© HBO
L’univers acerbe et raffiné de la satire contemporaine accueille un nouveau venu très attendu : Mountainhead, premier long métrage réalisé par Jesse Armstrong, le créateur britannique sept fois lauréat d’un Emmy® pour Succession. Écrit, réalisé et produit par Armstrong, le film original HBO sera disponible en exclusivité sur la plateforme Max dès le 1er juin.
La production, qui s’achève cette semaine à Park City, dans l’Utah, marque un tournant dans la carrière du scénariste, désormais nommé aux Oscars. Après avoir redéfini le paysage télévisuel avec la série culte Succession, Armstrong s'attaque au grand écran avec une satire mordante sur fond de crise mondiale et de privilèges déconnectés.
Le synopsis est à la fois simple et prometteur : un groupe d’amis milliardaires se retrouve confronté à une crise internationale d’envergure, forçant chacun à dévoiler ses véritables couleurs dans un contexte tendu où l’humour, la loyauté et le pouvoir s’entrechoquent.
Le film met en vedette Steve Carell dans le rôle principal de Randall, aux côtés de Jason Schwartzman (Souper alias Hugo Van Yalk), Cory Michael Smith (Venis) et Ramy Youssef (Jeff). Le casting est complété par Hadley Robinson, Andy Daly, Ali Kinkade, Daniel Oreskes, David Thompson, Ami MacKenzie et Ava Kostia, apportant chacun leur nuance à ce tableau aussi hilarant que glaçant de l’élite face au chaos.
Mountainhead ne marque pas seulement la première réalisation de Jesse Armstrong, mais réunit également une équipe de production prestigieuse, composée de vétérans de Succession : Frank Rich, Lucy Prebble, Jon Brown, Tony Roche, Will Tracy, Mark Mylod, et Jill Footlick. Cette équipe expérimentée promet de prolonger l’esthétique cinglante et sophistiquée qui a fait le succès de leurs précédents travaux.
À moins de deux mois de sa sortie, Mountainhead suscite déjà une vive curiosité dans les milieux du cinéma et de la télévision. L’attente est d’autant plus forte que le film représente une première pour Armstrong en tant que réalisateur, après des années passées à dominer l’écriture scénaristique pour le petit écran.
Si l’on en croit la puissance du pedigree créatif et la finesse attendue du scénario, Mountainhead pourrait bien s’imposer comme l’un des événements audiovisuels majeurs de 2025 — une satire aussi brillante que brutale, dans la droite lignée de Succession, mais cette fois dans un format cinématographique ambitieux.
La production, qui s’achève cette semaine à Park City, dans l’Utah, marque un tournant dans la carrière du scénariste, désormais nommé aux Oscars. Après avoir redéfini le paysage télévisuel avec la série culte Succession, Armstrong s'attaque au grand écran avec une satire mordante sur fond de crise mondiale et de privilèges déconnectés.
Le synopsis est à la fois simple et prometteur : un groupe d’amis milliardaires se retrouve confronté à une crise internationale d’envergure, forçant chacun à dévoiler ses véritables couleurs dans un contexte tendu où l’humour, la loyauté et le pouvoir s’entrechoquent.
Le film met en vedette Steve Carell dans le rôle principal de Randall, aux côtés de Jason Schwartzman (Souper alias Hugo Van Yalk), Cory Michael Smith (Venis) et Ramy Youssef (Jeff). Le casting est complété par Hadley Robinson, Andy Daly, Ali Kinkade, Daniel Oreskes, David Thompson, Ami MacKenzie et Ava Kostia, apportant chacun leur nuance à ce tableau aussi hilarant que glaçant de l’élite face au chaos.
Mountainhead ne marque pas seulement la première réalisation de Jesse Armstrong, mais réunit également une équipe de production prestigieuse, composée de vétérans de Succession : Frank Rich, Lucy Prebble, Jon Brown, Tony Roche, Will Tracy, Mark Mylod, et Jill Footlick. Cette équipe expérimentée promet de prolonger l’esthétique cinglante et sophistiquée qui a fait le succès de leurs précédents travaux.
À moins de deux mois de sa sortie, Mountainhead suscite déjà une vive curiosité dans les milieux du cinéma et de la télévision. L’attente est d’autant plus forte que le film représente une première pour Armstrong en tant que réalisateur, après des années passées à dominer l’écriture scénaristique pour le petit écran.
Si l’on en croit la puissance du pedigree créatif et la finesse attendue du scénario, Mountainhead pourrait bien s’imposer comme l’un des événements audiovisuels majeurs de 2025 — une satire aussi brillante que brutale, dans la droite lignée de Succession, mais cette fois dans un format cinématographique ambitieux.
