Nouvel épisode dans l'affaire France-Antilles ! La société NJJ, holding personnelle de Xavier Niel, le fondateur de Free a proposé un plan qui garderait 126 des 235 salariés du groupe d’outre-mer. L’idée est également de renforcer l’offre numérique du journal et de développer l’activité événementielle en organisant notamment festivals et concerts.
De son côté, le tribunal de commerce annonce qu'elle délivrera sa décision quant à une reprise de France-Antilles par l’homme d’affaires Xavier Niel en délibéré au 17 mars, mais l’avocat général s’est déjà dit favorable à cette offre, a annoncé l’administrateur présent à l’audience.
Selon les nouveaux éléments communiqués, NJJ s'engage à reprendre 68 salariés de France-Antilles Guadeloupe (sur 96), 34 salariés de France-Antilles Martinique (sur 83), 6 salariés de France-Guyane (sur 23), et 16 des 31 salariés de France-Antilles Guyane Management services (partie administrative et web). La société NJJ prévoit de conserver une édition quotidienne de l'édition papier, mais pourrait réduire sa pagination. Elle souhaite aussi renforcer l'offre numérique du journal, mais aussi développer l'activité événementielle du groupe, via l'organisation de festivals ou de concerts.e projet est estimé à 8 millions d'euros.
NJJ met sur la table 3,5 millions, le reste provenant de financements publics (subventions du ministère de la Culture et des "collectivités territoriales de Guadeloupe et de Martinique") et d'un prêt du Fonds de développement économique et social.
Aux Antilles, la Société NJJ prévoit de centraliser l'impression en Guadeloupe et le transport des journaux par bateau ou avion jusqu'en Martinique. Pour la Guyane, la sous-traitance de l'impression et de la diffusion est envisagée, mais l'offre serait uniquement digitale dans un premier temps.
NJJ vise une reprise de la parution courant avril. Créé en mars 1964, France-Antilles, ancienne filiale du groupe Hersant, était en redressement judiciaire depuis le 25 juin 2019.
De son côté, le tribunal de commerce annonce qu'elle délivrera sa décision quant à une reprise de France-Antilles par l’homme d’affaires Xavier Niel en délibéré au 17 mars, mais l’avocat général s’est déjà dit favorable à cette offre, a annoncé l’administrateur présent à l’audience.
Selon les nouveaux éléments communiqués, NJJ s'engage à reprendre 68 salariés de France-Antilles Guadeloupe (sur 96), 34 salariés de France-Antilles Martinique (sur 83), 6 salariés de France-Guyane (sur 23), et 16 des 31 salariés de France-Antilles Guyane Management services (partie administrative et web). La société NJJ prévoit de conserver une édition quotidienne de l'édition papier, mais pourrait réduire sa pagination. Elle souhaite aussi renforcer l'offre numérique du journal, mais aussi développer l'activité événementielle du groupe, via l'organisation de festivals ou de concerts.e projet est estimé à 8 millions d'euros.
NJJ met sur la table 3,5 millions, le reste provenant de financements publics (subventions du ministère de la Culture et des "collectivités territoriales de Guadeloupe et de Martinique") et d'un prêt du Fonds de développement économique et social.
Aux Antilles, la Société NJJ prévoit de centraliser l'impression en Guadeloupe et le transport des journaux par bateau ou avion jusqu'en Martinique. Pour la Guyane, la sous-traitance de l'impression et de la diffusion est envisagée, mais l'offre serait uniquement digitale dans un premier temps.
NJJ vise une reprise de la parution courant avril. Créé en mars 1964, France-Antilles, ancienne filiale du groupe Hersant, était en redressement judiciaire depuis le 25 juin 2019.