La technologie est ancrée dans notre quotidien et des dérives y apparaissent en permanence. Cette année marquée par la pandémie a aussi montrée la montée en puissance du cyberharcèlement. Dans ce monde ultra connectée, des dérives comme le Stalking apparaissent.
Bien que le profil et les techniques de l'harceleur soit de plus en plus connus de tous, il faut savoir rechercher et parer face aux impacts néfastes que cela puisse avoir sur le long terme.
Le Stalking est une nouvelle forme de harcèlement qui mêlent espionnage, contrôle qui peuvent avoir des conséquences graves pour les victimes.
Le Stalker peut traquer, pister, épier ou espionner une autre personne sur internet via des stalkerwares, des logiciels malveillants qui sont faciles à trouver, à télécharger et à utiliser et qui peuvent être utilisé pour intercepter les conversations sur des applications telles que WhatsApp, Messenger et les appels téléphoniques ou encore intercepter les emails.
Mais aussi vous espionner sur des plateformes comme Snapchat, l'application par excellence des jeunes. L'espion Snapchat, par exemple, peut localiser un individu, accéder à ses photos et vidéos, messages, le tout à son insu.
Présenté sous forme d’applications qui sont généralement installées discrètement sur les téléphones portables par les proches de la victime eux-mêmes, de faux amis, un conjoint jaloux ou un ex-partenaire frustré, pour la priver de sa liberté tant physique que virtuelle.
A ce jour, ce fléau reste toujours difficilement détectable. Il peut gravement et durablement impacter la vie de la victime s’il n’est pas enrayé rapidement.
Cependant, la suppression de stalkerware peut se montrer très difficile à envisager. En effet dans la plupart des cas, la personne qui a installé cet application malveillant peut être alerté de cette suppression et des répercussions sur la victime ont été constatées alliant des violences psychologiques voir physiques.
Mais pour éviter les stalkerwares, il est recommandé de détenir un bon code PIN ou un bon mot de passe cela empêchera l'installation de ce type d'application sur son téléphone. Mais il est aussi recommandé d'installer un antivirus qui alertera l'utilisateur de la présence d'application malveillant sur son téléphone et qui pourrait aider à sa désinstallation.
Il faut savoir qu'entre mars et juin 2020, le Threat Labs d'avast a observé une augmentation de plus de 50% de logiciels espions et stalkerwares par rapport au début de l'année 2020. Un phénomène qui peut s'expliquer un peu via le confinement, depuis la première vague de la pandémie, le nombre d'attaques au niveau mondiales n'a fait qu'augmenter. En 2020, Avast a bloqué des dizaines de milliers d’attaques de spywares et stalkerwares, protégeant ainsi plus de 72000 personnes dans le monde.
Bien que le profil et les techniques de l'harceleur soit de plus en plus connus de tous, il faut savoir rechercher et parer face aux impacts néfastes que cela puisse avoir sur le long terme.
Le Stalking est une nouvelle forme de harcèlement qui mêlent espionnage, contrôle qui peuvent avoir des conséquences graves pour les victimes.
Le Stalker peut traquer, pister, épier ou espionner une autre personne sur internet via des stalkerwares, des logiciels malveillants qui sont faciles à trouver, à télécharger et à utiliser et qui peuvent être utilisé pour intercepter les conversations sur des applications telles que WhatsApp, Messenger et les appels téléphoniques ou encore intercepter les emails.
Mais aussi vous espionner sur des plateformes comme Snapchat, l'application par excellence des jeunes. L'espion Snapchat, par exemple, peut localiser un individu, accéder à ses photos et vidéos, messages, le tout à son insu.
Présenté sous forme d’applications qui sont généralement installées discrètement sur les téléphones portables par les proches de la victime eux-mêmes, de faux amis, un conjoint jaloux ou un ex-partenaire frustré, pour la priver de sa liberté tant physique que virtuelle.
A ce jour, ce fléau reste toujours difficilement détectable. Il peut gravement et durablement impacter la vie de la victime s’il n’est pas enrayé rapidement.
Cependant, la suppression de stalkerware peut se montrer très difficile à envisager. En effet dans la plupart des cas, la personne qui a installé cet application malveillant peut être alerté de cette suppression et des répercussions sur la victime ont été constatées alliant des violences psychologiques voir physiques.
Mais pour éviter les stalkerwares, il est recommandé de détenir un bon code PIN ou un bon mot de passe cela empêchera l'installation de ce type d'application sur son téléphone. Mais il est aussi recommandé d'installer un antivirus qui alertera l'utilisateur de la présence d'application malveillant sur son téléphone et qui pourrait aider à sa désinstallation.
Il faut savoir qu'entre mars et juin 2020, le Threat Labs d'avast a observé une augmentation de plus de 50% de logiciels espions et stalkerwares par rapport au début de l'année 2020. Un phénomène qui peut s'expliquer un peu via le confinement, depuis la première vague de la pandémie, le nombre d'attaques au niveau mondiales n'a fait qu'augmenter. En 2020, Avast a bloqué des dizaines de milliers d’attaques de spywares et stalkerwares, protégeant ainsi plus de 72000 personnes dans le monde.
Usurpation d'identité, accès aux objets connectés domestiques ou encore accès aux réseaux sociaux tels sont les outils que peuvent accéder les stalkers pour tourmenter la victime.
Dans le cas de l'usurpation d'identité, il peut voler votre identité en créant des profils en ligne malveillant sur des sites de rencontre par exemple. Il est nécessaire de bloquer les messages entrants et les appels avec des numéros masqués afin de ne pas recevoir des contenus inappropriés.
Dans le deuxième cas c'est à dire les objets connectés qui sont la cible privilégiée des harceleurs pour espionner leur victime notamment avec l'arrivée de Google Home ou encore Alexa directement connecté au Wi-fi. Malheureusement si un appareil domestique intelligent ou le routeur est vulnérable, c’est-à-dire un mot de passe faible ou un logiciel non sécurisé, un harceleur exploitera la faille et accédera facilement aux caméras et haut-parleurs connectés, pour espionner ou parler directement à sa victime.
Il est alors nécessaire de s’assurer que le routeur Wi-Fi est sécurisé, utiliser un mot de passe complexe et régulièrement mis à jour avec un logiciel récent. Ces mêmes précautions doivent s’appliquer avec tous les appareils domestiques intelligents car tous ces appareils sont dotés de caméras intégrées et/ou disposent de capacités d'enregistrement vocal. Pour une protection supplémentaire des appareils domestiques intelligents, il est également envisageable d'ajouter une authentification à deux facteurs (2FA).
Et enfin, les réseaux sociaux tels que Facebook, Instagram, Twitter ou encore LinkedIn peuvent également révéler beaucoup d’éléments personnels insoupçonnables comme les lieux actuels ou fréquentés récemment, mais aussi des détails personnels comme l’adresse e-mail ou le numéro de téléphone. Ce qui pourrait aider l'harceleur à vous traquer davantage en ligne voir en personne.
Pour éviter cela, il est recommandé de toujours modifier ses paramètres en privé afin le profil ne soit qu'accessible qu'aux amis. Il est également nécessaire de limiter la divulgation d’informations personnelles et de s’assurer de ne pas partager de photos personnelles publiquement ; elles pourraient en effet donner à votre harceleur la possibilité de les utiliser pour créer de faux profils à votre nom, notamment sur des applications de rencontres.
En conclusion, il est préférable de suivre ces recommandations pour prévenir le cyberharcèlement ou de venir en aide aux victimes. Bien que les confinements ont pu jouer un rôle et entraîner une hausse de ces actes malveillants, ils ont permis de prendre conscience de ce fléau qui doit être éradiquer au plus vite.
Dans le cas de l'usurpation d'identité, il peut voler votre identité en créant des profils en ligne malveillant sur des sites de rencontre par exemple. Il est nécessaire de bloquer les messages entrants et les appels avec des numéros masqués afin de ne pas recevoir des contenus inappropriés.
Dans le deuxième cas c'est à dire les objets connectés qui sont la cible privilégiée des harceleurs pour espionner leur victime notamment avec l'arrivée de Google Home ou encore Alexa directement connecté au Wi-fi. Malheureusement si un appareil domestique intelligent ou le routeur est vulnérable, c’est-à-dire un mot de passe faible ou un logiciel non sécurisé, un harceleur exploitera la faille et accédera facilement aux caméras et haut-parleurs connectés, pour espionner ou parler directement à sa victime.
Il est alors nécessaire de s’assurer que le routeur Wi-Fi est sécurisé, utiliser un mot de passe complexe et régulièrement mis à jour avec un logiciel récent. Ces mêmes précautions doivent s’appliquer avec tous les appareils domestiques intelligents car tous ces appareils sont dotés de caméras intégrées et/ou disposent de capacités d'enregistrement vocal. Pour une protection supplémentaire des appareils domestiques intelligents, il est également envisageable d'ajouter une authentification à deux facteurs (2FA).
Et enfin, les réseaux sociaux tels que Facebook, Instagram, Twitter ou encore LinkedIn peuvent également révéler beaucoup d’éléments personnels insoupçonnables comme les lieux actuels ou fréquentés récemment, mais aussi des détails personnels comme l’adresse e-mail ou le numéro de téléphone. Ce qui pourrait aider l'harceleur à vous traquer davantage en ligne voir en personne.
Pour éviter cela, il est recommandé de toujours modifier ses paramètres en privé afin le profil ne soit qu'accessible qu'aux amis. Il est également nécessaire de limiter la divulgation d’informations personnelles et de s’assurer de ne pas partager de photos personnelles publiquement ; elles pourraient en effet donner à votre harceleur la possibilité de les utiliser pour créer de faux profils à votre nom, notamment sur des applications de rencontres.
En conclusion, il est préférable de suivre ces recommandations pour prévenir le cyberharcèlement ou de venir en aide aux victimes. Bien que les confinements ont pu jouer un rôle et entraîner une hausse de ces actes malveillants, ils ont permis de prendre conscience de ce fléau qui doit être éradiquer au plus vite.