A partir du dimanche 10 mai, France Ô diffusera des émissions spéciales de #FlashTalk consacrées au COVID-19 (Coronavirus).
Au programme, trois numéros sur la pandémie de Covid-19, tournées en mode confinement :
Pandémie : faut-il oublier la vie d’avant ?
Pandémie : les 18-25 ans, une génération sacrifiée ?
Pandémie : est-ce qu'on doit renoncer à nos vacances ?
Dimanche 10 mai à 19h00 - Pandémie: faut-il oublier la vie d’avant ?
Le Premier Ministre a prévenu : le retour à la "vie d'avant" ne se fera "probablement pas avant longtemps". Mais la vie d’après-confinement sera t-elle si différente de notre quotidien passé ? Entre bonnes résolutions et principe de réalité, où placer le curseur ? Pendant le confinement, la France s’est découverte solidaire et responsable : faire ses courses chez les commerçants en bas de chez soi, consommer moins et plus local, parler (de loin et depuis son balcon) à ses voisins, se concentrer sur l’essentiel, sur le noyau familial quand on vit tous sous le même toit… etc.
Ces bonnes volontés dureront-elles ? Ces enseignements positifs de la crise s’inscriront-ils dans le temps ? Et quid de notre rapport aux autres ? Avec le port du masque qui s’impose peu à peu dans les esprits et la distanciation physique qui s’impose à nous, faudra t’il également faire une croix définitive sur les soirées entre amis et les dimanches en famille ? Nos relations sociales changeront-elles in fine et le pourront-elles seulement réellement, car comment modifier les habitudes d’un peuple latin qui porte le contact dans son ADN ?
Dimanche 17 mai à 19h00 - Pandémie: les 18-25 ans, une génération sacrifiée ?
L’histoire, comme souvent, se répète et montre qu’à chaque fois que l’économie entre en récession, les jeunes sont les premiers touchés par la crise. Il y a d’abord ces diplômes qu’ils vont obtenir “au rabais” dans la tête de tous. Que vaudront sur le marché les bacs, masters et autres doctorats obtenus l'année du Covid-19 ? Il y a ensuite ces petits-boulots sur lesquels certains comptaient pour vivre ou survivre.
Comment trouver un job d’été, financer ses études, payer son loyer ou même trouver un stage désormais. Toutes ces questions se posent encore plus particulièrement quand on est jeune et et qu'on vient des outre-mer ? Et surtout, il y a ce marché de l’emploi qui s’avère plus que jamais impénétrable pour les 18-25 ans. L’impact de la récession va être durable pour tous. Les jeunes qui sortiront sur le marché du travail en 2020 devront probablement subir cette situation pendant encore 5 à 10 ans. Les 18-25 ans sont-ils la “génération récession” ?
Dimanche 24 mai à 19h00 - Pandémie: est-ce qu'on doit renoncer à nos vacances ?
Demain, les déplacements ne seront plus les mêmes. Depuis le confinement, notre rapport à l’espace se modifie. Les frontières sont fermées, nos vacances remises à plus tard. Cet été, doit-on rester en France en privilégiant la proximité et ainsi renoncer à des vacances loin de chez soi ? Un nouvel état d’esprit serait en train d'émerger en ce qu’il encourage les approches régionales.
Le “tourisme vert” pourrait ainsi s’imposer comme la nouvelle norme ? Mais, c’est une profession toute entière qui est bousculée. Tout autant que certains territoires qui vivent grâce au tourisme, comme c’est souvent le cas dans les outre-mer. Si l’hypothèse d’un « tourisme de l’immobilité » se précise, que deviendrait une société où plus personne ne voyagerait ? Une société sans mobilité ?
Au programme, trois numéros sur la pandémie de Covid-19, tournées en mode confinement :
Pandémie : faut-il oublier la vie d’avant ?
Pandémie : les 18-25 ans, une génération sacrifiée ?
Pandémie : est-ce qu'on doit renoncer à nos vacances ?
Dimanche 10 mai à 19h00 - Pandémie: faut-il oublier la vie d’avant ?
Le Premier Ministre a prévenu : le retour à la "vie d'avant" ne se fera "probablement pas avant longtemps". Mais la vie d’après-confinement sera t-elle si différente de notre quotidien passé ? Entre bonnes résolutions et principe de réalité, où placer le curseur ? Pendant le confinement, la France s’est découverte solidaire et responsable : faire ses courses chez les commerçants en bas de chez soi, consommer moins et plus local, parler (de loin et depuis son balcon) à ses voisins, se concentrer sur l’essentiel, sur le noyau familial quand on vit tous sous le même toit… etc.
Ces bonnes volontés dureront-elles ? Ces enseignements positifs de la crise s’inscriront-ils dans le temps ? Et quid de notre rapport aux autres ? Avec le port du masque qui s’impose peu à peu dans les esprits et la distanciation physique qui s’impose à nous, faudra t’il également faire une croix définitive sur les soirées entre amis et les dimanches en famille ? Nos relations sociales changeront-elles in fine et le pourront-elles seulement réellement, car comment modifier les habitudes d’un peuple latin qui porte le contact dans son ADN ?
Dimanche 17 mai à 19h00 - Pandémie: les 18-25 ans, une génération sacrifiée ?
L’histoire, comme souvent, se répète et montre qu’à chaque fois que l’économie entre en récession, les jeunes sont les premiers touchés par la crise. Il y a d’abord ces diplômes qu’ils vont obtenir “au rabais” dans la tête de tous. Que vaudront sur le marché les bacs, masters et autres doctorats obtenus l'année du Covid-19 ? Il y a ensuite ces petits-boulots sur lesquels certains comptaient pour vivre ou survivre.
Comment trouver un job d’été, financer ses études, payer son loyer ou même trouver un stage désormais. Toutes ces questions se posent encore plus particulièrement quand on est jeune et et qu'on vient des outre-mer ? Et surtout, il y a ce marché de l’emploi qui s’avère plus que jamais impénétrable pour les 18-25 ans. L’impact de la récession va être durable pour tous. Les jeunes qui sortiront sur le marché du travail en 2020 devront probablement subir cette situation pendant encore 5 à 10 ans. Les 18-25 ans sont-ils la “génération récession” ?
Dimanche 24 mai à 19h00 - Pandémie: est-ce qu'on doit renoncer à nos vacances ?
Demain, les déplacements ne seront plus les mêmes. Depuis le confinement, notre rapport à l’espace se modifie. Les frontières sont fermées, nos vacances remises à plus tard. Cet été, doit-on rester en France en privilégiant la proximité et ainsi renoncer à des vacances loin de chez soi ? Un nouvel état d’esprit serait en train d'émerger en ce qu’il encourage les approches régionales.
Le “tourisme vert” pourrait ainsi s’imposer comme la nouvelle norme ? Mais, c’est une profession toute entière qui est bousculée. Tout autant que certains territoires qui vivent grâce au tourisme, comme c’est souvent le cas dans les outre-mer. Si l’hypothèse d’un « tourisme de l’immobilité » se précise, que deviendrait une société où plus personne ne voyagerait ? Une société sans mobilité ?
