Alors que le ministre de la Culture était auditionné hier après-midi par la délégation Outremer de l'Assemblée nationale et à la veille d'une réunion du groupe de travail sur la visibilité de l'outre-mer dans l'audiovisuel public (au ministère de la Culture) , les salariés de France Ô expriment leur colère et dénoncent l'attitude du gouvernement dans la gestion du dossier France Ô.
Les salariés de France Ô sont en colère.
La décision brutale et injuste de fermer France Ô s’est faite lâchement sans concertation et par simple communiqué de presse au milieu de l’été.
Pire contrairement à ce qui vient d’être fait pour les autres chaînes de France Television il n y a pas eu de concertation sur internet pour interroger les téléspectateurs de ce qu’ils voulaient voir sur France Ô.
Mi-octobre les salariés ont demandé au Ministre de la Culture d’être associés aux travaux qu’il mène sur l’avenir de la chaîne .
A ce jour, ils ont reçu aucune comme réponse en dépit d’une relance la semaine dernière.
Le gouvernement traite France Ô et à travers lui les Outre mer et les ultramarins avec mépris et brutalité comme aux pires heures du passé. Cela ne peut plus durer et ils vous appellent à entrer avec eux en résistance pour empêcher la destruction de l’unique service public dédié aux outre-mer dans l’Hexagone qui est le bien de chacun d’entre nous.
Les salariés de France Ô sont en colère.
La décision brutale et injuste de fermer France Ô s’est faite lâchement sans concertation et par simple communiqué de presse au milieu de l’été.
Pire contrairement à ce qui vient d’être fait pour les autres chaînes de France Television il n y a pas eu de concertation sur internet pour interroger les téléspectateurs de ce qu’ils voulaient voir sur France Ô.
Mi-octobre les salariés ont demandé au Ministre de la Culture d’être associés aux travaux qu’il mène sur l’avenir de la chaîne .
A ce jour, ils ont reçu aucune comme réponse en dépit d’une relance la semaine dernière.
Le gouvernement traite France Ô et à travers lui les Outre mer et les ultramarins avec mépris et brutalité comme aux pires heures du passé. Cela ne peut plus durer et ils vous appellent à entrer avec eux en résistance pour empêcher la destruction de l’unique service public dédié aux outre-mer dans l’Hexagone qui est le bien de chacun d’entre nous.