© DENIS LAURENT/FTV
Soirée Spéciale "Autisme, le combat des familles" (Mardi 26 Avril 20h00)
1ère propose une soirée spéciale sur le thème de l’autisme avec au programme la diffusion d’une fiction Presque comme les autres qui retrace la parcours du combattant d’un couple uni pour aider leur fils autiste, suivi d’un débat présenté par Julian Bugier.
Presque comme les autres (Téléfilm)
Séverine et Christophe forment un couple heureux et uni. Il a vingt-sept ans de plus qu’elle, ils sont tous les deux comédiens, aisés, entourés. Christophe travaille beaucoup, Séverine moins. Presque plus, même, tant elle est accaparée par leur fils, Tom. Il faut dire que Tom est « difficile ».
À 3 ans, il ne parle toujours pas, marche à peine, pleure énormément, ne socialise pas avec les autres enfants. Dans les meilleurs moments, il semble absent, inexpressif, manque d’attention, ne répond pas quand on l’appelle.
Dans les pires, il hurle des nuits entières, se frappe la tête avec ses jouets ou même frappe les autres enfants à la crèche. Christophe et les parents de Séverine tentent de calmer les inquiétudes de la jeune femme ; pédiatres et médecins bottent en touche : la parole ? la marche ?
Débat "Autisme, le combat des familles"
Encore méconnu, trop souvent assimilé à une maladie, l’autisme est un trouble neuro-développemental, un handicap dont on ne guérit pas, mais avec lequel on peut vivre un peu mieux si l’on en tient compte dans son quotidien. On estime aujourd’hui à 660 000 le nombre de personnes autistes en France, dont environ 153 000 enfants et adolescents de moins de 20 ans. Dans notre pays, 1 enfant sur 100 naît atteint de troubles autistiques, soit 8 000 enfants chaque année.
Dans le cadre de la Soirée continue, Julian Bugier propose un débat avec Ségolène Neuville, secrétaire d’État chargée des personnes handicapées et de la lutte contre l’exclusion, des parents d’enfants autistes, des jeunes autistes, des professionnels et des spécialistes de l’autisme, Bernard Campan, acteur de la fiction Presque comme les autres, et des familles qui témoignent de leur combat quotidien mené aux côtés de leurs enfants.
La France a été condamnée cinq fois depuis 2004 par le Conseil de l’Europe pour discrimination à l’égard des enfants autistes, défaut d’éducation, de scolarisation et de formation professionnelle. Quatre ans après que ce trouble a été déclaré « grande cause nationale », un 3e Plan Autisme a été mis en œuvre en 2013 par le ministère de la Santé…
1ère propose une soirée spéciale sur le thème de l’autisme avec au programme la diffusion d’une fiction Presque comme les autres qui retrace la parcours du combattant d’un couple uni pour aider leur fils autiste, suivi d’un débat présenté par Julian Bugier.
Presque comme les autres (Téléfilm)
Séverine et Christophe forment un couple heureux et uni. Il a vingt-sept ans de plus qu’elle, ils sont tous les deux comédiens, aisés, entourés. Christophe travaille beaucoup, Séverine moins. Presque plus, même, tant elle est accaparée par leur fils, Tom. Il faut dire que Tom est « difficile ».
À 3 ans, il ne parle toujours pas, marche à peine, pleure énormément, ne socialise pas avec les autres enfants. Dans les meilleurs moments, il semble absent, inexpressif, manque d’attention, ne répond pas quand on l’appelle.
Dans les pires, il hurle des nuits entières, se frappe la tête avec ses jouets ou même frappe les autres enfants à la crèche. Christophe et les parents de Séverine tentent de calmer les inquiétudes de la jeune femme ; pédiatres et médecins bottent en touche : la parole ? la marche ?
Débat "Autisme, le combat des familles"
Encore méconnu, trop souvent assimilé à une maladie, l’autisme est un trouble neuro-développemental, un handicap dont on ne guérit pas, mais avec lequel on peut vivre un peu mieux si l’on en tient compte dans son quotidien. On estime aujourd’hui à 660 000 le nombre de personnes autistes en France, dont environ 153 000 enfants et adolescents de moins de 20 ans. Dans notre pays, 1 enfant sur 100 naît atteint de troubles autistiques, soit 8 000 enfants chaque année.
Dans le cadre de la Soirée continue, Julian Bugier propose un débat avec Ségolène Neuville, secrétaire d’État chargée des personnes handicapées et de la lutte contre l’exclusion, des parents d’enfants autistes, des jeunes autistes, des professionnels et des spécialistes de l’autisme, Bernard Campan, acteur de la fiction Presque comme les autres, et des familles qui témoignent de leur combat quotidien mené aux côtés de leurs enfants.
La France a été condamnée cinq fois depuis 2004 par le Conseil de l’Europe pour discrimination à l’égard des enfants autistes, défaut d’éducation, de scolarisation et de formation professionnelle. Quatre ans après que ce trouble a été déclaré « grande cause nationale », un 3e Plan Autisme a été mis en œuvre en 2013 par le ministère de la Santé…
© BCI Communication
Balade de nuit "Indestwas ka au New Morning" (Vendredi 29 Avril 20h00)
Indestwas Ka, un des grands noms du « Gwo Ka » Guadeloupéen, s’est produit sur la scène du New Morning lors du « Gwoka Jazz Festival », le 25 septembre 2015.
Le nom de ce groupe Indestwas Ka est un terme spécifique du «Gwo Ka », et désigne un concept, un style, une manière de jouer (chan, boula, makè, dansè : ces quatre éléments étant indissociables).
Le style Indestwas Ka englobe les 7 rythmes. Une phrase de tambour qui revient comme un leitmotiv, conclut une série de phrases ou de pas, et annonce une nouvelle série. La tradition veut que soit marquée entre chaque série de phrases ou de pas, une reprise (3 pour le graj, 1 pour le léwoz).
Le groupe a choisi cette manière de jouer pour que la tradition se perpétue, et parce que c’est le style qu’il maitrise le mieux. Il en existe d’autres tout autant valables et harmonieux. Il ne saurait être question de réduire le « Gwo Ka » à un seul style.
La diversité, la multiplicité de styles bien pratiqués ne peut être qu’enrichissante pour le « gwo ka » en particulier, et la musique guadeloupéenne d’une façon plus générale.
Indestwas Ka, un des grands noms du « Gwo Ka » Guadeloupéen, s’est produit sur la scène du New Morning lors du « Gwoka Jazz Festival », le 25 septembre 2015.
Le nom de ce groupe Indestwas Ka est un terme spécifique du «Gwo Ka », et désigne un concept, un style, une manière de jouer (chan, boula, makè, dansè : ces quatre éléments étant indissociables).
Le style Indestwas Ka englobe les 7 rythmes. Une phrase de tambour qui revient comme un leitmotiv, conclut une série de phrases ou de pas, et annonce une nouvelle série. La tradition veut que soit marquée entre chaque série de phrases ou de pas, une reprise (3 pour le graj, 1 pour le léwoz).
Le groupe a choisi cette manière de jouer pour que la tradition se perpétue, et parce que c’est le style qu’il maitrise le mieux. Il en existe d’autres tout autant valables et harmonieux. Il ne saurait être question de réduire le « Gwo Ka » à un seul style.
La diversité, la multiplicité de styles bien pratiqués ne peut être qu’enrichissante pour le « gwo ka » en particulier, et la musique guadeloupéenne d’une façon plus générale.
Archipels "Le dragon de Guyane" (Mardi 26 Avril 22h25)
Le Dragon de Guyane raconte l'implantation d'une communauté Hmong des hauts-plateaux du Laos, au coeur de la jungle amazonienne à la fin des années 70, impulsée par l'Etat français.
« L’État nous a distribué des terres pour cultiver selon nos besoins. Une fois nos maisons terminées et nos champs cultivés, on allait chasser pour se nourrir », se souvient Nda Ly Ya. Ce coutelier forgeron continue à fabriquer les couteaux traditionnels. Car, près de quarante ans après leur arrivée, les Hmong vivent en communauté en essayant de conserver leurs coutumes et de les transmettre à la jeune génération.
Venus avec des graines du Laos et de Thaïlande, ils ont réussi à en faire fructifier certaines et sont aujourd’hui les principaux producteurs maraîchers de Guyane. « Dans les années 1980, sur le marché de Cayenne, il y avait très peu de fruits et de légumes, juste quelques bananes. Nous sommes venus avec nos fruits et légumes et, avec le temps, le marché s’est agrandi. Nous en sommes fiers », se réjouit Nda Ly Ya.
Le pitaya, étrange fruit coloré d’un cactus, est aujourd’hui devenu incontournable pour les Guyanais. « Grâce au climat, nous en avons toute l’année, nous en aurons toujours à exporter, souligne Albert Siong, président de la chambre d’agriculture. La Guyane a tellement d’atouts. À nous de saisir cette chance. »
Le Dragon de Guyane raconte l'implantation d'une communauté Hmong des hauts-plateaux du Laos, au coeur de la jungle amazonienne à la fin des années 70, impulsée par l'Etat français.
« L’État nous a distribué des terres pour cultiver selon nos besoins. Une fois nos maisons terminées et nos champs cultivés, on allait chasser pour se nourrir », se souvient Nda Ly Ya. Ce coutelier forgeron continue à fabriquer les couteaux traditionnels. Car, près de quarante ans après leur arrivée, les Hmong vivent en communauté en essayant de conserver leurs coutumes et de les transmettre à la jeune génération.
Venus avec des graines du Laos et de Thaïlande, ils ont réussi à en faire fructifier certaines et sont aujourd’hui les principaux producteurs maraîchers de Guyane. « Dans les années 1980, sur le marché de Cayenne, il y avait très peu de fruits et de légumes, juste quelques bananes. Nous sommes venus avec nos fruits et légumes et, avec le temps, le marché s’est agrandi. Nous en sommes fiers », se réjouit Nda Ly Ya.
Le pitaya, étrange fruit coloré d’un cactus, est aujourd’hui devenu incontournable pour les Guyanais. « Grâce au climat, nous en avons toute l’année, nous en aurons toujours à exporter, souligne Albert Siong, président de la chambre d’agriculture. La Guyane a tellement d’atouts. À nous de saisir cette chance. »
Cinéma: Zero Complexe (Jeudi 28 Avril 21h35)
Dans un monde où la minceur est reine, Jazmin Biltmore a du mal à se sentir bien dans son corps et dans la vie. Avec des formes aussi généreuses que ses sentiments, cette jeune styliste se bat au quotidien contre les discriminations.
Avec humour, elle et son amie Stacey essaient d’imposer leur style dans un univers conçu et dessiné pour les « poupées Barbie ». Lorsque Jazmin rencontre Tunde, elle se croit dans un rêve. Contre toute attente, cet homme n’a rien de prévisible : il est fou de ses rondeurs, allant jusqu’à lui donner une note de 20 sur 20 pour sa beauté ! Débute alors pour ces deux tourtereaux une grande aventure vers le bonheur.
Dans un monde où la minceur est reine, Jazmin Biltmore a du mal à se sentir bien dans son corps et dans la vie. Avec des formes aussi généreuses que ses sentiments, cette jeune styliste se bat au quotidien contre les discriminations.
Avec humour, elle et son amie Stacey essaient d’imposer leur style dans un univers conçu et dessiné pour les « poupées Barbie ». Lorsque Jazmin rencontre Tunde, elle se croit dans un rêve. Contre toute attente, cet homme n’a rien de prévisible : il est fou de ses rondeurs, allant jusqu’à lui donner une note de 20 sur 20 pour sa beauté ! Débute alors pour ces deux tourtereaux une grande aventure vers le bonheur.
Cinéma: Le collectionneur (Dimanche 24 Avril 20h00)
Morgan Freeman incarne Alex Cross, un inspecteur de police de Washington. Quand celui-ci apprend que sa nièce, Naomi, étudiante à Durham, en Caroline du Nord, a été enlevée, il se rend immédiatement sur les lieux pour collaborer à l’enquête.
Il découvre alors que Naomi vient s’ajouter à une liste de huit jeunes filles, dont une a été retrouvée sauvagement assassinée. Éclairé par les informations que lui fournit un vieil ami du FBI et épaulé par Kate McTiernan, l’avant-dernière victime du collectionneur qui s’est enfuie, Cross va braver la police locale, pour retrouver la cachette du serial killer, qui se fait appeler Casanova.
Morgan Freeman incarne Alex Cross, un inspecteur de police de Washington. Quand celui-ci apprend que sa nièce, Naomi, étudiante à Durham, en Caroline du Nord, a été enlevée, il se rend immédiatement sur les lieux pour collaborer à l’enquête.
Il découvre alors que Naomi vient s’ajouter à une liste de huit jeunes filles, dont une a été retrouvée sauvagement assassinée. Éclairé par les informations que lui fournit un vieil ami du FBI et épaulé par Kate McTiernan, l’avant-dernière victime du collectionneur qui s’est enfuie, Cross va braver la police locale, pour retrouver la cachette du serial killer, qui se fait appeler Casanova.
Cinéma: L'incroyable Hulk (Lundi 25 Avril 22h10)
Dans cette adaptation, le célèbre héros indomptable tient la dragée haute à une autre créature incontrôlable, bien décidée à lui voler son statut de géant surpuissant. L’histoire débute alors que le scientifique Bruce Banner, qui vit reclus, recherche désespérément un antidote aux radiations qui font surgir sa seconde nature. Afin de trouver ce fameux remède, le chercheur, secrètement amoureux de la belle Betty Ross (Liv Tyler), parcourt le monde… en désespoir de cause.
Dans cette adaptation, le célèbre héros indomptable tient la dragée haute à une autre créature incontrôlable, bien décidée à lui voler son statut de géant surpuissant. L’histoire débute alors que le scientifique Bruce Banner, qui vit reclus, recherche désespérément un antidote aux radiations qui font surgir sa seconde nature. Afin de trouver ce fameux remède, le chercheur, secrètement amoureux de la belle Betty Ross (Liv Tyler), parcourt le monde… en désespoir de cause.
De retour chez lui à New York, un rival inattendu contraint Bruce à reconsidérer ses projets. Sombrant dans la folie, Blonsky (Tim Roth), un militaire qui a ingéré un sérum expérimental, s’est transformé en une bête dévastatrice, mettant en péril la sûreté de la ville. Pour sauver de nombreux innocents, Banner n’a donc qu’une seule et unique solution : laisser libre court au redoutable destructeur enfoui au plus profond de lui.
Un défi aux conséquences apocalyptiques semble donc sur le point d’opposer les deux créatures. Pour le relever, Hulk devra mettre sa vie, et a fortiori celle de Bruce Banner, en péril.
