tenter de rendre possible la reprise de ce quotidien parmi lesquelles, on retrouve une offre du chef d'entreprise guyanais Philippe Alcide Dit Clauzel qui s'est positionné.
L'homme d'affaire qui s'appuie sur un consortium d'acteurs économiques pour peser dans les négociations de reprise souhaite se détacher des Antilles et se focaliser uniquement sur la Guyane avec de grandes ambitions pour le journal: "nous allons rénover le journal, nous allons porter le numérique, c'est sûr, c'est important d'aller dans l'ère du temps, un outil qui réponde à la demande mais nous allons garder essentiellement, ce qui est important, le quotidien papier."
Rappelons que France Antilles accuse des pertes comprises entre 450.000 et 600.000 euros par mois, pour un chiffre d’affaires annuel de 28 millions d’euros et il faut 9 millions d’euros pour relancer le quotidien, et malgré une aide de l’Etat de 3 millions, et un apport de 2,5 à 3 millions d’euros par des investisseurs, il manque 3 millions d’euros pour boucler ce financement, a fait valoir l’administrateur judiciaire.
Le gouvernement a même annoncé en octobre que la presse d’outre-mer bénéficierait désormais du régime renforcé d’exonération des charges sociales applicables aux entreprises ultramarines.