La Délégation sénatoriale aux outre-mer se félicite de la prise de conscience des enjeux ultramarins au sein de l’audiovisuel public dans le « pacte pour la visibilité des outre-mer » signé aujourd’hui par les ministres de la culture et des outre-mer et la présidente de France Télévisions. Ce document s’appuie largement sur les préconisations du rapport de la délégation sur la place des outre-mer dans l’audiovisuel public.
Conçu par le groupe de télévision publique, ce document est une réponse aux demandes du Gouvernement et aux travaux conduits notamment au Sénat par la délégation aux outre-mer après l’annonce brutale de la suppression de France Ô. Une démarche que tient à souligner Michel Magras, président de la délégation (Les Républicains – Saint-Barthélemy) : « Je me réjouis que les travaux de la Délégation sénatoriale aux outre-mer aient pu contribuer à faire prendre conscience au groupe France Télévisions de la responsabilité pour le service public de représenter effectivement l’ensemble des territoires de la République ».
Cet ensemble de 25 engagements entend garantir une meilleure visibilité des outre-mer sur toutes les chaînes de France Télévisions. Cette présence était auparavant quasi exclusivement assurée par France Ô. « L’annonce de l’arrêt France Ô a été un choc. Nous avions considéré dans notre rapport que cette décision était une erreur, que la fin de cette chaîne pouvait avoir des conséquences systémiques ; le Gouvernement n’a pas voulu l’entendre. Nous nous sommes cependant toujours positionnés dans une démarche constructive et nous entendons la poursuivre : ce pacte est une étape importante qu’il faut saluer. », explique Jocelyne Guidez (Union centriste – Essonne), co-rapporteure des travaux de la délégation sur ce sujet.
La Délégation sénatoriale aux outre-mer a, durant ses travaux, entendu à plusieurs reprises les dirigeants de France Télévisions, qu’elle a vivement interpellés, dénonçant la trop faible présence des outre-mer sur les chaînes publiques et le non-respect du cahier des charges du groupe. « Je constate que nous avons été entendus sur plusieurs points. Je note que des engagements sont pris dans l’organisation du groupe mais aussi et surtout dans les programmes, la production et le traitement de l’information, comme nous le demandions. C’est dans la durée qu’il faudra juger de la concrétisation des mesures annoncées par France Télévisions. Nous serons vigilants. », indique le co-rapporteur Maurice Antiste (Socialiste et républicain – Martinique). Les rapporteurs de la délégation veilleront à assurer un suivi exigeant des engagements ainsi pris par le groupe.
La Délégation sénatoriale aux outre-mer appelle à poursuivre la mobilisation en faveur d’une plus juste présence des outre-mer dans l’audiovisuel et espère que cette première étape permettra d’engager une réelle dynamique au sein du groupe et plus largement de l’ensemble du secteur. Un an après l’annonce de la fin de la diffusion de France Ô, les mesures législatives et réglementaires envisagées par le Gouvernement concernant la présence des outre-mer dans l’audiovisuel sont toujours attendues.
Conçu par le groupe de télévision publique, ce document est une réponse aux demandes du Gouvernement et aux travaux conduits notamment au Sénat par la délégation aux outre-mer après l’annonce brutale de la suppression de France Ô. Une démarche que tient à souligner Michel Magras, président de la délégation (Les Républicains – Saint-Barthélemy) : « Je me réjouis que les travaux de la Délégation sénatoriale aux outre-mer aient pu contribuer à faire prendre conscience au groupe France Télévisions de la responsabilité pour le service public de représenter effectivement l’ensemble des territoires de la République ».
Cet ensemble de 25 engagements entend garantir une meilleure visibilité des outre-mer sur toutes les chaînes de France Télévisions. Cette présence était auparavant quasi exclusivement assurée par France Ô. « L’annonce de l’arrêt France Ô a été un choc. Nous avions considéré dans notre rapport que cette décision était une erreur, que la fin de cette chaîne pouvait avoir des conséquences systémiques ; le Gouvernement n’a pas voulu l’entendre. Nous nous sommes cependant toujours positionnés dans une démarche constructive et nous entendons la poursuivre : ce pacte est une étape importante qu’il faut saluer. », explique Jocelyne Guidez (Union centriste – Essonne), co-rapporteure des travaux de la délégation sur ce sujet.
La Délégation sénatoriale aux outre-mer a, durant ses travaux, entendu à plusieurs reprises les dirigeants de France Télévisions, qu’elle a vivement interpellés, dénonçant la trop faible présence des outre-mer sur les chaînes publiques et le non-respect du cahier des charges du groupe. « Je constate que nous avons été entendus sur plusieurs points. Je note que des engagements sont pris dans l’organisation du groupe mais aussi et surtout dans les programmes, la production et le traitement de l’information, comme nous le demandions. C’est dans la durée qu’il faudra juger de la concrétisation des mesures annoncées par France Télévisions. Nous serons vigilants. », indique le co-rapporteur Maurice Antiste (Socialiste et républicain – Martinique). Les rapporteurs de la délégation veilleront à assurer un suivi exigeant des engagements ainsi pris par le groupe.
La Délégation sénatoriale aux outre-mer appelle à poursuivre la mobilisation en faveur d’une plus juste présence des outre-mer dans l’audiovisuel et espère que cette première étape permettra d’engager une réelle dynamique au sein du groupe et plus largement de l’ensemble du secteur. Un an après l’annonce de la fin de la diffusion de France Ô, les mesures législatives et réglementaires envisagées par le Gouvernement concernant la présence des outre-mer dans l’audiovisuel sont toujours attendues.