Des représentants du parti politique "Croire et Oser" se sont invités hier soir sur le plateau du JT de Réunion 1ère qui était présenté ce soir là par Valérie Filain. Ils ont envahi le plateau de télévision et déployé une banderole et en essayant de prendre la parole. Chose qu'ils n'ont pu faire avant que la chaîne lance un sujet enregistré.
Ils protestent contre la décision de la chaîne de n'inviter dans les débats qu'elle organise tous les jeudis soirs que les représentants des partis politiques nationaux représentés localement, comme le recommande le CSA.
Les représentants regrettent qu'on prive les jeunes d'espace d'expression: "Au moment des municipales, on avait refusé notre participation au motif que nous n'avions pas fait la preuve de notre représentativité. Nous nous sommes présentés à St-Denis, la plus grande ville de l'outremer, et nous avons réalisé 4%. Cette fois, on nous dit que nous ne dépendons d'aucun parti national. Au final, c'est la démocratie qui est bâillonnée".
Et rajoute: "Au moment des événements du Chaudron, nous avons joué les facilitateurs et c'est nous qui avons guidé les journalistes de Réunion 1ère sur le terrain. Mais si nous refusons la violence pour nous faire entendre et qu'en même temps on nous empêche de nous exprimer, comment allons-nous réussir à nous faire entendre?" .
Pour le moment, Réunion 1ère n'a pas souhaité commenté cet incident mais il est probable qu'ils prendront argument des consignes données par le CSA.
Ils protestent contre la décision de la chaîne de n'inviter dans les débats qu'elle organise tous les jeudis soirs que les représentants des partis politiques nationaux représentés localement, comme le recommande le CSA.
Les représentants regrettent qu'on prive les jeunes d'espace d'expression: "Au moment des municipales, on avait refusé notre participation au motif que nous n'avions pas fait la preuve de notre représentativité. Nous nous sommes présentés à St-Denis, la plus grande ville de l'outremer, et nous avons réalisé 4%. Cette fois, on nous dit que nous ne dépendons d'aucun parti national. Au final, c'est la démocratie qui est bâillonnée".
Et rajoute: "Au moment des événements du Chaudron, nous avons joué les facilitateurs et c'est nous qui avons guidé les journalistes de Réunion 1ère sur le terrain. Mais si nous refusons la violence pour nous faire entendre et qu'en même temps on nous empêche de nous exprimer, comment allons-nous réussir à nous faire entendre?" .
Pour le moment, Réunion 1ère n'a pas souhaité commenté cet incident mais il est probable qu'ils prendront argument des consignes données par le CSA.