Le lundi 11 novembre dès 23h35, France 3 et les plateformes numériques de France Télévisions diffuseront un documentaire de Benjamin Morel et Christophe Bouquet qui nous proposeront une plongée au coeur de l'épopée mondiale du surf.
Pratiqué par les Polynésiens depuis des milliers d’années, le surf est bien plus qu’un sport. Il fait partie de la culture du peuple des océans, engloutie à la fin du XIXe siècle par le colonialisme occidental. Et pourtant, en moins de cent vingt ans, cette pratique sportive est devenue discipline olympique, ressuscitée grâce à quelques marginaux devenus aujourd'hui de véritables légendes... À l'occasion de Paris 2024, la compétition est retournée là où le surf est né, à Tahiti, sur la plus belle vague du monde, Teahupo’o. Des origines aux Jeux Olympiques, ce documentaire inédit propose une plongée au cœur de l’épopée mondiale du surf.
En juillet, les meilleurs surfeurs de la planète s’affrontent à 20 000 km de Paris, à Tahiti, berceau du surf. Le frisson de la compétition accompagne une revanche sur l’Histoire.
Le surf prend ses racines en Polynésie. À Tahiti, glisser sur les vagues n'est que le prolongement d'une maîtrise unique de l’océan, acquise durant le peuplement des îles du Pacifique sur plus de 3 000 ans. Bien plus qu’un sport, le surf est l’expression d’une culture, celle du peuple de l’eau. En inventant cette technique, les Polynésiens donnent au surf un supplément d'âme qu'aucun autre sport ne porte.
Mais cette pratique est menacée dès les premiers contacts avec les Européens, à la fin du XVIIIe siècle. Les missionnaires, chargés de convertir les Polynésiens à l'ordre moral européen, dévalorisent peu à peu leur culture originelle en entraînant ainsi, à la fin du XIXe siècle, la disparition de la pratique du surf sur la quasi-totalité des îles du Fenua.
Par quel mystère, cent vingt ans plus tard, le surf est-il devenu un phénomène mondial, un loisir de masse et un sport de haut niveau avec ses foules, ses compétitions, son businness, ses stars et son style de vie ? Comment les Polynésiens ont-ils réussi à retrouver leur culture et à la partager avec le monde entier ?
La résurrection du surf tient à un « indigène » américain, une poignée de jeunes fugueurs, quelques hommes d'affaires et des jeunes femmes insoumises du monde entier. Aujourd’hui pratiquée par des millions de passionnés, cette discipline a gagné sa place olympique à coups d’exploits, de révolutions et de conquêtes d’espaces sauvages.
À travers les siècles et aux quatre coins du monde — de la Polynésie française en passant par l'archipel d'Hawaii, la Californie et la côte atlantique portugaise —, le film part à la rencontre de surfeurs d’hier et d’aujourd’hui : Duke Kahanamoku, jeune Hawaiien devenu la première légende du surf ; Miki Dora, roi de Malibu refusant les diktats de la société ; Lisa Andersen, première femme à s’imposer dans le monde masculin du surf ; Laird Hamilton et Kelly Slater, repoussant les limites de la discipline, ou encore Kauli Vaast (médaille d'or aux Jeux Olympiques 2024), Vahiné Fierro et Johanne Defay (médaille de bronze).
À l’aide d’images d'archives époustouflantes et d’entretiens exclusifs, les pionniers du surf et les prétendants au titre olympique racontent comment cette culture polynésienne a conquis le monde entier.
Le documentaire "Surf, le feu sacré" est à découvrir le lundi 11 novembre dès 23h35 sur France 3.
Pratiqué par les Polynésiens depuis des milliers d’années, le surf est bien plus qu’un sport. Il fait partie de la culture du peuple des océans, engloutie à la fin du XIXe siècle par le colonialisme occidental. Et pourtant, en moins de cent vingt ans, cette pratique sportive est devenue discipline olympique, ressuscitée grâce à quelques marginaux devenus aujourd'hui de véritables légendes... À l'occasion de Paris 2024, la compétition est retournée là où le surf est né, à Tahiti, sur la plus belle vague du monde, Teahupo’o. Des origines aux Jeux Olympiques, ce documentaire inédit propose une plongée au cœur de l’épopée mondiale du surf.
En juillet, les meilleurs surfeurs de la planète s’affrontent à 20 000 km de Paris, à Tahiti, berceau du surf. Le frisson de la compétition accompagne une revanche sur l’Histoire.
Le surf prend ses racines en Polynésie. À Tahiti, glisser sur les vagues n'est que le prolongement d'une maîtrise unique de l’océan, acquise durant le peuplement des îles du Pacifique sur plus de 3 000 ans. Bien plus qu’un sport, le surf est l’expression d’une culture, celle du peuple de l’eau. En inventant cette technique, les Polynésiens donnent au surf un supplément d'âme qu'aucun autre sport ne porte.
Mais cette pratique est menacée dès les premiers contacts avec les Européens, à la fin du XVIIIe siècle. Les missionnaires, chargés de convertir les Polynésiens à l'ordre moral européen, dévalorisent peu à peu leur culture originelle en entraînant ainsi, à la fin du XIXe siècle, la disparition de la pratique du surf sur la quasi-totalité des îles du Fenua.
Par quel mystère, cent vingt ans plus tard, le surf est-il devenu un phénomène mondial, un loisir de masse et un sport de haut niveau avec ses foules, ses compétitions, son businness, ses stars et son style de vie ? Comment les Polynésiens ont-ils réussi à retrouver leur culture et à la partager avec le monde entier ?
La résurrection du surf tient à un « indigène » américain, une poignée de jeunes fugueurs, quelques hommes d'affaires et des jeunes femmes insoumises du monde entier. Aujourd’hui pratiquée par des millions de passionnés, cette discipline a gagné sa place olympique à coups d’exploits, de révolutions et de conquêtes d’espaces sauvages.
À travers les siècles et aux quatre coins du monde — de la Polynésie française en passant par l'archipel d'Hawaii, la Californie et la côte atlantique portugaise —, le film part à la rencontre de surfeurs d’hier et d’aujourd’hui : Duke Kahanamoku, jeune Hawaiien devenu la première légende du surf ; Miki Dora, roi de Malibu refusant les diktats de la société ; Lisa Andersen, première femme à s’imposer dans le monde masculin du surf ; Laird Hamilton et Kelly Slater, repoussant les limites de la discipline, ou encore Kauli Vaast (médaille d'or aux Jeux Olympiques 2024), Vahiné Fierro et Johanne Defay (médaille de bronze).
À l’aide d’images d'archives époustouflantes et d’entretiens exclusifs, les pionniers du surf et les prétendants au titre olympique racontent comment cette culture polynésienne a conquis le monde entier.
Le documentaire "Surf, le feu sacré" est à découvrir le lundi 11 novembre dès 23h35 sur France 3.