Le lancement officiel de la téléphonie mobile s'est tenu le 1er Août, sur la commune de Kaw. Une délégation régionale ainsi que de nombreux acteurs de la politique locale était présent pour rendre compte de l'avancée majeure que représente la fin de ces travaux.
Après l'ouverture officielle d'un service de téléphonie mobile à Camopi le 16 juillet dernier, la Région Guyane poursuit sa politique active de réduction de la fracture numérique sur l'ensemble du territoire, en annonçant comme effective la couverture numérique mobile sur la commune de Kaw.
D'ici la fin du mois d'Octobre l'ensemble des 22 sites du programme de la SPLANG, sur l'Oyapock (Ouanary, Tampak, Trois Palétuviers, Trois Sauts), sur le Maroni (d'Apaguy à Pédima) mais aussi dans l'Intérieur des terres (Saul, Saint-Elie et même la station scientifique des Nouragues), devrait être couvert en téléphonie mobile 2G, avec des services proposés aux mêmes tarifs que ceux pratiqués sur le littoral.
Pour rappel, ces aménagements, conduit sous l'autorité régionale par la société Publique Locale pour l'Aménagement Numérique de la Guyane (SPLANG), vise à assurer sur tout le territoire un accès au service téléphonique et internet. Elle vient ainsi suppléer la carence manifeste de l'initiative privée à résorber les zones dites « blanches » sur lesquels aucun service de communication électronique n'est aujourd'hui proposé aux populations.
D'ici la fin du mois d'Octobre l'ensemble des 22 sites du programme de la SPLANG, sur l'Oyapock (Ouanary, Tampak, Trois Palétuviers, Trois Sauts), sur le Maroni (d'Apaguy à Pédima) mais aussi dans l'Intérieur des terres (Saul, Saint-Elie et même la station scientifique des Nouragues), devrait être couvert en téléphonie mobile 2G, avec des services proposés aux mêmes tarifs que ceux pratiqués sur le littoral.
Pour rappel, ces aménagements, conduit sous l'autorité régionale par la société Publique Locale pour l'Aménagement Numérique de la Guyane (SPLANG), vise à assurer sur tout le territoire un accès au service téléphonique et internet. Elle vient ainsi suppléer la carence manifeste de l'initiative privée à résorber les zones dites « blanches » sur lesquels aucun service de communication électronique n'est aujourd'hui proposé aux populations.
© Crédit Photo: Région Guyane